Formalisme Du Cautionnement Professionnel

avait acquit la créance de la société National Westminster Bank (NWB) à l’encontre d’emprunteurs, antérieurement éteinte à l’égard de l’un d’eux et avait assigné l’avocat de la NWB ainsi que son associé la SCP en responsabilité en responsabilité professionnelle aux fins d'indemnisation de son préjudice à concurrence du montant nominal de la créance cédée. La cour d’appel n’a pas fait droit à la demande de la société ACR1 en la déclarant irrecevable au motif que la société NWB n'avait engagé à la date

l'article 1382. Souvent, dans un milieu professionnel, il peut par contre déboucher sur une qualification contractuelle, avec la considération des parties au sens civil du terme. L'engagement d'honneur (très peu rencontré aujourd'hui) a également une contradiction entre le fait de s'engager et la déclaration d'honneur. Ce n'est pas un engagement juridique, on se situe dans une autre sphère et il ne donne pas naissance à des obligations. Dans le milieu professionnel, la valeur juridique de certains engagements

faveur d’une partie plutôt que de l’autre. iii. Contrat gratuit (1105 C.Civ) ≠ contrat onéreux Gratuit = (de bienfaisance) l’une des parties procure un avantage à l’autre sans demander de contrepartie : le déséquilibre est voulu. Ex : contrat de cautionnement, le prêt sans intérêt … Onéreux = contrat qui oblige chacune des parties à donner ou à faire quelque chose. b. Les classifications doctrinales i. Les classifications implicites du Code civil 1. contrat nommé / innommé Nommé = règlementés qui sont

condition du cautionnement. Lorsque l'information n'est pas délivrée, le créancier (la banque) perd le droit aux intérêts échus depuis la dernière information jusqu'à ce que l'information soit effectivement délivrée. → L'article 47-2 al 2 de la loi du 11 février 1994 : Ne sont concernés que les cautionnements donnés par une personne physique en garantie d'une dette professionnelle d'un entrepreneur individuel et qui ne comporte pas de termes extinctif. Sont visés les cautionnements illimités, ou

situation juridique. Exple : solidarité = csq de l’unité de liens et de la pluralité de sujets. La sûreté, au contraire, est un mécanisme juridique qui s’ajoute par une source spéciale au rapport d’obligation. Quelle source ? Exemple : le cautionnement est un contrat qui s’ajoute au contrat principal. La sûreté procède d’une source juridique (peut être loi et jugement mais le plus souvent convention) qui s’ajoute à un rapport de droit principal. 3. Universalité du droit des sûretés 

aura affectation d’un patrimoine supplémentaire appartenant à un tiers ie une personne autre que le débiteur s’engage aux côtés de ce débiteur et il va affecter son patrimoine au paiement de cette créance. Cette technique d’affectation est le cautionnement. Le créancier aura un droit d’agir ie une action contre la caution. Lorsque le débiteur affecte un bien dont il est proprio au paiement d’une créance dont il est le débiteur (par ex. : immeuble), on parle de sureté réelle : un bien spécifique

partie du patrimoine peut être cessible et transmissible. D’abord l’obligation peut être cessible c'est-à-dire cédée, vendue. Ainsi par exemple le créancier peut céder son droit de créance à un tiers. Dans ces cas là on devra respecter un certain formalisme prévue par l’article 1690 du code civil. Par contre on ne peut pas céder une dette. Il y a toutefois des exceptions à ces principes : Il y a certaines créances qui sont totalement incessibles, on ne peut pas les céder. C'est par exemple le cas d’un

Financement non bancaire 1) Le crédit commercial - Crédit mobilier - Crédit immobilier (Une entreprise ne peut, à titre habituel, accorder des prêts à une autre) - Crédit commercial : Une E dans le cadre de sont activité professionnelle peut consentir à ses contractants des délais ou avances de paiement. 2) Le crédit à long terme - Financement par les fonds propres = ressources stables de l’entreprise - Financement par compte courant d’associé = prêt réalisé par un associé

le but de ce que procurer des ressources pour assurer son existence,il exerce ces actes de commerce en son nom et pour son compte Le gérant d'une SARL n'est pas commerçant; c'est la société qui est commerçante et un commerçant c'est d'abord un professionnel à titre de profession habituelle EX:Le vendeur représentant placier (VRP) travail pour son entreprise et il accompli des actes de commerces au nom et pour le compte de la société. Section 1/ Les actes de commerce. paragraphe 1 Les actes

(et dans le louage on distingue le louage de choses, le louage d'industrie devenu le contrat du travail dans le code du travail; enfin le louage d'ouvrage devenu contrat d'entreprises), le contrat de promotion immobilière, le contrat de prêt, le cautionnement, le dépôt, le contrat aléatoire, le mandat, la transaction etc; Au total, le domaine des contrats spéciaux du CC est immense, il concerne ce que l'on apl les contrats usuels 3.A coté du cc, l'essor contractuel des 19è, 20è et 21è S. du à l'expansion