Filiere Blé Tendre

Couverture PFE IAA_2_ 2003 1 Année Universitaire : 2009-2010 Filière ingénieurs Industries Agricoles et Alimentaires Rapport de stage de fin d’études Réalisé par l’élève-ingénieur: ELMOUATASSIM Meriam Encadré par: - Dr. BERRADA. O : Nestlé El-Jadida - Pr. TLEMCANI. R : FST de Fès Présenté le 28 Juin 2010 devant le jury composé de:

En première position, en terme de valeur, se trouve le « Blé et farine de blé », cultivé et produit à Madagascar, même en petite échelle. Pour le COMESA, la Communauté a un gap annuel de 9 millions de tonnes de, i dont 7,5millions de tonnes en blé dur. L’Egypte, lui seule a importé annuellement 6 millions de tonnes de blé dur, suivi par le Soudan (927 400 tonnes). Au sein de la SADC, le besoin annuel du bloc économique en blé tendre est estimé à 2,7 millions de tonnes, dont 1 million de tonnes

de 11 BIO : FAUSSES PROMESSES ET VRAI MARKETING gauche et d'ailleurs, par une citation de Jean Jaurès. Elle est tirée de« La houille et le blé » (La Petite République, 31 juillet 1901). «Mais n'est-ce pas l'homme aussi qui créa le blé? Les productions que l'on appelle naturelles ne sont pas pour la plupart [ ... ] l'œuvre spontanée de la nature. Ni le blé ni la vigne n'existaient avant que quelques hommes, les plus grands des génies inconnus, aient sélectionné et éduqué lentement quelque grain

le résume en un seul mot: “l'intégration”. “Dès qu'un besoin se fait sentir chez les adhérents, COPAG y répond en créant la structure correspondante«, explique-t-il. Aujourd'hui, la coopérative est arrivée à intégrer l'ensemble des besoins de la filière lait, de la production jusqu'à la commercialisation en passant par la transformation. Une centrale d'achat La COPAG s'est érigée en centrale d'achat pour ses adhérents qu'elle approvisionne en matériels, équipements, aliments, semences, produits

de chair en AB Techn’ITAB Ce cahier technique s’adresse à l’ensemble des acteurs de la filière ‘poulet de chair biologique’ et plus particulièrement aux professionnels s’orientant vers la conversion ou la création d’un atelier. Il présente l’ensemble des caractéristiques techniques de la production, selon les principes de l’agriculture biologique. Ce document est composé de huit parties : I - Intégrer la filière française II - Avoir un élevage performant III - Adapter son système de production IV -

Progressivement l'habitat en grappe semi enterré est remplacé par des murs droits, des bâtiments élevés sur sol = Çatal-Hüyük (-6500, Anatolie) construite sur 12 ha pour 5.000 habitants et 1.000 maisons Le village cultive le territoire environnant (blé, glands, viande, pêche etc) et y ajoute une activité de proto-ville : artisanat et commerce (marchandises, métallurgie, céramique). L'âge moyen était de 34 ans pour les hommes et de 29 ans pour les femmes. On pratiquait le culte de la fécondité.

et l’élevage La Superficie Agricole Utile (SAU) s’étend sur 583.684 ha, soit 34% de la superficie globale. La superficie irriguée occupe 31% de la SAU. L’occupation des terres agricoles est dominée par les principales cultures céréalières (blé dur, blé tendre, orge et maïs) avec 69% de la SAU ; participant à raison de 14,8% à la production nationale. Les cultures industrielles, notamment la betterave et le coton, qui n’occupent que 3% de la SAU contribuent avec 35% à la production nationale. Quant

fondamentaux et cahier des charges Développement des grandes cultures biologiques dans la région transfrontalière Les rotations Gestion de l'enherbement Pomme de terre et féverole La pomme de terre La féverole Céréales, pois et haricot Le blé d'hiver et le triticale Le blé de printemps Le pois industriel Le haricot industriel Endive, betterave, engrais verts L'endive - la culture L'endive - le forçage La betterave sucrière Les engrais verts Exemples de systèmes de production Grandes cultures bio et conventionnelles

capitalistes. Des raisons de management, de prise de décision et de gestion  Simplification, rapidité, meilleure vision des rentabilités par métier, faciliter le recentrage etc. En fédérant l'amont de la production, et en investissant l'aval des filières par le biais des démarches de certification et de qualité, les coopératives cherchent à accroître la plus-value de leurs produits. Elles se trouvent en position charnière pour combiner des savoir-faire locaux et des savoirs organisationnels. Atouts

des aliments des animaux ................................ ................................ .......... 61 3.2.5.6. La formation, l’ information et le conseil en alime ntation animale ................................ ...... 62 3.3. L’ évolution des filières animales ................................ ................................ ............................. 62 3.3.1. Evolution de la consommation ................................ ................................ ................................ . 62