Esthetique Du Monstrueux

que la beauté et dans l'oeil de celui qui regarde et que tous on à se sujet sa propre opinion. il continue par expliquer que pour certain la beauté est extérieur et esthétique, mais pour d'autre elle est intérieur. Il conclue qu'il faut non pas le juger sur son physique mais sur son contenu. Il s'assimile à un livre à l'aspect monstrueux mais tous autant attirants .Malgré cela Rick est conscient qu'on le juge sur son aspect de monstre mais il n'y accorde plus d'importance tous comme le professeur

et gestuelle de l’héroïne A la différence de la pièce de SK, où l’esthétique du « in yer face theater » autorise la mise en scène de scènes érotiques, voire obscènes, les pièces de Sénèque et, a fortiori, de Racine, répondent à des principes esthétiques et éthiques qui proscrivent l’expression physique, frontale du désir.  Stratégie verbale et scénique (au sens large) des auteurs : biais pour exprimer la fureur de ce désir ardent par la beauté de l’image, ou de l’attitude => contrainte prolifique

permet de rendre le combat spectaculaire aux yeux du spectateur. De fait, il s’agit d’émouvoir le spectateur et de lui inspirer de la pitié pour le sort funeste d’Hippolyte. II. Un tableau pathétique A. « Un tableau » : comment représenter le monstrueux ? Il s’agit ici de faire voir au spectateur une scène par définition invisible, puisqu’un des acteurs en est un monstre, un être irreprésentable. Racine utilise des procédés destinés à faire voir l’invisible. �� L’hypotypose : Cette figure vise

à lui donner un bain et à la revêtir d’un habit de son choix. Ensuite elle fut conduite vers son époux mais fut étonnée de ne pouvoir voir son visage et sa silhouette. C’est alors qu’elle se souvint de la prophétie de l’Oracle quant à l’aspect monstrueux de son mari. Les jours passèrent et Psyché visita le palais et ses alentours. C’était un lieu de grande beauté et rempli de fines pierreries. Un jour, alors qu’elle entra dans une grotte, elle y rencontra son époux et ce lieu devint leur lieu

verrais bien le porter ou pas. Il ne s’agit pas ici d’une contemplation, puisqu’elle est polluée par l’intérêt. Contempler signifie percevoir l’objet pour lui-même, en laissant de côté son rapport avec moi. (voir texte de Panofsky sur la perception esthétique). Kant va prendre un exemple. Celui d’un édifice, un palais : Palais Albertina à Königsberg, où enseigna Kant. Kant examine dans un premier temps (l.13 à 28) les réponses que l’on peut entendre communément lorsque l’on pose la question

la souffrance (« brisés », « tordus », « animaux blessés »), « flagellé par des bises iniques » (notez l'assonance en [i] soulignant la douleur) – On notera l'insistance sur la description des corps de ces vieilles qui semblent de véritables et monstrueux pantins désarticulés (leurs corps difformes ne semblent plus leur appartenir, ni leur obéir) : « ces monstres disloqués » v.5, « Monstres brisés, bossus ou tordus » v.6, « marionnettes » v.13 « dansent, sans vouloir danser », « tout cassés » v.16

au moins deux fonctions essentielles : 1°) une fonction esthétique (= une fonction de plaisir esthétique, se distinguant du plaisir sensuel et intellectuel / plaisir à la fois corporel et intellectuel ; le plaisir esthétique est une synthèse, un plaisir qui réunit le corps et l’âme). La littérature est un art, elle a une finalité, un objectif : la beauté. Il s’agit d’élaborer un discours qui fasse naître un plaisir esthétique. La tragédie est l’art qui recherche la beauté. Un savoir artistique

particulière dans laquelle il projette Hélène dans un futur horrible de décrépitude. Ensuite Baudelaire, précurseur de la poésie moderne, aborde le thème de la femme dans toutes les Fleurs du Mal. Ses poèmes sont particulièrement révélateurs de cette esthétique de la laideur propre à lui : la laideur, l'horreur, le mal, deviennent des objets poétiques dont on peut faire surgir la beauté, le beau. C'est en ce sens que l'on peut aussi dire que ses poème sont modernes, parce qu'il prend pour objet poétique

est personnifiée (« bras » l.7), elle a un aspect animal « homard, rugit, mille pattes » (aspect du crustacé, du lion et celui de l’insecte) ⇉ ce côté hybride contribue à l’image du monstre, mais c’est aussi par son activité que Paris a un aspect monstrueux. B – Paris est une ville en perpétuelle activité 1) Paris est un monstre en action que ne s’arrête jamais - « Eh ! Quelle vie toujours active a le monstre ! » (l.7) → Paris décrit comme un monstre en action et en action continuelle. - Le

du rire fut publiée dans Le Portefeuille du 8 juillet 1855. Une deuxième version, largement remaniée, parut dans Le Présent du 1er septembre 1857. Une troisième version, reprenant à quelques détails près celle de 1857, figure dans les Curiosités esthétiques (Michel Lévy frères, 1868) ; c’est le texte de la présente édition. I Je ne veux pas écrire un traité de la caricature ; je veux simplement faire part au lecteur de quelques réflexions qui me sont venues souvent au sujet de ce genre singulier