Ethique Et Esthetique Du Classicisme

Leurs écrits sont-ils véritablement dénués de toute subjectivité ou opinion émanant de l’auteur lui-même ? Par quels procédés parviennent-ils à reproduire inexactement le réel ? L’illusion complète du vrai n’entraine t’elle pas des soucis d’ordre éthique ? Quel fut le rapport de ces auteurs aux critiques ? Quel est l’intérêt de représenter fidèlement le réel vis-à-vis de l’humanité ? Faire vrai permet-il de mieux dénoncer ou mieux exalter ? Quelles sont les limites entre réalisme et naturalisme ?

consommateurs du luxe On a 4 grandes familles de clients du luxe : Connaisseurs : Hermès, Cartier, Louis Vuitton (très proche de l’univers du luxe, en permanence intégré dans cet art de vivre). Amateurs : Louis Vuitton, Dior, Gucci (avoir une esthétique sur une marque) Occasionnels (de temps en temps une marque de luxe.) Logophiles : Armani, Dior, Ferrari, D&G, Louis Vuitton (je suis un fan de telle marque) Les connaisseurs Forte représentation au Japon. Ils ont une relation très proche avec

diversifié, et non le symptôme d'une richesse d'invention. Ce qui s'accroît surtout, c'est une littérature de divertissement pour un public de culture moyenne, littérature dont l'importance sociologique est peut-être plus grande que les préoccupations esthétiques. La littérature est de plus en plus un commerce. La pauvreté créatrice est souvent dissimulée par la fabrication d'"événements littéraires": publicité, vedettariat, multiplication des Prix, exploitation rapide des succès, etc. Culture et littérature

Bourget), salon de l’automobile, salon des innovations à la Foire de Paris... La technique apparaît donc comme un triomphe de la raison, triomphe qui s'est développé depuis le XVIIe siècle à l'époque classique. Depuis le classicisme, mouvement culturel, artistique et esthétique du XVIIe s'est opéré un «désenchantement du monde» selon l'expression de Max Weber. En effet, l'homme du Moyen-Age était animiste, et pensait que le monde était traversé par des forces mystérieuses, l'Univers apparaissait

(innovation ou nostalgie du passé?); on se demandera ce qu'a pu être la mode dans le passé (innovait-on délibérément ou sans le savoir?); on se demandera si les modes d'aujourd'hui ne visent pas à paraître intemporelles (le design n'est-il pas un nouveau classicisme?). Mais on ne défendra aucune mode particulière (l'opinion est ici une affaire de goût); on ne confondra pas interroger le phénomène de la mode avec proposer un jugement de valeur sur la mode. Ces exemples répondent à une nécessité logique (l'argument)

collectionneur, gens fortunés d'Europe qui pouvaient circuler. La collection du pape était publique, se trouvait dans les jardins. A partir du XVème explosion du collectionnisme, donc: nombreuses fouilles. Tout cela a suscité un intérêt pour l'Antiquité, esthétique d'abord, scientifique (identifier, reconstituer les œuvres), archéologique, social et économique (parce que ces œuvres ont pris de la valeur économique et ont donc été convoitées par les classes sociales les plus élevées, signe de richesse). Des

théorie du poème en prose (Eléments de Littérature, 1787). Ces débats pour la littérature et au sein d’elle même sont autant de prises de positions et d’engagements comme par exemple pour le romantisme. C’est en effet par opposition avec le « classicisme » que le « romantisme » va s’élever au début du XIXème siècle ce qui donnera lieu à de nombreux textes engagés comme Racine et Shakespeare (1823) de Stendhal où l’auteur écrit : « Ce qu’il faut imiter de ce grand homme (Shakespeare), c’est (…) l’art

Lumières. Le modernisme serait le produit d’une longue marche ponctuée par des révolutions politiques et sociales. D’autres historiens insistent davantage sur le besoin d’un profond renouvellement esthétique. Le modernisme serait le fruit d’une avant-garde artistique en réaction contre les formes du classicisme et contre des tendances plus neuves qui ne feraient en fait que perpétuer les habitudes ornementalistes de l’académisme, comme l’Art nouveau. A ce titre des œuvres comme celles de Frank Lloyd Wright

(innovation ou nostalgie du passé?); on se demandera ce qu'a pu être la mode dans le passé (innovait-on délibérément ou sans le savoir?); on se demandera si les modes d'aujourd'hui ne visent pas à paraître intemporelles (le design n'est-il pas un nouveau classicisme?). Mais on ne défendra aucune mode particulière (l'opinion est ici une affaire de goût); on ne confondra pas interroger le phénomène de la mode avec proposer un jugement de valeur sur la mode. Ces exemples répondent à une nécessité logique (l'argument)

.. 23 1.2.3. Les genres littéraires du baroque…………………………………………..25 1.2.4. Du baroque vers classicisme………………………………………………26 1.3. Le Classicisme………………………………………………………………….. 28 1.3.1. Le classicisme : l’étymologie et le sens du mot………………………….. 28 1.3.2. Les caractéristiques du classicisme………………………………………. 29 1.3.3. Les genres littéraires du classicisme……………………………………… 31 1.3.4. L’achèvement du classicisme…………………………………………….. 33 1.4. Le roman……………………………………………………………………….. 34 1.4.1. L’étymologie du