Fournisseurs De Zara

sa capacité énorme de production et son large domaine d’activité en réalisant plusieurs coopérations avec des clients connus sur le marché internationale comme BLOSS(Allemagne), NENA(Ireland), LA ROSA(Italie), BERSCHKA , MANGO, NOSOPUNTO(Espagne), ZARA, FOIS… Pour la région du Nord la confection représente l’un des secteurs clé de sin économie dans la mesure où beaucoup d’entreprise comme EMIMAR ont amélioré leur savoir-faire et favorisant l’entrée de la devise à notre pays. 1. Identification

étudierons sa stratégie de distribution et plus particulièrement le partenariat que Samara entretient avec les espagnols de Sarva. Et enfin, nous nous attarderons sur la politique d’achat et d’approvisionnement du groupe, notamment à travers le choix du fournisseur et le débat entre deux offres : l’offre chinoise et l’offre tchèque. Nous allons dans un premier temps, étudier la politique de marque menée par le groupe Samara. Tout d’abord, nous allons nous intéresser aux deux marques propres à Samara :

dette | |- Liens étroits avec l’Amérique latine |- Secteur bancaire fragilisé par la crise immobilière | |- Grands groupes à présence internationale (Zara, Mango etc…) |- Détérioration de la situation financière de l’Etat. | Les concurrents de Cinémotion : | |

distinguer du gérant salarié.Le domaine de la franchise est très étendu. Il couvre le champ des services rendus (hôtels, restaurants, coiffeurs, location de voitures, des produits). On la rencontre au Maroc pour la vente de vêtements à usage général (Zara) ou spécialisé (Etam).Le contrat de franchise n’a pas été défini ni réglementé en droit marocain. Sa formation relève donc de l’autonomie de la volonté, c’est-à-dire, du droit commun. Du point de vue du droit de la concurrence, l’analyse concerne la

coquettes, utilisant le vêtement comme outil de séduction. ZARA : Zara propose des produits tendances s’inspirant des grands couturiers mais se différencie de Naf Naf par une offre plus vaste et une gamme de prix plus abordable. Zara reste donc relativement bon marché et accessibles à la plupart des Français. L’enseigne propose une très large gamme de choix : collection femme, homme, sous-vêtements, accessoires, chaussures, Zara home. Zara a aussi pour cœur de cible un jeune public féminin mais

détriment des dessous et du linge de maison. Pratiquement aucune enseigne ne tire vraiment son épingle du jeuAu mieux, elles maintiennent leur part de marché. Les chaînes de centre ville (Etam, Camaïeu, Du Pareil Au même, H&M, Naf-Naf, C&A, Zara, Celio, Jules…) résistent mieux que la concurrence avec le plus fort gain de part de marché (+1.2pt), mais marquent quelques signes d’inquiétude : la taille de leur clientèle stagne et leur cote d’amour ainsi que leur image prix se dégradent. Les

quelques années, le marché du prêt-à-porter français connaît un grand bouleversement avec la montée en puissance des mégastores et des grandes chaînes spécialisées, concurrençant fortement les commerces indépendants. Ainsi, les nombreuses boutiques Zara, Mango et autres H&M qui émergent dans les grandes villes, séduisent de plus en plus les consommatrices françaises au grand désespoir des chaînes hexagonales. Le prêt-à-porter est donc un marché très concurrentiel où il semble que seul les plus

|APPROVISIONNEMENT: Achats centralisés | | |Production et vente de laine, avantage de négociation avec les fournisseurs | | |

mode représente 34% des points de ventes) ; depuis l’année 2006, viennent ainsi concurrencer les chaînes déjà bien implantées comme Makyta, Bepon, Kenvelo, Lifeline les premiers points de vente des groupes Next (2006), Marks and Spencer, C&A, H&M, Zara, The Peacock Group (2007), et les français Pimkie et Promod (2006-2007) qui transposent en même temps de nouveaux services et méthodes de vente (autres groupes français présents : Jacadi, Lacoste). Le groupe Bata domine toujours le secteur de la chaussure

attentes de l'ensemble des acteurs de la vie de l'entreprise. Au-delà des propriétaires et des actionnaires (directement intéressés par le développement de l'entreprise et sa réalisation de profit), il convient de tenir compte des salariés, des fournisseurs, des distributeurs, des groupes de pression, c'est-à-dire de l'ensemble des acteurs directement et indirectement impliqués dans la création de la valeur de l'entreprise. Ces acteurs sont appelés parties prenantes. C. Deux définitions actuelles