Esthétique Du Laid

LE SYMBOLISME Qu’est-ce que le symbolisme ? ( Origine et définition: Le symbolisme est un mouvement littéraire artistique (esthétique) apparu vers 1860, en réaction contre le naturalisme (courant littéraire de la même époque) qui met en avant la réalité, le « visible » et qui se rencontre généralement sous le forme de roman ( comme les Rougon-Macquart de Zola). Considérer comme le père du symbolisme, Baudelaire écrivit : « Ce qui serait vraiment surprenant, c’est que le son ne

intègre la quasi-totalité de sa production poétique depuis 1840. Œuvre majeure de Baudelaire, publiée le 23 juin 1857 et rééditée en 1861, Les Fleurs du mal sont l’une des œuvres les plus importantes de la poésie moderne, empreinte d’une nouvelle esthétique où la beauté et le sublime surgissent, grâce au langage poétique, de la réalité la plus triviale. L'œuvre exerça une influence considérable sur Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé ou encore Arthur Rimbaud. Baudelaire travaille ici une forme poétique

dramaturgique, un élément rythmique ; 6 apparitions dans les didascalies, créant un va-et-vient de Bérenger, perpétuelle tentation pour interroger cette glace, moderne fontaine d’un pitoyable Narcisse qui, a contrario, cherche à se persuader qu’il n’est pas si laid. Les photos et les tableaux eux-mêmes sont à considérer comme des glaces possibles, puisque Bérenger finit par se reconnaître dans les êtres qu’ils sont censés représenter : Oui, je me reconnais ; c’est moi, c’est moi ! l.42. Et ce, jusqu’au dépassement

Distinction Ami-Ennemi, Critère du Politique. Tout comme la morale est "la discrimination du bien et du mal", l'esthétique "la discrimination du beau et du laid", ou l'économie celle du rentable t du non rentable, la politique est "la discrimination de l'ami et de l'ennemi". Cette opposition est autonome des autres, l'ennemi n'est pas nécessairement le laid, le mauvais. L'ennemi se définit avant tout par son altérité, il est l'autre, l'étranger. L'ennemi se caractérise donc par sa différence. néanmoins tous

sa portée et son influence sur les autres cultures du monde, il convient de se demander quelles sont les conséquences néfastes de la mise en valeur de la jeunesse comme ultime référence de notre société : Quels sont les dangers de la chirurgie esthétique ? Et enfin à quoi ressemblerait un monde reniant ses vieux porteur du souvenir, perdrait-il la mémoire ? Danger moral Tout d’abord, la jeunesse est un facteur d’inégalité sociale. Le jeunisme représente un véritable danger, un piège pour les

une nouvelle section. Le poète se place lui même comme poète du désespoir, sa plume offense et scandalise car il a pour volonté de versifier tout ce qui est contraire à la poésie, les choses les plus viles peuvent devenir un objet poétique et esthétique; tel un alchimiste il pense pouvoir transformer un métal indigne en or. Baudelaire est indécis, parfois rêvant d’un idéal parfois sombrant dans le désespoir, il tourne son propos vers la misère, le mal ou la laideur tout en en tirant ce qu’il

comme le chantre de la modernité. Onpeut le tenir comme un authentique poète maudit. Son œuvre la plus célèbre reste Les Fleurs du Malpubliées en 1857. Elle révolutionne la poésie en y intégrant des thèmes considérés jusqu’à lors,« antipoétiques » (laid, banal, et l’horrible) et a pour ambition d’extraire la beauté du Mal. Ce recueil depoèmes se compose de diverses sections, la plus emblématique étant sans doute« Spleen et idéal ». Dans ce chapitre, Baudelaire se montre sans cesse s’écarteler entre

salles de remises en formes et le thème de la chirurgie esthétique qui m'a paru intéressant suite à la lecture de quelques livres sur ce propos. Le point commun est l'apparence physique, le désir de se conformer à un modèle, une référence qu'est celle de l'idéal corporel. J'ai alors débuté mes recherches surtout par la lecture de livres historiques, sociologiques, psychologiques traitant de la beauté, de l'apparence physique, de la chirurgie esthétique etc. J'ai fini par recueillir un certain nombre d'idées

cette tendance à l'époque. "Mon vœu est d'adhérer le plus étroitement possible à notre époque, sans me soumettre à un dogme esthétique", déclare-t-il. Peint avec des techniques anciennes -huile et tempera à l'oeuf sur bois, glacis- décrivant sans idéologie, l'Allemagne de Weimar. On y découvre des scènes de rue, des maisons closes : "Il me faut le courage de peindre le laid, il me faut la vie dans toute sa densité." Il fait des portraits de ses proches "les Parents de l'artiste , 1924; la Journaliste

genre littéraire traite de sujets très divers, dont on ne qualifierait pas de « beau » dans notre quotidien. Par exemple, Claudel dans son poème en prose intitulé « le Porc », parle d'un animal habituellement repoussant. Il décrit quelque chose de laid de façon belle. « Cahotant sur ses quatre jambons trapus » : la démarche du porc est embellie, alors qu'elle est plutôt lourde. De plus, on ne retrouve pas de forme particulière au poème, pas de vers ni de rimes mais de la prose. Il fait de l'harmonieux