Esthetique Du Monstrueux

plus en plus intégrées à la mode et vie de tous les jours. La sneaker désigne une chaussure de sport détournée à un usage citadin. En effet, la plupart des chaussures de sport ne fouleront jamais un terrain. La sneaker se distingue par son côté esthétique indéniable. Les fans de sneakers se nomment sneakers addicts. Ils ont développé leur propre langage : trade (échanges de sneakers), legit check (vérification de l'authenticité d'une sneaker). Lessneakers sont aussi des accessoires de mode, en particulier

travestissement et du faux-semblant, seuls ont le droit de jouer les criminels et les scélérats. C’est qu’Hugo prend plaisir à nous montrer, à nous lecteurs, ce spectacle grotesque qui correspond à la fois à une vision du monde et à un parti pris esthétique. ▲ ▲ Inséré dans la narration, ce passage décrit un univers de plus en plus effrayant, fantasmatique, en glissant vers le point de vue du seul vrai personnage, unique témoin de la scène qui s’offre à lui et

introduit également à l’esthétique poétique baudelairienne, qui se caractérise avant tout par sa modernité, ainsi que la densité de ses images et de sa musicalité. En quoi ce poème sublime-t-il la noirceur de la condition humaine à travers une esthétique poétique éminemment moderne ? Si ce poème présente avant tout une vision très pessimiste de la condition humaine, il permet également au poète d’établir un pacte avec le lecteur : ainsi, à travers ce poème qui illustre bien la quête poétique

reconnue du XIXème siècle, « Lorenzaccio » est un « brimborion littéraire et dramatique ». Cette œuvre expose donc une dimension littéraire, plus particulièrement romantique. Cette pièce présente en fait un drame romantique. Tout d’abord par son esthétique romantique. Pleines de contrastes, elle est partagée entre le luxe des palais d’Alexandre, de la noblesse florentines, tel que l’évoque les marchants  avec « leur belle étoffes » (I, 2) ou « les fumées du vin impérial » (I, 5), l’art par l’apologie

manifeste le narrateur signalent son hypnotique beauté. C’est une beauté qui doit frapper celui qui regarde. L’arbre est, de plus, conscient de l’effet qu’il produit et qu’il sait dépendre d’une certaine mise en scène. Transition : cette vision « esthétique » de la nature n’annonce-t-elle pas l’intention de l’auteur ? II. Un incipit proprement original. 1) Le narrateur « brode » à loisir, brouille les pistes, instaure un jeu avec le lecteur. a) Quand situer le récit premier, celui de ce chroniqueur

fantastiques). Dans cette optique, le héros peut se voir doter de pouvoirs qui défient les lois physiques (invisibilité, ubiquité), avoir des ascendances divines, ressortir à une représentation relevant de l’animalité ou du monstrueux (Tolkien, Lovecraft, Baker, Borgès). 2. Le personnage de roman peut participer d’u ne idéalisation excessive à même de complaire à une élite en quête de reflets valorisants (mais déformants ) : les chevaliers invincibles

champ lexical de la mythologie et des dieux : Apollon, dieux, Syracuse, Jésus, Muse. On rencontre aussi le champ lexical de la bataille : « lutte », « son bronze », « fort ». D’après lui, la seule fonction de la poésie est la poursuite d’un idéal esthétique : il revendique l’inutilité de son art. Il se rattache au mouvement du romantisme, mais surtout au mouvement du Parnasse, qui est un mouvement poétique apparu en France et dont le but est de valoriser l’art poétique par la retenue, l’impersonnalité

être * humain, résume assez bien le sentiment qu’il ressent à cet époque, Saturne étant le Dieu de la * mélancolie. * Enfin, il y a les artistes pour qui le laid est une chose fascinante. Bosch, par exemple avait le * goût du monstrueux. Il fit de nombreuses études de monstres que l’on retrouve dans beaucoup de * ses tableaux : le jugement dernier, la tentation de saint-antoine, L’Enfer… Bosch était fasciné par * toutes les formes grotesques et contre nature et se présentait

Baudelaire : Les Fleurs du Mal Obsession Introduction Il n’est pas étonnant que la nature, source de toute vie, offre l’un des thèmes esthétiques les plus riches. Les Anciens adoraient en elle la force magique des éléments, et la plupart des peintres et poètes y découvrent l’âme des choses, l’unité première en déchiffrant ses signes comme des savants inspirés. Ainsi une harmonie affective s’établit entre la nature et le poète qui projette en elle ses fantasmes. Mais si Rousseau

C’est un livre unique, c’est ce que cherche à produire les écrivains de ce siècle. On pourrait comparé ça avec MALLARMÉ, il faut donné un sens plus pur à l’attribut « nous, les gens qui utilisent les mots pour communiquer, non pour leur pouvoir esthétique et vocatoire ». Il y a dans l’usage qu’il fait, une nécessité. Courant esthétiste, « le monde est fait pour aboutir à un beau livre » (MALLARMÉ). Hommage, célébration de la langue. Chaque mots se fait vriller. Il n’y a pas vraiment d’intrigue, mise