Fugitive Beaute

projets poétiques de Baudelaire qui pense qu’il faut extraire le mal de la poésie pour en cultiver quelque chose de bien. Ainsi Baudelaire est partagé dans ce recueil, entre le spleen et l’idéal, le gouffre de la mélancolie et l’exaltation de la beauté, l’amertume et la sensualité. Dans ce poèmes, Ennemi,d’après moi est un sentiment d’impuissance l’effet oppressif du temps sur l’esprit du poète affamé d’inspiration. « Ne laissez jamais le temps au temps. Il en profite. Jean Amadou

dégager de la mode ce qu’elle peut contenir de poétique dans l’historique, de tirer l’éternel du transitoire. (…) il est beaucoup plus commode de déclarer que tout est absolument laid dans l’habit d’une époque, que de s’appliquer à en extraire la beauté mystérieuse qui y peut être contenue, si minime ou si légère qu’elle soit. La modernité, c’est le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l’art, dont l’autre moitié est l’éternel et l’immuable. Il y a eu une modernité pour chaque peintre

l'art japonais (mangaka ou style manga ... par exemple, bien sûre il y en a plein d'autres). Les affiches sont nombreuses, ce sont les débuts de la publicité. Alfons Mucha (1860-1939) artiste d’origine tchèque très connu dans l’hexagone pour la beauté de ses affiches, ses illustrations et ses bijoux de luxe de type Art Nouveau. Pour la première fois son œuvre est présentée de manière globale-cela faisait 29 ans qu’il n’y avait pas eu d’exposition de Mucha en France- grâce aux prêts d’un certain

Épreuve certificative de français 5ième – Rattrapage 2010 Lire un recueil poétique : Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire. Nora Selbach Sommaire. Pages 1-3X. L'Ennemi Pages 4-6XIII. Bohémiens en voyage Pages 7-9XXI. Hymne à la Beauté Pages 10-12XXX. De profundis clamavi Pages 13- 15XXXVI. Le Balcon Pages 16-18XLVII. Harmonie du soir Pages 19-21LVI. Chant d'automne Pages 22-24LXXIV. La Cloche fêlée Pages 25-27LXXXV. L'Horloge Pages 28-30XCIII. À une passante X. L'ennemiMa jeunesse

sons et le temps narratif en suspens. La sensualité est supérieure à la réflexion. Le départ en été correspond au bonheur et le retour en automne correspond au malheur. La fin du rêve est entraînée par la musique effrayante. La beauté est dans les images et la beauté des images n'a pas de mise en scène sophistiquée : filmer au naturel permet au film de se libérer du langage (la séquence n'a pas été re-filmée plusieurs fois). L'Eden retrouvé : relation entre les personnages et la nature (osmose)

innocence Ont, depuis ton enfance, De tout ce qui peut plaire enrichi ta beauté. Sur tes traits, où ton âme imprime sa noblesse, Elles ont su mêler aux roses de jeunesse Ces roses de pudeur, charmes plus séduisants, Et remplir tes regards, tes lèvres, ton langage, De ce miel dont le sage Cherche lui-même en vain à défendre ses sens. Oh ! que n'ai-je moi seul tout l'éclat et la gloire Que donnent les talents, la beauté, la victoire, Pour fixer sur moi seul ta pensée et tes yeux ; Que,

balançant le feston et l’ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l’ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair… puis la nuit ! — Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ? Ailleurs, bien loin d’ici ! Trop tard ! Jamais peut-être ! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j’eusse aimée, ô toi qui le savais

effet avec des éléments non-équilibrés est appelé « contraste ». * Caractéristiques stylistiques * Art du plaisir * Art ostentatoire * Inspiré de l’empirisme (Locke) * Instantanéité (tout est esquissé) * Condensé de sensations fugitives * Symbole de la jouissance et du luxe * Profusion d'ornementations * Inspiration exotique (Chine, Turquie) * Éclatement de toutes formes de structures * Art érotique * Thèmes champêtres * Dans la conception des meubles : le style

focalisation interne car le personnage rencontré est vu, apprécié par le jeune peintre.Ce dernier relève de loin deux caractéristiques majeures : la « bizarrerie » et la « magnificence » de la tenue. En d’autres termes, il relève la richesse et la beauté des habits, mais aussi leur aspect suranné (démodé, désuet). Ce qui frappe le jeune peintre est le rabat de dentelle ouvragée (cité deux fois), le « pourpoint noir » et la « lourde chaîne d’or ». Le visiteur porte de manière ostentatoire (mis de manière

poètes de la Pléiade. Sonnets pour Hélène, « Madrigal », 1578, Pierre de Ronsard Si c’est aimer, Madame, et de jour et de nuit Rêver, songer, penser le moyen de vous plaire, Oublier toute chose, et ne vouloir rien faire Qu’adorer et servir la beauté qui me nuit : Si c’est aimer de suivre un bonheur qui me fuit, De me perdre moi-même, et d’être solitaire, Souffrir beaucoup de mal, beaucoup craindre, et me taire Pleurer, crier merci, et m’en voir éconduit : Si c’est aimer de vivre en