Exemple Monologue Deliberatif

heure) Activités : - distribution du tableau « La mise en place de l’étrange » (partie I) - correction des questions à préparer à la maison Pour samedi 27 septembre : rédiger une synthèse sur le registre fantastique en s’appuyant sur des exemples précis tirés de La Cafetière (lire p.116-118 dans le manuel Méthodes et techniques) Module 3 : Lecture de l’image : les images fantastiques Objectif : confronter la définition du fantastique élaborée à partir de La Cafetière à des œuvres picturales

une nuit d’hiver un voyageur E Le doute identitaire : « Je est un autre » .......... 45 M. Duras, Le Vice-Consul E L’entremêlement des voix ..................................................................... 47 S. Beckett, L’Innommable E Le monologue intérieur ....................................................................... 48 L. Aragon, Aurélien E Au cœur de l’intériorité du personnage ............................................................ 49 Lecture d’une œuvre Marguerite Duras

l’esprit critique du destinataire pour obtenir son accord après mûre réflexion. Il formule une thèse2. Il s’aide d’arguments, c’est-à-dire des éléments de preuve destinés à l’étayer ou à la réfuter. Ces arguments sont eux-mêmes illustrés par des exemples variés : tirés de l’expérience personnelle, des lectures, des divers domaines de la connaissance : sciences, histoire, philosophie… Ce peut être des références à d’autres penseurs ou écrivains (citation), à des anecdotes amusantes ou frappantes (paraboles)

L’absence de toute coordination s’appelle l’asyndète et soutient souvent des accumulations ou gradations. Au contraire, lorsque les conjonctions de coordination sont répétées, on parle de polysyndète (deux ou trois fois le « et » dans une même phrase par exemple). Si la phrase est construite dans un souci de rythme et qui ménage un effet de chute, elle est appelée période. Cette « chute » mise en relief par une organisation complexe et un fort effet de sens à la fin de celle-ci, s’appelle la clausule. On

Objectifs particuliers : * Caractériser le héros tragique : homme ou femme face au dilemme * Proposer un nouveau modèle de souveraineté, la clémence d'Auguste * Revenir sur les principes de la tragédie classique * Étudier le monologue intérieur comme discours délibératif Lectures analytiques CORNEILLE, Cinna, 1642. Acte I- scène 1. v.1-52 Acte III- scène 1. v.709-756 Acte III- scène 3. v. 865-905 Acte IV- scène 3. v.1195-1244 Acte V- scène

et dramaturgie cornéliennes, Genève, Droz, 1996, II, « Corneille et la Société de Jésus ». Voir par ex. l’alternance des genres rhétoriques dans Cinna : judiciaire (II, 2 et V, 1) ; délibératif : qui incite (I, 3 ; IV, 3), qui dissuade (I, 4 ; II, 1 ; III, 4), qui hésite (I, 1 ; III, 3 ; IV, 2). Ailleurs, délibératif : Le Cid, I, 6 ; Othon, V, 2 ; judiciaire : Le Cid, II, 8, et Horace, V ; l’épidictique : L’Illusion comique, II, 2. Voir W. J. Dickson, « Corneille’s Use of Judicial Rhetoric : the

Elle a une fonction de critique sociale. Exemple : Beaumarchais, Le Mariage de Figaro (1778). Commedia dell'arte : genre apparu au 16e s en Italie, il s'agit d'un spectacle où les comédiens incarnent des types (Arlequin, Pierrot, Colombine) et improvisent autour d'un canevas. Comédie-ballet : Cette comédie naît en 1661 et disparaît en 1672. L'action s'accompagne de musique et de danse. La comédie-ballet est à l'origine de la naissance de l'opéra. Exemple : Le Bourgeois Gentilhomme (1670) mêle à

conflit ne réside pas seulement dans un affrontement entre deux personnages, mais aussi dans un conflit intérieur. Le personnage fait l’expérience d’un dédoublement d’étrangeté a soi, d’une expérience de la duplicité. On peut trouver de nombreux exemples dans le théâtre de ce déchirement de la conscience : Ex 1 : La passion est vécue comme une véritable dépossession. La Phèdre de Racine incarne la force de la passion. Elle est déchirée entre des sentiments contradictoirs.: « Je m'abhorre encor

s’accomplit, moins il paraît fatal aux yeux de certains. C’est évidemment un moyen d’entretenir la tension. Qui de Julie, de Sabine ou de Camille aura raison ? ● Analyser ce qui rattache le monologue de Sabine (scène 1) au registre tragique (situation, champs lexicaux, procédés oratoires…) Ce monologue se veut délibératif et ne l’est qu’en apparence puisqu’il ne débouche sur aucune décision concrète. Il est donc tragique parce qu’il exprime au sens propre le déchirement d’une conscience, une interrogation

de scènes. Exemple : bastonnade dans Les Fourberies de Scapin, III, 2 de Molière ; -comique de mots : jeux avec le langage, calembours, répétitions. Exemple : quiproquo de L’École des femmes, II, 5 de Molière ; -comique de situation : rencontres, événements inattendus, personnages cachés, masqués, mises en scène destinées à duper ; -comique de caractère : héros entêtés ou faibles, valets plus fins que leurs maîtres, défauts d’un personnage accentués (avarice, jalousie…). Exemple : Plaute et