Esope

Le loup et le chien La fontaine s'est inspiré des fabulistes de l'antiquité Esope (grec ) et Phèdre ( latin ) pour remoderniser les fables à l'époque classique ,17 eme S. Son premier recueil de fables est publié en 1668 , il est dédié au jeune dauphin (10 ans ) LF est son précepteur, divertissement et pédagogie de ces apologues en vers . Le loup et le chien illustre bien les caractéristiques de la plupart des fables de la fontaine . Elles présentent la rencontre et le dialogue amusant d'animaux

l'écrit Jean de la Fontaine dans la préface de Fables. En effet, ce récit détaillé, souvent moral, ne se réduit pas à une simple narration, mais il apporte, de façon imagée, une leçon. L'apologue remonte à l'Antiquité gréco-latine avec le fabuliste Esope qui sera, au XVI siècle, une source d'inspiration pour Jean de la Fontaine. On trouve l'apologue sous différentes formes: la fable, le conte philosophique, l'utopie, la parabole... C'est une forme d'argumentation indirecte, c'est à dire que l'on n'exprime

de chanter pour la mémoire d'un héros ou pour l'hyménée, pour célébrer les bois, les moissons ou la mer ; mais cette idée est commune au médiocre musicien et au vrai musicien, comme la fable de don Juan est commune à Molière et à d'autres, comme Esope est le modèle de tant de fabulistes, comme un modèle à peindre est modèle. Le génie ne se connaît que dans l'oeuvre peinte, écrite ou chantée. Ainsi la règle du beau n'apparaît que dans l'oeuvre, et y reste prise, en sorte qu'elle ne peut servir

Anciens dans la fameuse Querelle des Anciens et des Modernes. Pour écrire ces fables Jean de La fontaine s'inspire des fabulistes de l'antiquité gréco-latine. La fable est un récit allégorique à fonction ou visée didactique écrit d’abord en prose (Esope) puis en vers (Phèdre) représentant souvent des animaux en hommes symboliques, dont l’écrivain classique fait un chef d’œuvre de diversité littéraire, poétique et morale.  il s’inspire d’un écrivain latin : Aulu-Gelle et de ses « Nuits Attiques » ainsi

comme mal social absolu. Chaque fable ayant sa logique propre, il me semble utile de les analyser séparément pour ensuite nous intéresser à leurs similitudes. Le loup et l’agneau. Cette fable est inspirée d’un apologue du fabuliste grec Esope, et du fabuliste latin Phèdre. Ici, la morale, « la raison du plus fort est toujours la meilleure », est située à l’ouverture du texte. La situation initiale nous est ensuite présentée. Après cela, il y a dialogue qui met en relief la thèse des deux

La fable était déjà pratiquée en Mésopotamie , il y a deux mille ans avant notre ère puis se développera au VIe siècle avant Jésus Christ ,grâce à Esope (père de la fable). « La Cigale » , de Jean Anouilh est un apologue issu du recueil « Fables » publié en 1961 aux éditions de « La Table Ronde » ; ce texte décrit une cigale - une artiste - , qui recherche un placement financier hors pair auprès de Maître Renard un prêteur sur gage et qui finalement contre toute attente obtiendra un investissement

comme le prétend Anouilh dans sa préface des Fables, qu'écrire des fables soit une « entreprise futile »? Vous répondez à cette question dans un devoir argumenté et organisé, que vous illustrerez d'exemples. Les fables ont traversé les époques; de Esope à de nos jours, elles sont présentes, d'autant plus que nous baignons dans l'univers de La Fontaine depuis notre plus jeune âge. C'est pourquoi on pourrait penser que les fables sont une « entreprise futile », comme le prétend Anouilh. Cependant, futile

est donc une figure du fabuliste, de La Fontaine qui se met en scène de façon détournée dans son propre texte. Il est une hypostase / avatar. Cette mise en abyme montre que l’objectif de La Fontaine n’est pas seulement de critiquer les hommes comme Esope mais bien d’interpréter le fonctionnement de l’apologue : c’est ici un art poétique. La morale porte non seulement sur le caractère des hommes mais aussi sur l’attitude que les moralistes doivent adopter puisque l’injonction du vers 70 « il le faut

Louis XIV. Il le fait précéder d'un “Avertissement” dans lequel il explique avoir “cherché d'autres enrichissements” et avoir “étendu davantage les circonstances de ces récits”. Ainsi, si dans le premier recueil il avait encore beaucoup emprunté à Esope et à Phèdre, ses modèles antiques, ici il va chercher son sujet chez Pilpay, un sage indien, dont le Livre des lumières avait été traduit en français en 1644, mais surtout c'est sa propre personnalité que nous découvrons davantage. [ pour en savoir

satisfaire d’un développement si plaisant ? Ne mériterait-elle pas des arguments plus réfléchis ? Introduction [Ouverture]C’est au cœur du dix-septième siècle classique que Jean de la Fontaine, empruntant les traces de ses illustres prédécesseurs (Esope, Phèdre, Pilpay), livre à ses lecteurs ses Fables, véritable condensé de sagesse populaire. Fidèle aux mots d’ordre de son siècle, « plaire et instruire », il analyse les mœurs de son temps et développe des morales dont l’objectif est de permettre