Fordisme Avantages Inconvénients

variables 151 Les caractéristiques et objectifs de la rémunération variable La rémunération variable, outil de gestion Trois grands types de systèmes de rémunération variables Les systèmes de commissionnement Les primes individuelles et les bonus Les avantages individuels complémentaires Les systèmes de rémunérations variables et le management par objectifs La rémunération comme levier des systèmes de management Développer la rémunération incitative La flexibilité des rémunérations : les rémunérations

151 Les caractéristiques et objectifs de la rémunération variable La rémunération variable, outil de gestion Trois grands types de systèmes de rémunération variables Les systèmes de commissionnement Les primes individuelles et les bonus Les avantages individuels complémentaires Les systèmes de rémunérations variables et le management par objectifs La rémunération comme levier des systèmes de management Développer la rémunération incitative La flexibilité des rémunérations : les rémunérations

soldats), la Grande Guerre. La grande industrie se développe, elle commence à s’inspiré avt 14 du modèle américain (TAYLOR), usine extrêmement hiérarchisé, chronométrage de la durée des taches, s’installe après la guerre de 14. - = Base au Fordisme : début XXème s. idée augmenté de façon significative le w des employés pour stabiliser la main d’œuvre (TURN OVER) + Ford espérait écouler les voitures produites. Reprit par la France dans les années 40. - 1929 : crack boursier qui s’étend

variables Les caractéristiques et objectifs de la rémunération variable La rémunération variable, outil de gestion Trois grands types de systèmes de rémunération variables Les systèmes de commissionnement Les primes individuelles et les bonus Les avantages individuels complémentaires Les systèmes de rémunérations variables et le management par objectifs La rémunération comme levier des systèmes de management Développer la rémunération incitative La flexibilité des rémunérations : les rémunérations variables

va faire évoluer une société majoritairement agricole vers une société urbaine et ouvrière. C’est aussi l’époque de la transformation radicale de l’entreprise auparavant familiale et désormais basée sur des concepts tels que le taylorisme et le fordisme, versés vers la rationalisation du processus productif, la division des tâches, la régularité de la production, le chronométrage des mouvements des ouvriers, le gain de temps et la rentabilité à tout prix. Cela dans un contexte de développement du

de la « Richesse des nations ». L’étude des textes d’A. Smith ou D. Ricardo a permis de mettre en avant les principes centraux que sont la division du travail et l’extension du marché, la formation et la répartition de la valeur, les théories des avantages absolus/comparatifs… L’enseignement introductif se conclue sur les thèses de l’état stationnaire. La croissance économique est dans ce cas équilibrée, sans heurts, et elle débouche sur la «fin de l’histoire » (Fukuyama). La perspective est toute

utilisés à l’exclusion d’autres routes possibles[15]. » Les acteurs sont rationnels, même s’ils ne maîtrisent pas l’ensemble du contexte dans lequel ils agissent, ils ont de « bonnes raisons » d’agir de la sorte. Ils agissent en comparant coût et avantage de leurs décisions. On modélise : on réduit à quelques traits saillants le phénomène étudié, ce qui se rapproche de la notion wébérienne d’idéal-type. - L’analyse stratégique, telle qu’elle a été développée en France par Michel Crozier, constitue

notamment avec Colbert. Le colbertisme, version la plus achevée de ce type d’intervention, va marquer l’esprit français en matière économique (protectionnisme, dirigisme, centralisme). Il y a un débat récurrent sur l’apport de Colbert : avantages ou inconvénients de la politique industrielle à la française face au libéralisme à l’anglaise ? En GB, Les politiques sont plus délimitées : Statut des artisans (codification des professions) ; Lois sur les pauvres (mises en place de 1520 à 1640, elles correspondent

chaque individu à sa place dans la société ( grâce au travail), de l’intégrer dans l’ordre, d’où découleront ses droits et devoirs. Par la suite, le désir d‘abondance, oblige à l’efficacité et conduit à une division accrue du travail (Taylorisme, Fordisme). Marx construit une vaste opposition entre le vrai travail, et la réalité du travail, qui n’en est qu’une forme aliénée. Selon lui, à l’origine de cette aliénation, il y a l’intervention de l’état. Pendant les 30 glorieuses, les travailleurs

s’appliquant à l’ensemble des acteurs de la filière. L’exigence de recyclage y contribuera aussi, comme le montre la directive européenne sur le recyclage des automobiles en fin de vie. Du côté de la diversité, la première révolution industrielle et le fordisme avaient fait du processus technique de production, la chaîne, immortalisé par les Temps Modernes de Charlie Chaplin, le principe unificateur de l’entreprise. C’était l’aboutissement du grand mouvement d’unification des temps et des cadences, commencé