Expressions Et Quiproquos

Des mots : jeux de mots, jurons, défauts de prononciation, incorrections de langage, répétitions, etc. • Des gestes : mimiques, grimaces, déguisements, coups de bâtons, personnages qui se cachent, courent sur scène, etc. • De la situation : quiproquo, malentendu, renversement de situation (un personnage se trouve dans une situation opposée à celle qui était la sienne auparavant), etc. • Du caractère : manies, obsessions, traits de caractères qui s’écartent de la norme, stéréotypes, etc. Certains

cachent une certaine vérité. Comme le fait si bien remarquer l’auteur dans son pacte de lecture, matérialisé dans sa nouvelle n°I : « Ah mes fillettes, ne vous y fiez pas : ilz vous tromperont, ilz vous feront lire ung quid pro quod » (p.17). Cette expression s’accorde, avec exactitude, à la nouvelle n°VIII, objet même de notre étude. « Du Procureur qui fit venir une jeune garse du village pour s’en servir : et de son clerc qui la luy essaya » est un conte ambivalent où nous pouvons à la fois nous esbaudir

: mimiques, ridiculisation, grimaces, vêtements, coups de batons, gifles... Des situations qui font rire le public. Comique de situation Le comique se fait par le déroulement de l'histoire : retournement de situation, chute, rebondissements, quiproquos... Comique de mot Le comique passe par des jeux sur les mots eux-mêmes : calembours, jeux de mots, prononciations particulières... Comédie de mœurs Satire de la société : l'auteur se moque des moeurs et des nobles de son temps, tel que médecin

bâton, les gifles, les mouvements désordonnés, les chutes, ce qui est lié au corps etc… 3- Le comique de situation domine dans les comédies d’intrigue ; il peut s’agir de personnage dissimulé entendant ce qu’il ne devrait pas entendre, de quiproquos, de déguisements, de rencontres inattendues, de reconnaissances, de péripéties diverses etc… 4- Le comique de caractère s’en prend aux travers des individus ou des « types » - l‘avare, l’hypocrite, le vaniteux, le jaloux , le mondain

apporte la résolution du « nœud » de l’action. * On peut citer deux cas particulier s de situations dramatiques : * Le coup de théâtre est une péripétie qui vient inopinément bouleverser la situation ou le dénouement * Le quiproquo est un malentendu, une méprise qui fait du dialogue théâtral une sorte de « dialogue de sourds » : les personnages croient parler du même sujet et en fait suivent chacun leur idée. c - Les divisions du genre : comédie, tragédie, drame… Ces

Dans Les Fausses Confidences de Marivaux, le stratagème théâtral n'est-il qu'un ressort comique ? Vous répondrez à cette question dans un développement organisé en vous appuyant sur Les Fausses Confidences , sur les textes que vous avez étudiés dans le cadre du parcours associé et sur votre culture personnelle. L’intrigue traditionnelle de la comédie française, héritée de l’antiquité, repose

comparaisons, |Contes | |On assiste à une intrusion de l'irrationnel, à des |personnage, est |pers. souvent stéréotypés : |métaphores, expression de l'irrationnel ; |fantastiques, | |phénomènes étranges : expression de l'animation et de |déstabilisé. Il ne sait |château hanté, la nuit, animation |perceptions, sensations qui paraissent incertaines, |romans,films, | |l'incarnation

15 « Eh ! ». Dans un troisième temps, il est important de noter que celle-ci s’accentue par une accélération du rythme traduite par le biais d’indices relevant justement les déplacements du personnage. Ainsi nous trouvons donc ces différentes expressions à la ligne 4 du monologue: « où courir ? où ne pas courir ? N’est-il point-là ? n’est-il point ici ? » Le deuxième stade de la folie va donc l’amener à la perte d’identité. Cette dernière va passer d’une part par un dédoublement de la personnalité

dialogue avec plus de deux interlocuteurs ce qui peut tourner en cacophonie totale ou être une conversation harmonieuse. Enfin il y a le dialogue de la non-communication, un dialogue dans lequel les interlocuteurs ne se comprennent pas, on parle de quiproquo par exemple dans Le Tartuffe de Molière, Marianne déclame son amour pour Valère alors qu’Orgon pense qu’il s’agit de Tartuffe MARIANE Me suis-je méprise? ORGON Comment? MARIANE Qui voulez-vous, mon père, que je dise Qui me touche le cœur,

de la description Fonction narrative de la description Fonction esthétique de la description Fonction référentielle de la description Portrait physique/moral/social/en action Théâtre Didascalies expressives Didascalies fonctionnelles Quiproquo Répliques Tirade Stichomythies Monologue Aparté Répartition volumétrique de la parole Rupture de la loi de coopération Rupture de la loi de sincérité Rupture de la loi d’information Sous-entendu Présupposé Argumentation Connecteurs