Friedrich Krupp

Le véritable changement des mentalités n’est pas du tout là où nous croyons qu’il est. Il n’est pas dans le faire-voir de la techno-science. Il n’est pas donné une fois pour toute. Il n’assure rien pour l’avenir et ne promet rien. Il n’est pas la réalité. La Réalité n'est pas seulement une construction sociale, ni le consensus d'une collectivité, ni un accord intersubjectif. La relativisation de toutes les vérités est de la soupe que l’on sert aux cochons. Pour qu’ils restent des cochons. Je paraphrase

1) MISE EN PLACE DU SUJET : - La phrase de Paul Veyne oppose clairement le groupe (sociétés, nations, civilisations, humanité, collectif) à l'individu : celui-ci est présenté comme un objet négligeable dans l'histoire, alors que le groupe en serait le véritable terrain. Cette perspective est commune chez les modernes, qui ont préféré enquêté sur les sociétés plutôt que sur les carnets privés des grands hommes. Les forces qui font l'histoire conjuguent à leurs yeux les mœurs, l'économie, le jeu

"L'ombre de Dionysos, contribution à une sociologie de l'orgie" (Paris, CNRS éditions, 1982, réédition 2010) Notes de lecture. Dévoiler le sous-sol d'une socialité demeurée à l'écart du savoir officiel : voici l’une des grandes destinées s’étant imposées à Michel Maffesoli au travers de ses écrits. Dans l’Ombre de Dionysos, il s’attache à voir dans l’orgiasme « une des structures essentielles de toute socialité », sans toutefois nier le caractère paradoxal d’une telle information. Dans

Ce texte extrait de l’œuvre Le livre du Philosophe, fut écrite par le célèbre philosophe Allemand du XIXème siècle : Friedrich Nietzsche. Le thème de l’ouvrage est la vérité dans sa relation avec la morale. Face à se questionnement, Nietzsche se positionne dans le camp de l’ancienneté du mensonge, l’exigence de la vérité n’inhibe pourtant pas l’utilisation du mensonge. Par conséquent l’enjeu principal du texte est donc de faire admettre l’importance de l’utilisation du mensonge dans la société,

« Faut-il être inconscient pour être heureux ? » Satisfaire pleinement tout nos désirs. Accéder au bonheur. C’est cela qu’être heureux. Et c’est le but ultime recherché par chaque Hommes. Néanmoins, il peut paraitre illusoire d’y accéder tant le monde dans lequel nous vivons, fait de conflits, de règles à respecter, de contradictions avec nos désirs, semble être un obstacle infranchissable à un tel accomplissement. On peut supposer que l’Homme conscient de lui-même et du monde qui l’entour

Philosophie : Nietzsche. 1) D’après le point de vue de Nietzsche, l’homme est très en dessous de l’univers, hiérarchiquement parlant. Il nous dit que :  « l’homme n’est qu’humain , et il n’y a que son possesseur et producteur pour le prendre aussi pathétiquement que si les pivots du monde tournaient en lui ». Ce qui signifie que la nature, possesseur et producteur de l’humain, lui donne la vie, et la lui reprend aussi facilement, en lui donnant la mort. Cela nous montre bien que l’homme n’est

(1874) Alfred Marshall (1842 – 1924): ?  Principes d'économie politique ? (1890) Eugen von Böhm-Bawerk (1851 – 1914): ?  La théorie positive du capital ? (1889) Ludwig von Mises (1881 – 1973): ?  Traité de l'action humaine ? (1949) Friedrich Hayek (1899 – 1992): ? La Route de la servitude ?(1944)

Karl Marx et Friedrich Engels élaborent le Comité de Correspondance Communiste en 1846. Ce comité a été créé pour établir une liaison constante entre tous les communistes influents d'europe. En 1847, ils adhèrent à la Ligue des Communistes qui publie le "Manifeste du Parti Communiste", un texte écrit par Marx à l'aide de Engels en 1848. Selon Marx l'ouvrier devient "un simple accessoire de la machine"1. Dans ce textile fait l'éloge du communisme et met en avent tout les défauts de la société

La finalité du projet : * Dans quelle éthique et dans quelle philosophie globale le projet s’intègre-t-il ? * Quel est le désir profond qui motive les porteurs de projet ? Les finalités peuvent être définies comme des buts non datés, poursuivis en permanence et qui ne sont jamais entièrement atteints. Ces principes généraux (et souvent généreux) ne sont pas à confondre avec le projet. Il s’agit d’une vision idéale de celui-ci, d’une utopie qui n’est pas seulement une fonction imaginaire

Lou Bertignac, treize ans, en seconde, est une surdouée qui multiplie les expériences et les collectes excentriques. Lorsqu'elle « accepte » (en réalité, elle lance le sujet au hasard) de faire un exposé sur les SDF, elle ne sait pas encore dans quoi elle met les pieds (à commencer par sa peur incroyable de s'exprimer en public). Elle rencontre alors No, une jeune SDF de dix-huit ans, qui se laisse interviewer pour son exposé. Entre les deux jeunes filles naît une certaine amitié, mais des problèmes