Existe T Il Une Morale Universelle

Bien plus simplement, c’est parce qu’ils connaissent l’histoire de la philosophie et que le terme de « Liberté » par exemple, se réfère à la fois à cette idée chez les penseurs politiques du XVIIIe siècle, où la liberté est politique, à la liberté morale chez Spinoza, chez les Stoïciens de l’antiquité. Ils savent également que, par exemple, la question de la liberté individuelle chez les Stoïciens se pose au moment où la pratique politique devient impossible, et que la liberté de l’individu à l’époque

difficultés en suspens. Peut-on à ce point faire confiance à la simple évidence, celle-ci constitue-t-elle un critère infaillible de vérité, ou faut-il nuancer le propos ? Un deuxième point devrait être examiné : Est-il si évident que la morale soit à ce point universelle ? Et si c’était le cas comment expliquer la diversité des cultures ? Comment expliquer qu’à travers l’histoire certaines pratiques que nous jugeons proprement barbares aient pu être jugées normales ? Enfin ce texte suppose une pensée

efficace ? » Apologue* : récit imaginé illustrant une morale. Pratiqué par de nombreux auteurs. Il cherche à plaire et instruire. Citation Lafontaine : « une morale nue apporte l’ennui le conte est passé et le précepte avec lui » Charles Perrault : Ses «  bagatelles […] renferment une morale utile Problématique : Ne serait-ce pas une des formes d’argumentation les plus efficace qui soient ? (clarté et brièveté) *Mais la morale est cachée sous le récit (un apologue trop court complexe

dimension morale. Au regard de ces distinctions, vous pouvez donc reprendre la question du sujet : faut-il préférer l’obtention du bonheur au respect du devoir ? En d’autres termes, préférer l’obtention du bonheur au respect du devoir n’est-il pas condamnable moralement ? Il va falloir alors distinguer ce qu’on préfère dans les faits (le bonheur au devoir) et ce qu’on devrait préférer, ou montrer que cette préférence dans les faits est condamnable. On se situe alors d’un point de vue moral. Qu’est-ce

Sur la conscience morale Qu’est ce qu’un acte moral ? Ca rejoint les souvenirs de l’enfance, des choses à faire et à ne pas faire. La connaissance du Bien ou du Mal vient des règles et la formulation des interdits. L’éducation est la première référence au Bien ou au Mal, mais c’est une éducation très subjective, elle est relative. L’éducation par l’interdit donne la morale. La conscience morale est indissociable de la notion d’action. Agir en conscience, et agir en son âme et conscience. Le

SUR LA MORALE D'un côté, on peut considérer que la morale est d'origine sociale et donc relative à une culture particulière. Toutefois, la morale est souvent considérée comme un instinct ou une connaissance rationnelle innée et universelle. Finalement, il existe un lien très étroit entre la liberté et la morale : l'homme peut choisir entre le bien et le mal parce qu'il est libre. Sa liberté lui confère donc une responsabilité morale indéniable. I- Une morale sociale et relative A- Une morale liée

puis-je connaître ? » : Je ne peux avoir de connaissance quand faisant l'expérience par les sens « Que dois-je faire ? » : PB moral « Que suis-je en droit d’espérer ? » : PB de la Philosophie de l'Histoire Ces questions seront le socle de toutes ses pensées. Une des plus importantes étant de montrer l'aspect perfectible de l'homme à travers la raison et la morale. En effet de par sa nature charnelle, l'homme est historiquement esclave de ses instincts et de ses pulsions. Cependant, Kant croit

ne vit pas dans le bonne conscience car ses actes sont poussé par le désir d'être libre, et ainsi, il faut renoncer à la bonne conscience pour vivre librement. L'homme détient la conscience et la morale, ce qui lui permet de juger ses actes et ceux d'autrui. Ainsi, la bonne conscience prône l'acte moral, pur, dénué de désir, celui qui fera d'un homme un être bon. Cependant, l'homme n'est pas en quête de bonté, mais de plaisir, qui peut alors être acquis grâce à la liberté. Finalement, il apparaît

Dans ce texte tiré d'Emile et de l'éducation, Rousseau aborde le thème de la conscience morale. Son argumentation vise à répondre aux questions suivantes : quelle est la nature et l'origine de la conscience morale ? Est-elle innée, inscrite en nous de façon congénitale ? Comment comprendre que « cette voix intérieure » soit si souvent brouillée et occultée chez l'Homme ? A ces questions, Rousseau répond par la formulation suivante : la conscience est un « instinct divin ». Cette formule paradoxale

niveaux de la vie sociale : il y a des normes morales, des normes coutumières, des normes juridiques. | |  | |2) En quoi le système de normes juridiques diffère-t-il spécifiquement des autres systèmes normatifs en vigueur dans la société, et plus particulièrement | |des normes morales?