Eudemonisme

Le bonheur Les enjeux de la notion – une première définition Le bonheur est souvent conçu comme étant une fin ultime de la vie humaine (c’est ce qu’on appelle eudémonisme). Il se distingue des fins partielles, c’est-à-dire des fins qui à leur tour deviennent des moyens en vue de fins plus élevées (par exemple la richesse). Le bonheur est la fin la plus haute, une fin que l’on recherche pour elle-même, une fin en soi. Cependant, une fois cela reconnu, nous n’avons encore rien affirmé de la nature

d’inquiétude en ce qui concerne aussi bien le passé, le présent et l’avenir. Pour conclure nous dirons qu’Epicure définit la philosophie comme méditation sur les causes qui peuvent produire le bonheur. Epicure présente donc sa philosophie comme un eudémonisme (le bonheur comme fin, but ultime). Mais cette recherche du bonheur suppose un hédonisme (plaisir comme souverain du bien) sélectif et prudent. Epicure précise que lorsque le bonheur est à nous, nous avons tout. Le bonheur est donc plénitude de

apprendre de leçon de l’histoire. L’humanité est condamné à ne jamais évolué car la nature humaine reste et demeure la même. Homo avant d’être sapiens et homo démens (homme délirant) impossible à rationaliser longtemps dans le temps. La conception Eudémonisme de l’histoire L’histoire n’a aucune signification car ici et là, des civilisations naissent, brillent et meurent sans capitaliser les valeurs morales. Nous nous civilisons progressivement dans la mesure où nous nous raffinons mais si nous sommes

* Conclusion : Et maintenant -> fin/ Définition du sage comme un dieu parmi les hommes * L’introduction La philo, une condition pour accéder au bonheur dans la mesure où il va savoir ce qui est bon pour la santé de l’âme. C’est un eudémonisme (Doctrine qui fait du bonheur le but suprême parce qu’il a une valeur éthique et donc morale) Remarque : Kant s’oppose à cette vision car

vertus; je m’écrie alors: « Mon Dieu, donnez-nous souvent de pareils fripons! » BONHEUR: Les enjeux de la notion – une première définition   Le bonheur est souvent conçu comme étant une fin ultime de la vie humaine (c’est ce qu’on appelle eudémonisme). Il se distingue des fins partielles, c’est-à-dire des fins qui à leur tour deviennent des moyens en vue de fins plus élevées (par exemple la richesse). Le bonheur est la fin la plus haute, une fin que l’on recherche pour elle-même, une fin en

Respect · Responsabilité · Valeur · Vertu et Vice · Volonté Doctrines et Courants Altruisme · Casuistique · Conséquentialisme · Contractualisme · Cynisme · Déontologie · Déterminisme · Égoïsme · Éthique de la discussion · Éthique de la vertu · Eudémonisme · Fatalisme · Hédonisme · Individualisme · Intuitionnisme (en) · Nihilisme · Perfectionnisme · Réalisme moral · Rigorisme · Théorie du commandement divin · Universalisme (en) · Utilitarisme · Individualisme libertaire Voir les catégories : Philosophie

ou femmes. A noter qu’Epicure faisait du besoin d’amitié un désir naturel et nécessaire, une condition sine qua non du bonheur (alors qu’il se méfiait des dérives passionnelles de l’amour). Aristote aussi place l’amitié dans la perspective d’un eudémonisme (morale qui se donne le bonheur comme fin). 2 Il précise que la distance, à la longue, détruit l’amitié par le silence. « Les ronces couvrent le chemin de l’amitié quand on n’y passe pas souvent », écrit Rivarol. Gageons que notre époque individualiste

est hédoniste (hedone du grec signifiant « plaisir »). Mais il ne s’agit pas de n’importe quel plaisir : c’est celui qui résulte d’une absence de désir, la sérénité véritable. Cette recherche du bonheur fait aussi de la doctrine épicurienne un eudémonisme (du grec eudaïmon qui signifie « bonheur »). Comment y parvenir sachant que les désirs sont multiples et qu’ils nous plongent dans la confusion ? Epicure nous conseille de biens distinguer les désirs en trois catégories différentes : il y a

bonheur. Ce qu’il faut retenir - Le Bien : Les conceptions du devoir ne prennent le plus souvent leur sens qu’à la lumière des conceptions du Bien. On peut ainsi identifier le bien au plaisir (hédonisme). On peut également l’identifier au bonheur (eudémonisme), ce dernier exigeant parfois d’éviter certains plaisirs et de supporter au contraire certains déplaisirs. On peut encore considérer que le Bien est purement moral et s’identifie à la vertu. - Les origines de la notion de devoir : Chez les stoïciens

en opposition à la joie, comme un état durable de satisfaction. Un problème se pose : comment s’assurer la maîtrise du bonheur s’il ne dépend pas de nous ? La philosophie depuis l’antiquité cherche à résoudre ce problème. Les philosophies eudémonismes ( celles qui font du bonheur la fin suprême à laquelle tend toute activité humaine ), comme l’épicurisme ou le stoïcisme considèrent la raison comme un guide pour apprendre à être heureux ( Stoïcisme : de 315 av JC en Grèce et jusqu’au premier