Exposé Fordisme

a une croissance économique élevée et soutenue, qui est la conjonction de trois grands facteurs : la consommation de masse (stimulée par le développement du crédit à la consommation), le machinisme et la standardisation de la production (avec le fordisme et le taylorisme). C’est une croissance autoentretenue et reposant sur des gains de productivité importants : on parle de croissance intensive (contrairement aux autres pays). Ces gains de productivité profitent aux salaires, qui augmentent, ce qui

d'une société monde ? I – Cette période se caractérise par un rythme long de la croissance … A) … avec les Trente Glorieuses (1945-1973)... une conjoncture unique moteur principal de la croissance : l'industrie (lourde) âge d'or du Fordisme vertu de l'État-Providence des échanges de plus en plus importants dvlpt des échanges mondiaux : GATT (OMC) à partir de 1947 amélioration des moyens de transport des rythmes de croissance soutenues la croissance s'observe

L’effritement de la société salariale depuis les années 1980 a) – Le contexte : le capitalisme actionnarial ou patrimonial 1. A partir du milieu des années 1970, la régulation fordiste est en voie d’épuisement. L’organisation scientifique du travail commence à être contreproductive. Le ralentissement des gains de productivité et la forte hausse des salaires réels (contestation des OS) se traduisent par une hausse des coûts unitaires, une baisse de la part des profits dans la valeur ajoutée

l'électricité personne pensait kon allé fabriquer les télévisions) L'innovation technolique originel va ouvrir tout un champs de possibilité et que les entrepreneur innovateur, vont pouvoir en profiter. 2) la facon dee travailler(plus dutout le taylorime, fordisme, fini nouvel approche):l'émergence de l'informatique va de paire avec une nouvekl organisation du travail. On utilise mnt l'intranet pour communiquer, l'entreprise va etre géographique éclaté grace à internet et de nouveau outils informatique va

(navires marchands). Tout cela booste le secteur de la sidérurgie. L’industrie chimique se développe également et prend de l’importance avec les textiles synthétiques de couleur. Une nouvelle organisation du travail se met en place : taylorisme* et fordisme*. Ces deux révolutions bouleversent la répartition des hommes et créées une relocalisation de la main d’œuvre. Marx Velbert (1864-1920), économiste et sociologue allemand promoteur d’une sociologie « compréhensive ». Son objectif est d’étudier

leur salaire réel stagne. La norme de rentabilité demandée par la communauté financière a un impact sur le volume et l'orientation des investissements des E non financières. L'objectif n'est pas de mettre en place un accélérateur (comme dans le fordisme) c'est l'augmentation de la valeur actionnariale qui elle détermine la stratégie de l'E et son organisation interne. Par rapport au régime fordiste ce qui est important c'est la création de la VA , ce qui est différent de la croissance financée

de la guerre de Corée, M. Toyota fondateur de la désormais célèbre société Toyota y voit un marché potentiel de besoins auxquels il peut subvenir. Il demande alors à l'un de ses ingénieurs Mr Taiichi Ohno de mettre en place un modèle différent du fordisme (en vigueur à l'époque) et adapté aux contraintes socio-économiques de l'époque. Ce dernier créera un mode d'organisation appelé Ohnisme dont un des principes fondamentaux est la minimisation des pertes par une qualité absolue (qualité totale). Ce

rendement. _ Le Fordisme, avec H. Ford qui poursuit l’œuvre de Taylor en ajoutant trois nouvelles innovations : la chaîne d’assemblage, la standardisation des produits et le 5 dollars par jours. C’est avec Ford qu’apparait le travail à la chaîne. _ Le Toyotisme (apparue en Europe dans les années 1980), avec 3 principes : la polyvalence, la qualité et les flux tendus. Paul ARRIES (politologue) qui intervient dans ce film, traduit le taylorisme par : « travail et tais-toi » ; le fordisme par « travail

présentation de Smith, restée célèbre à travers l’étude du fonctionnement d’une manufacture d’épingles, préfigure ce que sera beaucoup plus tard l’organisation scientifique du travail (OST) avec ses deux modèles historiques que sont le taylorisme puis le fordisme. Dans les deux cas on retrouve une double logique organisationnelle déjà illustrée par Smith en 1776, celles de la division verticale et de la division horizontale du travail. Pour Smith, l’intérêt de la division du travail va au-delà du seul

possible de dégager des principes universels et permanents :- Il existe un « one best way » de production qui doit s’imposer à tous- Le profit est la mesure de la performance- On peut faire abstraction des facteurs | 7 Exemple d’application : Le Fordisme 17 ans, pas envie de reprendre l’entreprise familiale, il va a détroit et travail pour 1,10€/H. Il est viré. Se marie et commence des travaux sur les machines. Il rencontre Thomas Edisson qui lui dit : « continue tes travaux et les voitures »