Exemple D Ironie

homme : Bardamu. Au début de ce roman, le narrateur-personnage décrit son colonel, ses compagnons de combats mais aussi sa peur face à l’immensité de cette guerre. Nous étudierons donc le réalisme de ce texte puis sa vision apocalyptique et enfin son ironie qui s’oppose au réalisme. Le personnage, Bardamu, décrit en effet la scène avec beaucoup de réalisme. On peut voir se réalisme dans la précision du texte avec les dates (la seconde guerre mondiale) et aussi par le contexte : la guerre, les continents

l’ironie est loin d’être clos. Dans cet article nous analyserons de façon comparative deux des théories qui rendent comte du caractère polyphonique de l’ironie. Il s’agit de la théorie de la polyphonie esquissée par O. Ducrot et de la théorie des ironies comme mentions développée par D. Sperber et D. Wilson. Nous nous proposons de présenter à travers une analyse d’article extrait de la presse satirique les avantages et les désavantages de chacune de ces deux théories. 1. Méthodologie et démarche

=ironie polémique de Montaigne dénonçant : - Ethnocentrisme-Ils soumettent les indiens à des autorités inconnues et dont la prétention de régner sur l’inde -Dénonciation de la brutalité des colonisateurs qui

par exemple) ; "Goût"/ "honnête homme" v12 : il n'est pas seulement question du plaisir physique mais aussi spirituel, esthétique. "l'abondance", la nature comme "source féconde" + tous les pluriels : on insiste sur la quantité des biens " l'or de la terre et les trésors de l'onde " : rime interne. L'or peur être pris au sens propre, mais métaphoriquement, donnez des exemples de cet

passagers de la voiture ? Voix critique perceptible à l’ironie. 1. Enonciation : mixte de narration omnisciente très présente, impression que le narrateur connaît tout de ses personnages ( précision du savoir sur les voyageurs, adresses par exemple « la rue du grand pont », origine de leurs biens , positions politiques, arrangements des mariages, réputations etc)et de focalisation interne suggérée dans les transitions avec des verbes de perception rapportés aux personnages. 2.

notamment au chapitre VIII du Temps des Amours, s'apparente à une ironie socratique. (Rédaction analytique complète : intro, 2 ou 3 parties, conclusion) Le Temps des Amours est le quatrième livre dans la série Souvenirs d'Enfance de Marcel Pagnol. Il décrit, en plusieurs épisodes, sa vie d'adolescent du début du XX siècle. Le ton est humoristique : l'humour vient tantôt des situations rocambolesques, tantôt du registre ironique. Cette ironie peut durer le long d'un paragraphe ou se trouver dans une

reprend " le ridicule " l.6 c'est en Allemagne = dépaysement pour éviter les critiques il y a aussi = fin du siècle passé = spatiaux temporels tonalité annoncée " plaisamment " l. 7 l. 8 " parler " = oral. Prise de position de l'auteur il annonce un exemple pour conforter sa thèse. C. Lignes 9 à 23 texte construit en plusieurs étapes et chaque étape insiste sur les savants (1 par étape) structures temporelles précises. Sont-ils réellement des savants ? Ils écrivent, mais n'ont rien vérifié = insistance

• Genre • Discours et registres dominants • Mouvement littéraire • Vers ou prose • Extrait ou texte intégral Détails : procédés d’écriture ou faits de style • Organisation logique, progression, cohérence (arguments, exemples, hypothèses) • Enonciation, point de vue, paroles rapportées, narrateur (personnages, locuteur, relations entre les personnages) • Lexique et rhétorique (champs lexicaux et leurs relations, figures de style et leurs effets) • Type

source comique est bien sure la vision elle-même d’un personnage entrant sur scène. C’est pourquoi, il cherche à déceler, à analyser la plus petite aberration d’un visage ou d’un regard grâce aux mouvements la tête ou de cou. Nous pouvons citer un exemple : « Mme Verdurin, voyant que Swann était à deux pas, prit cette expression où le désir de faire taire celui qui parle et de garder un air innocent aux yeux de celui qui entend, se neutralise en une nullité intense du regard, où l’immobile signe d’intelligence

des Bulgares. L´auteur n´effectue pas cette critique d´une forme directe, sinon qu´il l´effectue d´une forme plus indirecte : l´ironie et la satire. La deuxième phrase de l´extrait du IIIème chapitre (“Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu´il n´y eut jamais en enfer”) nous propose déjà une forte ironie entre le champ lexical de la guerre avec le mot “harmonie”, de manière que l´auteur nous expose une antithèse et de cette façon