Force Et Faiblesse Casino Distribution

une volonté de leadership 2 Présentation du groupe 3 L’organisation, la clientèle et les systèmes d’information au sein de LE PRESTATAIRE MEDIA Local 4 Organisation autour de LE PRESTATAIRE MEDIA Local 5 Forces et faiblesses de l’entreprise par rapport au marché La complexité de la relation annonceurs–agences 2 Agences médias, une situation d’intermédiaire 3 La communication par les médias, un enjeu en évolution pour les annonceurs

PEUVENT ÊTRE QUE PERDANTS DES BOULEVERSEMENTS ANNONÇÉS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49 2.1. En finir avec l’aide de l’État en dernier recours . . . . . . . . . . . . . . . . 50 2.2. Le chantier inachevé de la distribution : des progrès très modestes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 2.3. Le chantier clé de l’impression de la PQN : des « adaptations » beaucoup trop limitées . . . . . . . . . . . . . . .

Droit de la concurrence : contrôle des concentrations, pratiques anticoncurrentielles et restrictives, réglementation des prix et facturations. Droit pénal des affaires : infractions diverses liées à la vie d’une société, abus de biens sociaux, distribution de dividendes fictifs, sincérité de la présentation et publication des comptes. Finance M1 CGNST, M1 FIN et ACIOP (cours enseigné en anglais) Semestre 1 _________ _ 27 h - 4 ECTS • Objectif : Comprendre la logique des décisions financières

SOMMAIRE Introduction générale Chapitre I : l’émergence de la grande surface au Maroc Section1 : la grande distribution du 21eme siècle Section2 : typologie des grandes surfaces A : les petits libres services B : les superettes C : les supermarchés D : les hypermarchés Section3 : les cinq grandes de la distribution au Maroc A : cofarma (enseigne Marjane) B : metro (ex-macro) C : Acima D : aswak assalam E : hyper SA (enseigne label’vie) Chapitre II : stratégie et plan marketing Section1 :

pénétration du marché 65 LA FIXATION DU PRIX 67 LA DISTRIBUTION 72 1-L’utilite des intermédiaires : 72 2-Les fonctions de la distribution : 73 3-La longueur des circuits : 74 4-les différentes formes de distribution : 74 a)Le commerce indépendant : 74 b-Le commerce intégré dit  : 75 c) Le commerce associé : 75 LA POLITIQUE DE LA DISTRIBUTION 77 Généralités : 77 I)Les différentes stratégies de distributions: 77 COMMENTAIRES 77 a)Procédure : 78

…………………….….10 1.1.2- Les moyens d’action……………………………………….……......................11 A- politique de produit…………………………………….………………….11 B- Politique de prix……………………………………………………….…..12 C- Politique de communication……………………………….……………....13 D- Politique de distribution……………………….…………………………..13 1.2- …Au territoire………………………………………………………………………….14 1.2.1- Définition du territoire…………………………………………………………14 1.2.2- L’Attractivité des territoires……………………………………...…………….17 . A- La notion d’attractivité……………………………………………………

l’entreprise doit vérifier qu’elle dispose des capacités requises ou qu’elle peut les acquérir : tel est l’objet du diagnostic export. Chapitre 1 : Le diagnostic export. Le diagnostic a un double but : - évaluer les forces et les faiblesses de l’entreprise, dans l’optique d’un développement à l’export ; - proposer des axes de développement compatibles avec les résultats de l’analyse précédente. Pour cela, il est nécessaire d’utiliser des indicateurs pertinents et une méthodologie

femmes que les hommes. Il peut s’expliquer par le fait d’une part que les femmes acceptent plus facilement des emplois précaires ou à temps partiel qui leur laisse du temps pour s’occuper de leurs foyers ou d’autres parts, se sentant en position de faiblesse, elles se contentent de peu. En 1982, 48% des actives étaient en situation de sous-emplois contre 32% chez les hommes. Le chômage frappe massivement les femmes. Le taux de chômage des jeunes cherchant un emploi est plus élevé chez les femmes

édition DUNOD Paris, 2000 Paris (3) Ouvrage cité De ce fait, investir dans un marché international requiert l’étude du contexte concurrentiel à travers l’observation des stratégies des concurrents, de leurs forces, de leurs faiblesses et en particulier leurs références et spécificités culturelles. Autrement, l’entreprise aura à affronter sur le marché international divers concurrents avec des styles de management différents et des cultures d’entreprise hétérogènes. L’entreprise

concurrence. Puisque l'entreprise est une fonction de production, tout accord inter-entreprises est considéré comme illégal ou tout au moins avec suspiscion par les autorités responsables de la mise en oeuvre du droit de la concurrence. Les contrats de distribution exclusifs, les accords de licence ou de franchise ainsi que les rachats de fournisseurs ou de clients créant une intégration verticale, sont perçus à priori comme une action de la firme pour assurer son pouvoir de marché. Elle cherche à faire monter