Fondements De La Vème République

LA QUATRIEME REPUBLIQUE (1945-1958) Au sortir de la guerre, La France est très appauvrie, traumatisée par les années d’occupation. Née dans des conditions difficiles, la IVème République sut encourager la croissance économique et le progrès social, mais elle ne parvint pas à faire face aux problèmes politiques et coloniaux. I- Des débuts difficiles (1945-1947) A. La difficile élaboration de nouvelles institutions 1. Le nouveau visage politique

en société, car elle permet de se positionner et de décider en connaissance de cause des actions dans une situation courante dans la vie d’un citoyen. 2. L’origine de la rhétorique A l’origine la rhétorique est apparue au Vème siècle avant J-C sur l’ ancienne île grecque aujourd’hui nommée la Sicile. Rhétorique du latin « rhetorica » et du grec ancien « rhêtorikê » correspond à l’étude et l’art de bien parler. Cette notion permet de mettre en avant l’importance et la prise

après le 16 mai 1877, dans la pratique, les présidents français ont peu utilisé le droit de dissolution. Il en est encore ainsi de l’application de la fonction de président du conseil sous la IIIème république. Sous la Vème république, la pratique du pouvoir a transformé le président de la république en arbitre alors que l’article 5 de la constitution de 58 le qualifiait de monarque républicain. Cette transformation de la fonction présidentielle résulte de la pratique gaullienne du pouvoir (=pratique

caractères suprême d’un pouvoir suprême ». En somme, la souveraineté, c’est le fondement de la légitimité du pouvoir, c’est-à-dire le droit accordé à son titulaire d’exercer légitimement l’autorité politique De cette définition découlent deux acceptions de la souveraineté : • D’un point de vue interne, Jean BODIN (1529-1596), que l’on considère classiquement comme le père de la souveraineté, écrit dans Les six livres de la République en 1576 « la souveraineté, c’est le pouvoir absolu de faire la loi sans

Intro :      La Vème République a été qualifiée de plusieurs noms, tel que monarchie républicaine, régime semi présidentiel, régime hyper présidentiel... Les auteurs au fil du temps ont donc eu beaucoup de difficultés à designer la nature du régime mis en place en 1958 par le General DG. Mais un tournant s'effectue avec la reforme constitutionnelle de 1962 et l'élection du Président au suffrage universel direct voulu par De Gaulle afin d'assurer la continuité de la fonction présidentielle qui va

Le président de la République Intro : Suite aux multiples crises politiques de la IVème République avec en arrière fond le problème algérien De Gaule fut nommé président du conseil en mai 1958, où il fit adopter une nouvelle constitution, avec pour fondement l’élection du président de la république au suffrage universel. Cette constitution jeta les bases d’un pouvoir présidentiel fort. Mais il s’avéra que quelques décennies plus tard lors de différentes dyarchies ce pouvoir pouvait être de nature

L’article Premier de la Constitution de 1958 dit « la France est une République indivisible », car la France avec ses cinq constitutions qui sont toute en faveur d’une forme d’Etat unitaire a su montrer au monde mais surtout à l’Europe son caractère unitaire. Pour mieux aborder ce sujet, il est nécessaire de définir certains termes ; l’Etat unitaire a pour caractéristique de comporter un centre unique de pouvoir, c’est donc un Etat qui n’admet aucun partage de l’autorité avec qui que ce soit. Le

retrouvent toutes deux dans les différents régimes démocratiques en proportions variables. On retiendra alors la synthèse suivante : la démocratie, c’est le règne du nombre dans le respect du droit. Chapitre 1 : les fondements philosophiques de la démocratie Il y a deux fondements possibles pour une démocratie, la difficulté étant qu’ils sont parfois confondus dans le langage courant : le peuple (section 1) et la nation (section 2) . Nous verrons ensuite que les démocraties occidentale en ont

cours de Valérie Larrosa). Dans ce schéma, chaque commandement apparaît comme l’application d’une règle générale et antérieure, ce qui contribue évidemment à sa légitimation. Il n’en demeure pas moins un problème essentiel et insoluble, celui du fondement ultime de la règle de Droit (la « norme fondamentale » de Kelsen). Quoi qu’il en soit, une fois cette restriction du champ de l’étude établie, il faut préciser en quoi l’Etat permet l’institutionnalisation du Pouvoir, offre à ce dernier la possibilité

différents préambules (II), tel que celui de 1793 où l’on remarquera l’évolution naissante de cette conception (A) et pour finir une réelle manifestation contre la Terreur pour un retour à l’ordre dans le préambule de 1795. Plan : I – Le fondement des droits et libertés dans la période révolutionnaire. A. La DDHC synonyme d’une conception concrète des droits et libertés B. L’application de la DDHC par le préambule de la Constitution de 1791 II – Une conception évolutive des droits et libertés