Esthetique Du Monstrueux

privilégie le bas sur le haut, le ventre sur l'esprit. Avaler, c'est ressentir une pesanteur qui a à voir avec le cinéma, et son principe même d'enfermement : cadre, champ, ne cessent de rappeler qu'on est à l'intérieur d'un corps, fut-il protéiforme et monstrueux comme celui de l'objectif et de l'écran. La production ita¬lienne ne cesse, depuis le néo-réalisme, de marteler une évidence : l'image est un ventre qu'il faut nourrir comme les personnages qui l'habi¬tent et, simultanément, elle est une plate-forme

lugubre. {draw:frame} Symbole du Pain {draw:frame} Sa devise lui est venue de l'expression légendaire : Du pain, du pain, toujours du pain, rien que du pain. il réalisa la transmutation du pain comme la clé du fonctionnement symbolique de son esthétique, en la faisant devenir la Grande Métaphore du processus de métaphorisation qui constitue son univers paranoïaque-critique. Si dans notre culture gastronomique le concept du pain connote tout ce qui sert en général à la nourriture quotidienne ("notre

travailleurs de la Mer. Évènement révolutionnaire. Le jeune homme des années 1815-1820 n’est pas le même qu’une fois consacré comme chef de file du romantisme français. Conservateur -> socialisme. A évolué d’un point de vue religieux, politique et esthétique. Refus nécessaire du cloisonnement entre les disciplines. C’est une figure colossale qui a touché à tous les genres de la littérature. A vécu 83 ans. Accent sera mis sur certaines oeuvres, fil rouge, éléments, etc. Hugo aime être lu et être compris

est une image de l’Idée, qui est seule vraie. Pascal s’exclamait lui aussi, à propos des tableaux de Xeusis, sur la « vanité » de la peinture « qui attire l’admiration par la ressemblance des choses dont on n’admire point les originaux ». Dans Esthétiques, Hegel préfigure la pensée de Wilde, de manière moins catégorique, quand il affirme que l’art n’est qu’une « caricature de la vie », une technique incapable de donner l’impression d’une réalité vivante, d’une vie réelle. En représentant l’art comme

fait l’individu » contrairement à Descartes (17ème siècle ) qui affirmer « Je pense donc je suis » . Pour comprendre ce phénomène, la chercheuse a interrogé ceux qui ont recours aux techniques d’embellissement, de la simple crème à la chirurgie esthétique. Résultat, ces derniers justifient davantage leur démarche par la nécessité de « se sentir bien » que par le besoin d’ « être beaux ». Ce que Waltraud Posch interprète de deux manières, dit Petra Gehring dans la Frankfurter Allgemeine Zeitung, qui

d'emblée induit par la conjonction de coordination « Mais » et l'adverbe « soudain » au vers 17. Dans sa recherche de l'expressivité Arlette Humbert-Laroche fait courir la métaphore sur trois vers (v.17-19) de manière à rendre compte du caractère « monstrueu[x] » du vampirisme. Viennent alors renforcer l'aspect duratif du processus le participe présent « buvant » et l'adjectif qualificatif « longue » au vers 19, et par contrecoup l'ultime vers de la première partie, tel un couperet qui tombe, crée une

permet de rendre le combat spectaculaire aux yeux du spectateur. De fait, il s’agit d’émouvoir le spectateur et de lui inspirer de la pitié pour le sort funeste d’Hippolyte. II. Un tableau pathétique A. « Un tableau » : comment représenter le monstrueux ? Il s’agit ici de faire voir au spectateur une scène par définition invisible, puisqu’un des acteurs en est un monstre, un être irreprésentable. Racine utilise des procédés destinés à faire voir l’invisible. L’hypotypose : Cette figure vise

Maupassant séquence 2 : les formes narratives brèves : groupement de textes :la fable, le conte, la nouvelle séquence 3 : lecture cursive et lecture analytique le conte philosophique L’Ingénu de Voltaire séquence 4 : comprendre les principes esthétiques et idéologiques du Naturalisme à travers l’étude de Thérèse Raquin Thérèse Raquin ( 1867) Emile Zola nov/ déc 2003 janvier 2004 Avoir lu le roman pour le 10 décembre 2003.préparer les travaux programmés/ lectures

Le classicisme « Comme d'autres termes généraux et vagues qui désignent une époque littéraire et artistique, un idéal esthétique et quelque groupement d'hommes poursuivant un objet analogue (Renaissance, âge des Lumières, romantisme, symbolisme), le mot « classicisme » défie toute précision », lit-on sous la plume de Henri Peyre dans un article en ligne dans votre espace. « Il y a des classiques dans toutes les littératures ; et, dans diverses langues de l'Europe, le substantif ou l'adjectif

plastique est esthétique. Dans le premier cas, l’inesthétisme peut renvoyer soit à l’absence de certains critères esthétiques attendus, soit être considéré en lui-même, ce qui inviterait alors à penser une possible autonomie du laid, et ainsi à s’interroger sur ce que pourrait être une laideur laide, une œuvre laide. Par contre dans le deuxième cas, on peut se demander « comment ce qui est laid, intrinsèquement laid, peut devenir beau, c’est à dire faire l’objet d’un jugement esthétique favorable