Equity Swap

souscrit une ligne de crédit bilatérale d’une durée de 2 ans et d’un montant de 25M€. Cette ligne est garantie par Ubisoft Entertainment SA et suit les mêmes covenants que les autres lignes. Juin 2011 - Prolongation du contrat Equity Swap Gameloft Le contrat d’Equity Swap conclu le 12 juillet 2007 avec Crédit Agricole Corporate and Investment Bank ® (anciennement Calyon) sur les titres Gameloft a été prolongé pour 2 années supplémentaires, jusqu’au 15 juillet 2013. Septembre 2011 – Cession de 8,5M€

Arbitrage sur fusions 1,55 % Market timing 0,35 % Macro 10,93 % Equity hedge 28,67 % Titres à revenu fixe : Titres adossés à des créances immobilières (MBS) 2,09 % Titres à revenu fixe : haut rendement 0,87 % Titres à revenu fixe : diversifiés 1,51 % Titres à revenu fixe : obligations convertibles 0,09 % Titres à revenu fixe : arbitrage 2,90 % Stratégies événementielles 13,55 % Neutre actions 2,53 % Equity non-hedge 4,15 % 2| MARCHÉS DE TRANSFERT DU RISQUE DE CRÉDIT

n’étaient pas conscients du risque effectivement encouru puisque la rentabilité qu’ils anticipaient reposait sur une bulle (l’écart entre la croissance des cours de Bourse et du profit) et que les bulles éclatent un jour ou l’autre. Sur les marchés de swap, s’échangent des flux d’intérêt : par exemple, un taux fixe contre un taux variable ; de même, le produit d’un portefeuille de crédit peut être échangé contre un taux fixe de 5 % : l’acheteur est gagnant si la rentabilité du portefeuille dépasse 5

académique défini, nous permettant ainsi d’asseoir la problématique de ce travail. Il est en second lieu étayé par une approche empirique, celle de spécialistes du domaine de la finance islamique. [M.Chavanon, Chief Financial Officer, NBAD ; M.Treguer, Equity / Derivatives and Islamic Products Structurer, BNP PARIBAS]. Durant l’intégralité de ce travail, nous avons tâché d’utiliser une approche comparative mettant en relief les différentes facettes de la finance islamique par rapport à la finance conventionnelle

et son adéquation avec le profil d’activité de celle-ci. Pour compléter l’analyse de la rentabilité, le calcul de certains ratios est nécessaire. parmi les principaux ratios on retrouve : • Le coefficient de rentabilité : Return On Equity (ROE) Résultat net ROE = Capitaux propres Les capitaux propres sont les fonds propres de base c’est à dire le capital libéré, les réserves et bénéfices reportés ainsi que les provisions pour risques

avec 25% soit 43 milliards de créances douteuses et enfin Orient (banque de Chine) avec 32 milliards de créances douteuses. Au tout début de leur existence , en 1999, ces structures se sont attachées à mettre en œuvre des programmes de debt equity swap visant à transformer la dette de ces sociétés en titre de participation détenus par les AMC, et de manière ultime par l’Etat chinois. Aujourd’hui, les AMC sont beaucoup plus à la recherche d’investisseurs, notamment étranger, capable de se rendre

souverains Ces fonds d’investissement sont détenus ou contrôlés par des États. Ils sont devenus aujourd’hui une nouvelle catégorie d’acteurs de la globalisation financière à côté des fonds de pension, des fonds de capital investissement (« private equity funds ») ou des fonds de gestion alternative (« hedge funds »). Le marché interbancaire ou monétaire Il permet aux banques de se prêter de l'argent entre elles. Il est régi par plusieurs taux, notamment le « libor », à Londres, les « Fed Funds »

rentabilité des fonds propres, qu'elle soit avant ou après impôt, doit être calculée de façon cohérente. Il faut toutefois remarquer qu’au niveau du portefeuille bancaire, il serait hasardeux d'effectuer un lien direct entre les objectifs de ROE (return on equity) de la banque et son Raroc global. Il faut garder à l'esprit que le Raroc n'a pas vocation à traiter le risque opérationnel par exemple, alors que le ROE est un indicateur synthétique de toutes les activités, y compris l'activité de crédit. Pour

remboursé grâce au flux principal et d’intérêt provenant des actifs. Ces flux peuvent être réduits en cas de défaut des actifs. • Dans le cas des Synthetic CDOs, le cédant transfert le risque de crédit via un dérivé de crédit (ou Crédit Default Swap), ce qui revient à acheter une assurance contre le risque de défaut d’une entité. Ici, Le trust investit les sommes provenant du produit de l’émission dans des titres de très bonne qualité de crédit, qu’il liquidera en partie ou en totalité en cas

financières spéculant à leurs tours sur la montée de l’immobilier, ces institutions interviennent en tant qu’assureur des risques du crédit, cette opération d’assurance s’effectue selon des procédés bien complexes, il s’agit Des fameux « Credit default swap » communément connus sous le sigle CDS, qualifiées d’opaques, ces assurances génèrent une sorte de panique financière car la perte de confiance est une cause de l’assèchement du marché inter bancaire, Source de refinancement en cas de besoin de liquidités