Établissement pénitentiaire pour mineurs

I. Des conditions de vie inhumaines pour les prisonniers. Depuis quelques années, les conditions de vie sont au centre de la critique du système pénitentiaire français. Depuis, de nombreux rapports mettent le doigt sur la surpopulation et le manque chronique de moyens (manque de surveillants, manque de psychologues, etc.). Tous ces problèmes restent pour l'instant présent. Seule la construction de nouvelles prisons a été décidée. En ce qui concerne le manque d'effectifs, aucun recrutement en

Les prémisses du droit de la sanction pénale Histoire du droit pénal – doyen Carbasse. Les premières études intéressantes sont apparues à la fin du XVIIème siècle et concerne plus particulièrement le système pénitentiaire. En général, on considère que le père de la science pénitentiaire est Mabillon, moine bénédictin, plus connu comme étant le fondateur de la diplomatie. En 1690, il publie un ouvrage intitulé « Réflexion sur les prisons des ordres religieux ». Il s’agit d’un ouvrage qui est

aussi un "établissement clos aménagé pour recevoir des délinquants condamnés à une peine privative de liberté ou des prévenus en instance de jugement". C'est la Révolution française qui a introduit l'incarcération comme une peine. Avant la prison n'était qu'un moment transitoire pour le condamné en attendant que son procès ait lieu. Aujourd'hui la prison est critiquée notamment du point de vue du respect des droits de l'homme. Les prisons françaises sont gérées par l'administration pénitentiaire rattachée

privative de liberté SECTION 1 - LES LIEUX D'EXECUTION§ 1. Les différentes catégories d'établissements pénitentiairesA - Les maisons d'arrêtB - Les établissements pour peines1. Maisons centrales2. Centres de détentionC - Les établissements spécialisés § 2. Orientation des condamnés SECTION 2 - LA VIE EN DETENTION § 1. La sécurité dans les établissements pénitentiairesA - La mission générale de sécuritéB - Le régime disciplinaire1. Les fautes disciplinaires2. Les sanctions disciplinairesa. Nature

PRISONS FERMEES, SEMI-OUVERTES ET OUVERTES……………………………………………5 1.2.2. A PROPOS DES DETENUS PSYCHIATRIQUES…………………………………………....5 1.2.3. A PROPOS DES HOPITAUX DE DEFENSE SOCIALE……………………………………...5 1.2.4. A PROPOS DES CENTRES DE DETENTION POUR DELINQUANTS MINEURS D’AGE…….6 CHAPITRE 2. PROBLEMATIQUE ET CHOIX METHODOLOGIQUES…………………………..7 CHAPITRE 3. ANALYSE CRITIQUE ARCHITECTURALE………………………………………..9 3.1. GENESE MORPHOLOGIQUE ET SEMANTIQUE DE LA PRISON……………………………9 3.2. CONFRONTATION DE PRINCIPES DE COMPOSITION

Dans cette troisième partie, le dossier rassemble divers articles. -          L’excuse atténuante de minorité (réduction des peines encourues par les mineurs). -          Les clubs de prévention -          Les prisons -          Le contrôle social renforcé -          Punir ou traiter, nouvel article de Monsieur TOMKIEWICZ : ni les médicaments, ni les méthodes béhavioristes (punition - récompenses), ni la psychanalyse ne suffiront. Il ne servira à rien de frustrer, de dévaloriser le jeune, d’exiger

inoffensifs, les incarcérés doivent aussi subir la tyrannie des gardiens. Les prisons sont surchargées, dépassant leur capacité de 13% à 22% selon les différents états. La population des prisons fédérales dépasse la capacité officielle de ces établissements de 27%. Les travaux forcés sont encore pratiqués dans ce "pays de liberté". Dans plus de 30 états, les administrations ont légalisé l'exploitation d'une main d'' uvre carcérale par des entreprises privées. Il s'agit souvent de travaux pénibles

délinquant : ➢ Les facteurs individuels : carences affectives et éducatives durant l’enfance, fragilité psychologique ou intellectuelle. ➢ Les facteurs sociaux : catégorie socioprofessionnelle du délinquant, ou des parents s’il s’agit d’un mineur, niveau d’études, habitat, quartier, difficultés spécifiques (divorce, deuil, maladie…). La combinaison de ces deux types de facteurs est souvent le point de départ d’un acte délictuel. 2.3 Réponses apportées 2.3.1Prévention La prévention

---------------------------------- La justice des mineurs Depuis 1945 on reconnaît que la Justice qui est applicable aux adultes n’est pas adaptée aux enfants. On a donc créé une Justice des mineurs, en tenant compte de leur âge, afin de les protéger et de préserver les intérêts de la collectivité. Il existe une justice spéciale pour les enfants, avec un juge qui s’occupe spécialement d’eux : le juge pour enfants. Celui-ci a comme travail d’écouter non seulement des enfants qui sont des victimes

Résumé : La question de la réinsertion des détenus est affichée comme étant au cœur de la politique pénitentiaire, spécialement depuis 1945. Mais il s’avère que la mission de service public pénitentiaire s’inscrit dans des cadres très particuliers. Ainsi, l’administration pénitentiaire fonctionne sur une logique très verticale et descendante, notamment de par le caractère éminemment régalien de la politique pénale dans son ensemble. En même temps, la mise en œuvre locale de la politique de réinsertion