Fatwa

fondée par le Centre Catholique de l’Information, ses programmes prêchent le christianisme et sont diffusés en langue arabe. Cette radio vise un public chrétien, sa diffusion couvre le Liban seulement. - Radio Dar el Fatwa : fondée par le Conseil Islamique Supérieur (sunnite) « Dar el Fatwa », ses programmes prêchent l’Islam selon les musulmans orthodoxes « le Sunna » et diffusés en langue arabe, sa diffusion couvre le Liban. - Radio al Bacha’ er : fondée par l’imam chiite el Sayed Mohammad Hussein

les ports de la Méditerranée.  L'exemple d'Ibn Rustum n'est point unique car on assistera à des séries de faits similaires où les fatwâ-s[6] des oulémas légitiment l'action des chefs politiques quand elles ne peuvent ou veulent pas les contrecarrer. Ainsi, le fameux commerce transsaharien et ses échanges, de plus en plus fructueux, seront l'objet de quelques fatwas chez des oulémas Malikites de Kairouan.  Dans sa Risâla, (faisant curieusement référence encore chez les musulmans ouest-africains 

musulman en pleine expansion connut l'influence des diverses philosophies et cultures étrangères. Les sectes apparaissent et font rage profitant de l'ignorance de la masse des musulmans. L'absence de règles strictes -qui organisent et authentifient les fatwas (les efforts d’interprétation juridique)- a favorisé l'anarchie en matière de jurisprudence surtout dans les régions les plus éloignées. Dans ce contexte politique et religieux très agité, les quatre écoles : hanafite, malékite,shâfi‘ite et hanbalite

menaces à craindre pour un auteur engagé. En effet, un groupe peut se sentir menacé, ridiculisé par une œuvre et réagir avec les moyens à sa disposition. Ainsi, en 1988, l’auteur des « versets sataniques », Salman Rushdie fut condamné à mort par une fatwa (loi édictée par un religieux), pour « propos jugés blasphématoires » envers l’Islam dans son oeuvre. En 2006, Roberto Saviano publie Gomorra, œuvre dans laquelle il décrit précisément et dénonce le système mafieux napolitain « la Camorra ». Condamné

ressources, nombres d’entre elles sombrent dans le vagabondage ou la prostitution. Aucune structure d’accueil pour ces femmes abandonnées à leur sort n’a été prévue. Pour celles qui se sont retrouvées enceintes, elles ont du attendre de recevoir une fatwa pour se débarrasser de la grossesse non désirée. Mais dans certains cas le haut conseil islamique a refusé d’autoriser l’avortement 4. Les mères et épouses des disparus : Elles sont dans l’angoisse de ne rien savoir du sort de leurs maris

ironique dans le chapitre III et au chapitre V. Un exemple plus récent, Les versets sataniques de Salman Rushdie, est une illustration parfaite. L’auteur a voulu dénoncer certaines idées véhiculées sur le Coran, et pour ceci, il fait l’objet d’une fatwa. Il est devenu un symbole de la lutte pour la liberté d’expression. Les auteurs veulent aussi provoquer, faire réagir. Par exemple, de nombreux auteurs du XVIIIème siècle ont donné des idées à la société, ce qui a donné une conscience intellectuelle

des activités de la banque islamique par un conseil religieux (Chari’a Board) • L’existence au sein de chaque banque d’un tel organe est fortement recommandée (conformité des transactions, validation d’opération-type, règlesd’éthique, émission de fatwa, suivi et supervision). | Filtrages éthiques• Le financement doit porter sur des activités licites (halal) et la société objet de l’investissement ne doit pas avoir un ratio d’endettement trop important. | Dans ces circonstances de développement

ayatollah a, bien entendu, la compétence nécessaire pour prononcer des fatwas. §           Une fatwa est une interprétation de la loi Coranique émanant d'un ouléma, docteur de la foi musulmane qui a une autorité religieuse respectée. Cette autorité s'applique particulièrement au fiqh, qui est le droit musulman. La fatwa est une sentence grave, que tout musulman doit respecter. En février 1989, l'ayatollah Komeyni ayant prononcé une fatwa condamnant à mort l'écrivain Salman Rushdie réfugié au Royaume-Uni

supplémentaire. Exceptionnellement, et pour des raisons d’ordre pédagogique, les partisans du rite malikite ont émis un avis juridique (Fatwa) qui tolère l’application aux retardataires d’une indemnité pouvant être versée, après approbation du comité de la chari’a, à des organismes caritatifs, parfois imputée au compte dédié à la zakat. Ainsi, l’application de cette fatwa reste soumise à certaines conditions afin de prévenir toute dérive. Le second principe le partage des pertes et des profits (PPP) Moyennant

peut se servir d’eaux usées sans entraîner de conséquences néfastes. Il a été constaté que l’Arabie Saoudite a étudié cette question en profondeur dans les années 1970 et que ses chefs religieux ont exposé leur opinion dans ce qu’on appelle le Fatwa. Ils ont conclu que la réutilisation des eaux usées était parfaitement acceptable à condition qu’elles soient traitées suffisamment pour ne pas nuire à la santé, ce qui est tout à fait raisonnable. (il s’avère que) l’Arabie Saoudite réutilise presque