Etat Theocratique

régimes de séparation des pouvoirs a - La séparation souple : le régime parlementaire b - La séparation rigide : le régime présidentiel Section 2 L'organisation verticale du pouvoir : les formes d'État § 1- L' État unitaire A - Le modèle idéal B - Les aménagements a - La déconcentration b - La décentralisation § 2- L'État composé A - La fédération ou l'État fédéral

géopolitique PARTIE 1 Les pays émergents veulent accéder au pouvoir dans les milieux géopolitiques car ils ont des atouts dignes d’être utilisés sur le territoire mondial. Exemple : Le Brésil Géopolitiques et nations Nation: nationalité. Etat qui réunit des personnes ayant le sentiment d’appartenance au même territoire. Ernest Renan essaie de définir cette notion en 1882, il dit que c’est avant tout « une communauté de destin » c’est-à-dire vivre ensemble. Les personnes partagent la

voir, au moyen age, la théorie des deux glaives). Il est à remarquer que, dans cette organisation politique, le pouvoir religieux entend surveiller et même contrôler le pouvoir civil sans pour autant le remplacer. Il y a véritablement pouvoir théocratique lorsque la hiérarchie religieuse se confond avec la hiérarchie politique autrement dit lorsque la direction de la cité est recrutée dans la classe des responsables religieux. L’explication théologique présente évidemment l’inconvénient de

de Dieu sur terre. Max Weber, sociologique allemand a consacré une partie de son œuvre à expliquer les relations de domination et d’échanges entre Églises et États. La typologie wébérienne distingue deux cas de « hiérocratie » : la hiérocratie « théocratique » (plutôt rare), dans laquelle les fonctions de roi sont confondues avec la charge de chef des prêtres, et le cas du souverain « légitimé par les prêtres, que ce soit en tant qu’incarnation ou par la volonté de Dieu». Naissances, couronnements

le peuple qui est le souverain, il peut toujours exister un Roi mais simplement car il est comme un représentant de la nation. C'est une conception démocratique qui a prévalue. Il existe bien sur d'autres types de légitimité, une légitimité théocratique fondée sur une révélation, comme dans tous les États qui appliquent la Charria, c'est à dire le droit coranique. L'état n'a pas toujours existé, il a failli disparaître à certains moments, comme en l'an 1000 en Europe, il n'y a pratiquement

un organe spécial et parfois à un référendum on peut constater ce caractère disparate de la procédure. Il n’en demeure pas moi qu’à chaque fois la situation aboutit à ce que la constitution soit la règles suprême dans l’ordre juridique interne d’un Etat. La supériorité est donc incontestable et il faut que les autres règles juridiques soient soumises au respect de la constitution. §2 : Le but de la constitution. A) La fixation du statut de l’Etat La constitution est là pour éviter qu’il y ait une

républiques, loin d'être simplement une barrière contre la tyrannie, devenait quelquefois elle-même une tyrannie insupportable. Le régime des Gaulois, qui ressemblait assez à celui qu'un certain parti voudrait nous rendre, était à la fois théocratique et guerrier. Les prêtres jouissaient d'un pouvoir sans bornes. La classe militaire, ou la noblesse, possédait des privilèges bien insolents et bien oppressifs. Le peuple était sans droits et sans garanties. A Rome, les tribuns avaient, jusqu'à

européens et son empire décline ensuite jusqu’en 1879 où les anglais détruisent l’armée zoulou, mais dès 79 démarre le mythe de Chaka et de cette armée que l’on dit invincible. Abdel Kader dans les années 1830’, s’oppose aux français en créant un Etat algérien, mais défaite militaire contre l’armée française et puis est exilé. Le mythe se créer chez les Européens mais aussi en Algérie et au Maghreb. b. des révoltes armées ou des résistances pacifiques ex : - le soulèvement des Hereros (en Namibie)

s'il est possible que la France sorte de l'Union et retrouve ses pleines compétences, c'est hautement improbable. Mais le souverain ne délègue pas toutes ses compétences. Avec l'émergence, sous l'effet du libéralisme politique, de la théorie d'un État gendarme minimaliste, les compétences reconnues à l'État furent restreintes à ce que l'on nomme ses fonctions régaliennes, c'est-à-dire les compétences minimales de tout souverain, qui ne peuvent faire l'objet d'aucunedélégation. Cependant, par la

d’une nation dans les limites d’un territoire bien déterminé. Toutefois, l’existence d’un Etat quelconque ne peut être effective que si un Etat déterminé est reconnu par d’autres Etats, ainsi nous parlons de la reconnaissance d’Etats. De cette reconnaissance, un gage voudrait que la souveraineté d’un Etat soit prépondérante et qu’aucun Etat ne puisse s’ingérer dans les actions du gouvernement d’un autre Etat. D’un autre côté, des exceptions existent à ce principe actuellement. À l’époque contemporaine