Existe T Il Une Morale Universelle

tous les individus, fondée sur la capacité de déterminer le bien et le mal par le recours à des qualités humaines universelles, en particulier la rationalité. L'humanisme implique un engagement à la recherche de la vérité et de la moralité par l'intermédiaire des moyens humains, en particulier les sciences, en solidarité avec l'humanité. Les humanistes supportent une morale universelle fondée sur la communauté de la condition humaine3. L'humanisme est composant d'une variété de systèmes philosophiques

absurde reste en vigueur si elle n’est pas abrogée. LA SPECIFICITE DE LA REGLE DE DROIT il y a deux types de règles qui faut séparer des règles juridiques , il y a d’abord les règles religieuses et aussi les règles morales. Paragraphe 1: règle juridiques et règles religieuses A) Principe de la distinction B) Illustration A) Principe de la distinction Cette distinction n’est pas évidente puisque règles religieuses et juridiques étaient confondue. Dans l’ancien

on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme. » Ainsi Jean de la Fontaine, décrit cette forme d’expression comme à double sens : le corps est la fable et l’âme la morale. L'apologue est donc un genre littéraire ou artistique qui a la particularité d'être accessible au plus grand nombre tout en délivrant un message ou une morale à un public plus averti. Au cours de l'histoire des auteurs célèbres comme La Fontaine ou Voltaire y ont eu recours, pour transmettre leurs idées ou émettre des critiques

monde au 17ème siècle, Dieu produit l’homme, il a donc une existence déterminée 18ème siècle, philo athée mais l’essence précède l’existence. L’homme possède une nature, et chaque individu est un exemple particulier d’un concept universel. 4.2) Pour Sartre : L’homme existe avant de pouvoir être défini par un concept (l’existence précède l’essence), puisqu’au départ il n’est rien, car il n’est pas conçu par Dieu. 4.3) La subjectivité est un dépassement (transcendance). Elle est créatrice de ses propres

LE BIEN et LE MAL … OU ENCORE LE VICE et la VERTU ET PAR COROLLAIRE LA LOI MORALE Ce thème du Bien et du Mal remonte à l’origine de la création et pour l’illustrer j’ai pensé intéressant de vous citer, ci-dessous quelques extraits de la Genèse : Genèse 2.16 L'Éternel Dieu donna cet ordre à l'homme: Tu pourras manger de tous les arbres du jardin; mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. Plus

que Gobineau entend donner les conséquences d’une telle diversité : premièrement, l’humanité, au sens de l’espèce humaine biologique, n’existe tout simplement pas. Deuxièmement, l’humanité, au sens d’un idéal moral que tout homme tâcherait de rejoindre, ne constitue qu’une chimère. Ce qui existe, ce sont des races humaines, auxquelles correspondent autant d’humanités biologiquement différentes. Sujet : C’est vers cette ambivalence de la notion d’humanité, qui découle de la diversité des êtres humains

serait même, paradoxalement, un mythe, et il faudrait voir les sciences comme des pratiques dont le but n'est pas tant de connaître que d'agir de façon toujours plus performante sans se soucier de la valeur morale du résultat. B. L'éloge des sciences Or cette situation n'a pas toujours existé. Nous sommes à cet égard dans l'état d'esprit opposé à celui du xixe siècle qui, sous le nom de positivisme, voyait dans les progrès des sciences le vecteur d'une libération générale de l'humanité. Auguste

une opacité entre « moi » et « moi » ? I/ Nature et fonction de la csce A) Csce du monde, csce de moi 1) La csce humaine comme pvr de réflexion Qu’a-t-il de spécifique dans la csce humaine ? On mentionnera plusieurs degrés de csce. * Existe une csce animal, animal conscient dvpe une certaine préscience a son environnement = il appréhende son environnement a travers son système sensoriel (le chat voir un obstacle et le contourne * Csce autobiographique : les scientifiques disent

REPERES CONCEPTUELS STI STG *Absolu : Ce qui existe indépendamment de toute condition ou de tout rapport avec autre chose ex : Dieu Ce qui est total complet. Relatif : Ce qui existe que par rapport à autre chose, qui se rapporte à, qui dépend de. Ce qui comporte des manques, des limites, ce qui est incomplet. Ex : c’est relativement bon. *Abstrait : Qui n’existe que sous forme d’idée, de concept. Concret : Qui existe sous forme sensible, matérielle. Les deux

qui est démontré ? » La preuve est souvent considérée comme l’un des principaux moyens de tenir pour vrai une représentation, un jugement ou un énoncé. Elle est par définition contraignante, c’est-à-dire universelle, et valable dans tous les cas ; elle ne peut être autrement qu’elle est. Par conséquent, il semble que pour tenir pour vrai, en d’autres termes donner son assentiment sans réserves, détenir une preuve que ce fait est vrai est nécessaire. La science