Etre Juste Est Ce Obéir Aux Lois

scolarisé où il doit obéir aux professeurs. Les enfants n’apprécient pas l’école en apparence parce qu’elle est le lieu des contraintes, de l’oppression de la liberté. Pour autant nous aimons profondément nos parents malgré qu‘ils soient la première autorité à laquelle nous fûmes soumis. Cela veut-il dire que nous aimons obéir ? Sans aucun doute, nous ne pouvons vivre sans obéir car même dans les loisirs (qui vient du latin licere qui signifie « être permis »), qui sont sensés être le moyen de s’évader

Faites ce qui est juste » - Rosa Parks Il fut un temps où les personnes de race noires avaient une place « désignée » dans les autobus du sud des États-Unis. Jusqu’à ce que Rosa Parks décide un jour de défier cette norme . Se faisant, alors qu’elle désobéissait à une norme bien établie, elle a sans aucun doute contribué de façon positive à l’évolution de la cause des afro-américains dans la société. Cela amène l’interrogation suivante : devrait-on toujours obéir aux lois ? Je crois que la question

soi-même (indépendance d’esprit : penser par soi-même) * Aimer : Sentiment d’affection et d’attachement envers un être ou bien dans notre cas, un état qui désigne la possibilité d’action et de mouvement sans contraintes : La liberté. Désir => aspect de notre condition qui peut être jugé fâcheux. Il est aussi pourtant à la source de notre grandeur. * Arguments : POUR | CONTRE | -Car par définition

Suffit-il pour être juste d’obéir aux lois et coutumes de son pays ? Qu’est-ce que la justice ? Existe-t-elle en, et pour elle-même ? N’y-a-t-il qu’une seule et unique définition de ce mot qui représente, tout du moins en France, un système complexe mêlant les lois et les hommes. La définition de ce mot est, pour la plupart des dictionnaires, constituée de ces quelques lignes : « La justice est un principe moral de la vie sociale fondé sur la reconnaissance et le respect du droit des autres qui

origine latine, est indissociable du « droit » qui prend la forme de lois visant à gouverner les hommes et à éviter les transgressions à l'ordre public. Il existe cependant deux formes de droit : le droit naturel qui s'apparente à la morale et dont les valeurs sont universelles, ainsi que le droit positif qui varie en fonction des pays et des époques. Toutefois, l'homme a-t-il un droit de révolte ou faut-il qu'il respecte les lois même si elles sont injustes ? Nous verrons d'abord que l'homme se doit

direct à la liberté. Quel sens faut-il donner à la désobéissance ? S’imposer grâce à la désobéissance peut mener jusqu’à la liberté ? Peut-on être libre si on obéit ? Est-il possible d’allier obéissance et désobéissance ? La question de la liberté et de la désobéissance en impose implicitement d’autres : Qui est libre de désobéir ? Peut-on désobéir ? Obéir, est-ce renoncer à sa liberté ? Sommes-nous libre qu’en désobéissant ? Aux origines de la justification du droit de résister se

L’opinion commune se fait de la liberté, l’idée suivante : «  être libre, c’est le fait de réaliser tout ce que l’on veut » Est- ce la une définition pertinente ? Non, parce-que : -Faire ce que l’on veut empiète sur la liberté d’autrui et finit par engendrer la guerre, les rapports de force violents, ce qui mène à l’opposé de la liberté. -Faire ce que l’on veut peut conduire à créée des dépendances, à perdre tout con trôle sur son désir, à être incapable de résister à la tentation comme ces enfants

déduire que dans la nature il n’y a pas de droit. On a donc un produit purement humain et non naturel. Le problème avec l’Homme, avec nous, c’est qu’on est en société depuis tellement longtemps que presque instinctivement on va se mettre à faire des lois, des règles, bref, du droit. Pour Aristote, on est des êtres vivants politique, le cadre juridique est notre norme, c’est ce qui fait qu’on a un mode de vie normal. Mais qu’est-ce que ça veut dire ? C’est simple : la nature humaine c’est de vivre en

| |mais qu’elle réside dans les lois naturelles communes en tout pays »|argumentation + preuve | |56c : « Le larcin, l’inceste, le meurtre des enfants et des pères, | | |tout a eu sa place entre les actions vertueuses » |→Lois humaines et donc imparfaites : le crime lui-même peut être | |56c : « Il y a sans doute des lois naturelles mais cette belle |justifié

obéissance à soi-même A) Être libre, est-ce obéir à ses désirs ? Nous avons montré que la liberté ne pouvait être définie par le fait de réaliser tous ses désirs. Dans la mesure où nous ne choisissons pas nos désirs, être soumis à nos désirs, c'est être soumis à quelque chose que nous n'avons pas choisi : le fumeur qui ne parvient pas à arrêter de fumer alors qu'il l'a décidé réalise son désir, mais c'est justement ce qui fait de lui un être dépendant. La liberté doit donc être définie, non par l'obéissance