Faculté Positive Descartes

mouvements propres (impulsions, passions, instincts, etc.). Cogito Signifie en latin « je pense ». Désigne le sujet tel qu’il est découvert par le « cogito ergo sum » (« je pense donc je suis ») de Descartes, c’est-à-dire non pas l’individu (René Descartes) mais en général la chose pensante qui est, selon Descartes, au fondement de toute connaissance possible. Conscience État mental qui étymologiquement signifie « avec savoir », ou « savoir avec ». La conscience est ce par quoi l’individu se représente

avant de commencer un ouvrage, c’est par quoi il faut commencer » Pascal, Pensées. 2. « Il y a » Apollinaire, Calligrammes. 3. « La pensée est essentiellement à l’écoute de l’être » Martin Heidegger, Lettre sur l’humanisme. 4. « Cogito ergo sum » Descartes, Discours sur la méthode. 5. « Ça pense donc ça est » Volonté de puissance, Nietzsche. 6. « Dieu est la pensée qui éternellement et sans fatigue se pense elle-même » Aristote. 7. « Il est tout à fait du philosophe, ce sentiment : s’étonner. »

à des schémas définis qui ne font pas intervenir la volonté consciente. D’autre part, l’intelligence peut être opposée à la bêtise . De ce point de vue, certains hommes sont plus intelligents que d’autres ; ils possèdent à un degré éminent cette faculté spécifiquement humaine. Quant à la bêtise, comme l’indique l’origine même du terme, elle constituerait une sorte d’analogue humain – dont le sens serait à préciser - de l’animalité et de l’instinct. Dans le premier sens de la notion d’intelligence

après le sujet de la science et de la relativisation historiciste, et l’amalgame de ce qu’autrefois on distinguait, connaissances rationnelle et historique. Aujourd’hui, la science se trouve couramment confondue avec la technique moderne. Descartes : « la science nous rendra comme maîtres et possesseurs de la nature ». On a tendance à se figurer le scientifique par excellence comme un médecin. Cette confusion entre science et technique est assumée comme vraie par Heidegger. Or, on pourrait

- Je suis ce que je suis car j’ai une conscience de moi et de mon existence. Pour Descartes, je suis un sujet pensant, un cogito qui prend conscience de lui-même. La conscience, c’est le retour de l’objet perçu vers l’acte de percevoir. Quand je veux un objet, je sais que je suis le sujet de la volonté, que je suis voulant. La caractéristique de l’être humain conscient est qu’il doute. Et selon Descartes, il faut douter de tout pour nourrir sa conscience. - Je suis ce que je suis car je

environnent toutes ces questions, laisseraient quelque lieu de disputer sur cette différence de l'homme et de l'animal, il y a une autre qualité très spécifique qui les distingue, et sur laquelle il ne peut y avoir de contestation, c'est la faculté de se perfectionner ; faculté qui, à l'aide des circonstances, développe successivement toutes les autres, et réside parmi nous tant dans l'espèce, que dans l'individu, au lieu qu'un animal est, au bout de quelques mois, ce qu'il sera toute sa vie, et son espèce

de la connaissance ? Selon DESCARTES, pas plus que les autres sensations, l'odorat ne nous permet de connaître la matière. Seule, une « inspection de l'esprit » peut y parvenir. Nos sens ne nous apprennent rien sur la véritable nature des choses. Percevoir d'une façon générale, ce n'est pas sentir – voir – entendre... mais c'est comprendre ce que nous sentons – voyons – percevons. C'est l'entendement, qui nous permet de connaître les choses. (Page 360-361 » DESCARTES : Le morceau de cire) Le

de mes passions. Ainsi, la passion de vouloir faire du mal pourrait être plus forte que ma volonté de ne pas le faire. Ma liberté ne s’exerce pas lorsque j’agis selon mes penchants mais lorsque j’agis selon ma raison. La raison est donc une faculté qui va entre le plaisir et la volonté. Ainsi, si la raison me commande ce qui est bon, il faut agir en usant ma raison. Ainsi, ma liberté d’action et donc de faire ou de ne pas faire du mal est ramené au problème de jugement. L’homme est la proie

le monde, ni sa propre nature et peut donc être | | |lui donne donc le choix absolu de son existence, puisque ses |déterminé à son insu. Il en fait un outre un être éduqué, qui a| | |comportements et même ses facultés ne sont pas prétracés. La |intériorisé une multitude de schémas de pensée dont il n’a même| | |liberté est donc la condition qui découle nécessairement de |plus conscience. La liberté est donc une illusion suscitée par | |

présente des avantages incontestables : les institutions humaines résultent de la vie en société ; c'est bien le cas du langage qui se conçoit essentiellement cornme un instrument de communication. Les institutions humaines supposent 1’exercice des facultés les plus diverses ; elles peuvent être très répandues et même, comme le langage, universelles, sans être identiques d'une communauté à une autre : la famille, par exemple, caractérise peut-être tous les groupements humains mais elle se présente,