Exportation

son ouverture à l’extérieur est grande. C) Le taux de couverture Il permet de mesurer l’indépendance d’une économie ou d’un seul de ses secteurs dans les échanges internationaux en comparant le poids des exportations par rapport à celui des importations. Chaque fois que les exportations seront égales ou supérieures, on dira alors qu’elles « couvrent » les importations. III) Les Évolutions des Échanges internationaux Les échanges internationaux portent essentiellement sur des marchandises même

marocaine génère un chiffre d’affaires de plus de 13 millions de dirhams à destination des marchés les plus exigeants, notamment celui de l’Union Européenne, des USA et du Japon. Ce chiffre d’affaires représente près de 50% des exportations agroalimentaires, 9% des exportations globales du Royaume et près de 2.5 % du PIB. Ces données confirment la position du Maroc, en tant que plateforme incontournable de valorisation et d’exportation des produits de la pêche et le confortent dans son leadership

Communs (PAC). Il n’y a pas que l’Europe qui dispose d’une PAC : les USA et le Japon en ont aussi organisé. La PAC consiste en : * la préférence communautaire, ce qui est en contradiction totale avec la clause CNPF ; * la subvention aux exportations, ce qui offre des prix garantis aux exportateurs, mais ce qui est contradictoire avec le libre jeu de la concurrence. On doit mettre fin à cette politique d’ici 2005. Les financements compensatoires. Ils ont été créés en 1963 par le Fonds

croissance économique et à la réduction de la pauvreté. Les contraintes identifiées par les pays partenaires sont souvent semblables. Les plus courantes concernent : i) l’infrastructure de réseau, ii) la compétitivité, iii) la diversification des exportations et iv) l’analyse, la négociation et la mise en œuvre des politiques commerciales. Ils discutent de plus en plus de leurs priorités avec les donateurs grâce à diverses formes de dialogue. Les donateurs indiquent que le résultat de ce dialogue dépend

l'effort de désendettement dégage une épargne mise à disposition du reste du monde. Dans les pays émergents, la montée du prix du baril accroît encore l'épargne des pays pétroliers, tandis que les excédents commerciaux des pays d'Asie, tirés par les exportations continuent de progresser. On assiste alors à la formation d'un excès d'épargne mondiale, qui ne trouve plus à s'investir dans de nouveaux investissements comme ceux des nouvelles technologies. Or un taux d'épargne excessif entraîne des effets

de toute nature imposées à l’importation, par exemple les droits d’accises; Charges de toute nature imposées en relation avec les importations et les exportations, par exemple commission douanière, frais consulaires, taxe d’inspection de la qualité; Charges imposées sur les transferts internationaux de paiement pour des importations et des exportations, par exemple quelques taxes et commissions levées par le Gouvernement au moment de ces transferts. NPF: champ d’application(suite) Méthode d’imposition

devises Rappelons que le crédit commercial que peut accorder un exportateur marocain est de 150 jours ; celui-ci dispose de 30 jours au maximum à partir des échéances commerciales qu’il a éventuellement accordées pour rapatrier le produit de son exportation en biens ou en services. Comme pour l'acquisition des devises par un importateur, l'exportateur peut négocier la cession des devises et leur achat par une banque puis réaliser le rapatriement du produit en question par l'établissement bancaire qui

22% Japon 4,39% Turquie 2,83% Autres 41,11% États-Unis 18,15% Chine 8,34% Russie 6,35% Suisse 7,78% Norvège 3,10% Japon 3,27% Turquie 4,49% Autres 48,52% Part des importations de l’UE, de janvier à octobre 2010 Part des exportations de l’UE, de janvier à octobre 2010

création d’emplois en particulier pour les pays émergents - Le transfert de compétences et de technologies - L’amélioration de la productivité - Création d’entreprises en amont ou en aval - Constitution d’un tissu industriel - Augmentation des exportations

dette est libellée et payable en dollar. De même, les importations du pétrole exprimées en dollar donnent un léger avantage au profit du Maroc, vu que la valeur de l’euro s’est amplement appréciée face au dollar et vu aussi que les recettes des exportations marocaines, les transferts des MRE, les recettes touristiques sont très majoritairement en provenance de la zone euro. En revanche, n’est-il pas dangereux, surtout dans un cadre de croissance et c’est là le paradoxe majeur, que ce type de régime