Fondements De La Royauté Mérovingienne

Assemblée populaire qui délibérait sur les lois (pouvoir législatif) L’Assemblée populaire L’ecclésia (assemblée) athénienne, ce caractérisait par un fonctionnement réellement démocratique : l’égalité de tous les citoyens était un fondement de la démocratie grecque qui reposait sur le principe que le pouvoir devait dépendre de tous et être exercé par tous. Les citoyens, hommes majeurs de 18 ans, avaient librement accès a l’assemblée sans distinction de classe social ou de fortune

le Roi peut exercer un contrôle. C’est en aucun cas un abandon du pouvoir par le Roi. On voit aussi que c’est le roi qui confie une certaine charge aux officiers. Les officiers ne doivent leur position que par le Roi en fonction des besoins de la royauté. Les remontrances doivent exercer dans le cadre de l’intérêt du royaume en particulier, le devoir de conseil dans la remontrance au profit du Roi. Le but étant d’attirer l’attention du roi sur des actes qui seraient contraires aux lois du Royaume

siècles) De la Féodalité à la Monarchie SUITE … INTRODUCTION HISTORIQUE AU DROIT HISTOIRE DES INSTITUTIONS ET DU DROIT FRANÇAIS 5e-18e SIÈCLES Chapitre 3 Les institutions royales Avant de devenir monarchie absolue, au 16e siècle, la royauté capétienne dut reconquérir les pouvoirs qu’elle avait perdus à la fin des temps carolingiens. Cette reconstruction du pouvoir royal au Moyen Âge fut à la fois idéologique et institutionnelle. Nous allons voir comment dans ce chapitre en étudiant

Passage d'un royaume germanique à un royaume chrétien civilisé. La France est la fille de l'église. Cela apporte le droit romain qui lui même se situe dans le droit canoniques. Naissance de la France. Modèle qui va durer de 496 à 1789. En 496 les mérovingiens (première dynastie française). 751 Pépin Le Bref maire du palais devient roi, les rois carolingiens apparaissent (PLB fils de Charles Martel). 987 les capétiens (Hugues Capet). L'héritage romano canonique. Leçon I: Du droit aux racines, des

d’Etat, il y a une idée d’abstraction : « j’obéis au Consul parce qu’il est Consul et qu’il représente l’Etat, la chose publique ». La justification de ce pouvoir devient ici idéologique. La chose publique, la République tire sa légitimité, son fondement, du peuple, de l’ensemble des citoyens. Les consuls donnent des ordres, non pas en leur nom, mais au nom de la République, c’est à dire au nom de l’ensemble des citoyens. Cette fiction, donc, permet de concevoir un pouvoir abstrait, censé être

religieuses et ultramontaines. Il faut attendre l’école positiviste et la création de la Revue historique (1876) pour que soient réhabilités les historiens du Moyen Âge. Sous l’impulsion de G. Monod (Études critiques sur les sources de l’histoire mérovingienne, 1872), nombre d’historiens français ont travaillé sur l’historiographie médiévale, rattrapant le retard sur leurs collègues européens, allemands notamment. Toutefois, la méfiance envers les récits historiques médiévaux est demeurée pérenne et

moins organisée régissent les rapports entre les hommes. Chapitre 1 : L’invention du droit moderne : le monde romain. Si la Grèce est le berceau de la philosophie politique, Rome avec son droit a donné au monde méditerranéen et a l’Europe des fondements pour la vie en société. Section 1 : la formation du droit romain. I. L’ancien droit romain : C’est un droit religieux, les principes réglant la vie des hommes sont des ordres sacrés. C’est un droit primitif, plutôt coutumier. C’est un droit

Introduction : depuis toujours, les historiens ont distingué dans l’histoire 3 périodes : -La 1ère, le haut moyen âge (la période franque) entre le 5e et le 9e siècle. Au cours de cette période, deux dynasties se sont succédées : Les mérovingiens, avec comme principal représentant Clovis qui est le fondateur de cette dynastie. Peu a peu, cette dynastie s’essouffle (vers le milieu du 8e siècle) et laisse place à celle des carolingiens (principal représentant Charlemagne), qui elle-même va s’essouffler

une partie du fief concédé fait l’objet de concessions. Du point de vue de seigneur cette sous inféodation ne porte pas a conséquence. L’aliénation elle, contrarie cette liberté du choix du vassal, l’aliénation en tant que telle met en cause le fondement même du droit féodal, c’est pour cette raison même que la vente du fief n’est établie que tardivement, elle allait à l’encontre du droit féodal qui allait dans le sens que le seigneur choisit son vassal. La vente du fief n’a donc été admise qu’a

s’appuyant sur le monachisme réformé. Enfin, on cherchera à définir les différents types de pouvoirs et les formes à travers lesquelles ils s’exercent en essayant d’adopter une perspective comparatiste. Première partie Les pouvoirs politiques : royautés, principautés et seigneuries Chapitre 1.1 De la Francie à la France Les pouvoirs supérieurs : rois et princes, Xe-XIe siècles Olivier BRUAND En 888, le royaume occidental se choisit un roi : Eudes, qui doit affronter le péril normand