Esthetique Du Monstrueux

ces hommes. Il ne veut pas rompre la promesse faite à Mischa : la venger. Il va faire preuve de la même violence que les hommes ont eue envers sa sœur : le cannibalisme. Cela le mène à exercer une série de meurtres. Il devient de plus en plus monstrueux. Sa violence atteint son paroxysme lorsqu’il apprend que lui aussi a mangé Misha. Ses meurtres 1. La Lituanie, où il tuera un des assassins de sa sœur, Enrikas Dortlich. 2. La France, où il commet ses premiers meurtres (Paul Momund le

promenade amoureuse qui dégénère - « Moi, ton soldat fidèle » et les tirets suggèrent un dialogue amoureux. - Une nature froide, peu romantique : la lune semble pâle, les éléments naturels semblent froids : « métal », « pierre ». - Animaux « monstrueux »: le Crapaud qui provoque la répulsion, le « poète tondu » (animalisation du poète), « Rossignol de la boue » (sorte de contradiction, le rossignol étant un oiseau qui charme par son chant) - Une montée de l'angoisse : le démonstratif « ça » à

l’esthétisme. La deuxième dans un cas joue sur des exemples montrés sur la scène, et dans l ‘autre par la représentation théâtrale. Historiquement, l'interprétation morale de la katharsis a longtemps été la seule défendue. L'interprétation purement esthétique est la plus utilisée de nos jours. 3) Interprétation morale de la catharsis Dans l'interprétation classique, la katharsis est une méthode de « purgation des passions », ou purification émotionnelle, utilisant les spectacles ou histoires

(Naissance de la tragédie, XXII) verront dans la catharsis le ferment de la cohérence esthétique. Romantiques et postromantiques se mettront en quête d'une forme moderne de catharsis par l'invention d'une esthétique théâtrale ouverte à l'informe et au monstrueux : des thèses d'Hugo sur le grotesque et le sublime dans la Préface de Cromwell (1827) au « théâtre de la cruauté » d'Artaud... Mais, cette esthétique de la rupture, à mesure qu'elle remet en question la notion même de langage dramatique

posteriori, inonde de lumière tout le récit. Le prix d'Un Roi, ce qui en fait sans doute un chef-d'œuvre, c'est justement l'effort du romancier pour voiler cette lumière, ménager des zones d'ombre. La manœuvre n'est évidemment jamais d'ordre simplement esthétique : http://www.site-magister.com/nouvrom.htmhttp://www.site-magister.com/prepas/journalgide.html'éclatement des points de vue dans le roman, et les incertitudes qu'ils créent sur ce qui est vraiment su et dit, ressortissent à une conviction morale

Art et science 1. Ils s’opposent : • Si on prend art au sens de technique, il a des fins pratiques dont ne se soucie pas la science (cf. Technique) ; • Si on prend art au sens de technique littéraire ou de création esthétique : certes, science et art cherchent tous deux une certaine vérité et ne se contentent pas de reproduire le réel, l’esprit intervient. Mais la science cherche méthodiquement le vrai et tend vers la loi, le général, l’abstrait, tandis que l’art cherche

trouvons notre règle que lorsque se glisse une « petite ligne hétérogène » en rupture » ( p13).Nous chercherons donc à interroger les formes théâtrales qui suivent , chacune à leur façon une « petite ligne hétérogène  en rupture ,. que celle-ci soit esthétique, politique ou géographique. Que peut et que font les dramatrugies de formes non strictement théâtrales ou non strictement réalistes et mimétiques, faisant

des tendances expressionnistes. Il est profondément bouleversé par la guerre de 14-18 où il a été soldat. La guerre change radicalement le style de ses œuvres. Il participe en 1920-1922 à l’exposition Dada, courant qui vise à détruire les normes esthétiques et le langage. Il y critique violemment la société bourgeoise et la politique. Entre 1922 et 1929, il adopte une technique réaliste avec des marques d’expressionnisme à des fins caricaturales et dramatiques. Description du tableau :  Cette scène

véritable impression de profondeur et d’immensité à la scène. Ce sentiment d’infinité rend encore plus misérable les âmes vagabondes livrées au courroux de la mer. Ces dernières sont abandonnées, et la longue durée de l’orage les pousse à un acte monstrueux et animal. En effet, la scène dépeinte par Delacroix est celle où les naufragés, souffrant de faim et désespérés, décident de faire un tirage au sort effroyable : l’homme désigné sera tué et sa chair donné au reste de l’équipage en guise de repas

posteriori, inonde de lumière tout le récit. Le prix d'Un Roi, ce qui en fait sans doute un chef-d'œuvre, c'est justement l'effort du romancier pour voiler cette lumière, ménager des zones d'ombre. La manœuvre n'est évidemment jamais d'ordre simplement esthétique : l'éclatement des points de vue dans le roman, et les incertitudes qu'ils créent sur ce qui est vraiment su et dit, ressortissent à une conviction morale. Les lacunes du récit nous invitent en effet à la plus extrême prudence quant aux jugements