Genocide Memoire

cours de son enfance par le récit des évènements liés à la Shoah. Il traite toujours dans ses œuvres des sujets de : la mémoire, l’absence, la mort et la masse des anonymes, en références aux millions de Juifs déportés et disparus. On comprend l’origine de son travail, et les problématiques qui l’intéressent. Il parle de la Seconde Guerre mondiale, plus particulièrement du génocide des Juifs, appelé la Shoah. Des millions de Juifs ont été déportés, envoyés dans des camps de concentration, d’extermination

[2] ; – Les guerres civiles ou les génocides, comme au Rwanda (1994) ou en ex-Yougoslavie (1995) [7] ; – « L’assistance aux victimes en cas de catastrophes naturelles », comme pour le séisme en Indonésie en 2004 ou en Haïti en 2010 [2, 3]. QUESTION 2 : Les formes de l’ingérence [2, 3, 4, 7] ■ Les formes de l’ingérence peuvent être : – la sécurisation des populations menacées en les regroupant dans des camps ou des zones démilitarisées, comme pendant le génocide rwandais en 1994 ; – la distribution

me sont pénibles”, elle répète que c’était “cette heure”, et pas une autre ; l’heure fatidique. Colette nous fait ressentir tout au long du texte, qu’elle et la population ont le moral très bas. Enfin, l’ampleur de cette guerre reste dans les mémoires. Rappelons que les soldats sont traumatisés après avoir participé et subit la violence et la terreur des combats. Il en est de même pour les civils qui viennent de passer quatre années dans la misère. Mais la première guerre mondiale est également

et coutumes de guerres définies à La Haye en 1899 et 1907 sont fréquemment piétinées : usage des gaz, massacre de prisonniers, basse œuvre des « nettoyeurs de tranchées », bombardements inutiles (cathédrale de Reims), exactions sur les civils…. Le génocide p.90 des Arméniens (texte p.92), initié en 1915, constitue un paroxysme de cette barbarie (entre 650 000 et 1,2 M de victimes). Toutefois ce type de violence n’est pas inédit : massacres et déplacement des Turcs par les Russes en 1877, camps de concentrations

Austro-Hongrois aussi Pénurie en Allemagne, blocus empêchant l’approvisionnement, allemands vivent cela comme un « crime de guerre », les restrictions alimentaires feront 1 000 000 de morts. Bombardements qui visent à saper le moral et l’économie Le génocide arménien Chrétiens (arméniens) / musulmans(ottomans) Arméniens accusés d’espionnage à la solde des russes => prétexte pour déportation et extermination des minorités arméniennes, au printemps 1915. Expulsions, marches forcées, exécutions Entre

de droit qui peuvent parfois ne pas être sanctionnées, les lois mémorielles : des lois de la mémoire qui indiquent à se rappeler d’évènements historiques. La loi Gayssot de 2001 a pour objet la commémoration du génocide Arménien … Ces règles sont remises en cause par le législateur qui estime qu’il n’a pas à prendre le rôle de l’historien, dans la mesure où la loi sanctionne ceux qui nient les génocides, ce dernier sort de sa finalité première. B / Les relations entre les règles de droit et

PERSONNES TITRE 1 : LES ATTEINTES REELLES ET VOLONTAIRES AU CORPS CHAPITRE 1 : LES CRIMES CONTRE L’HUMANITE (ART. 213-5 A 221-1CP) Conv. des NU (1948) -> qualif. génocide. Loi 26déc.1964 -> imprescriptibilité des CCH. Cass. CCH = “actes inhumains et persécut°, au nom d’un Etat pratiquant pol. d’hégémonie idéologiq…” Génocide = (faire) commettre des actes d’atteintes à vie ou intégrité phys/psychiq -> destruct° totale/partielle de gpe déterminé (critères arbitraires). Elemt constitutifs CCH=

universelle des droits de l’homme, les sceptiques ont beau jeu de démontrer que l’engagement pris par la communauté internationale de respecter ce document est pour le moins sommaire. Il suffit de constater l’impuissance des Nations Unies face aux génocides de Bosnie-Herzégovine et du Rwanda, l’institution ne parvenant même pas à se livrer à un examen complet et approfondi de ses propres faiblesses, de manière à tirer les enseignements de sa débâcle en Bosnie. Cela étant dit, il convient d’ajouter

1) Les mémoires françaises de la Seconde Guerre mondiale et leur évolution. --> http://www.annabac.com/content/les-memoires-francaises-de-la-seconde-guerre-mondiale-et-leur-evolution-0 2) Le génocide des Juifs et des Tziganes : de la mémoire occultée aux mémoires plurielles ? --> http://www.annabac.com/content/le-genocide-des-juifs-et-des-tziganes-de-la-memoire-occultee-aux-memoires-plurielles 3) La puissance américaine dans les années 1970. --> http://www.annabac.com/content/la-p

en dix-neuf langues, jusqu'en 1994 : quatre millions de victimes. Les nouvelles plaques proclament aujourd’hui : "environ un million et demi". Il fallait faire croire, avec le mythe des six millions, que l'humanité avait assisté là "au plus grand génocide de l'histoire", en oubliant 60 3 millions d'indiens d'Amérique, cent millions de Noirs (10 tués pour un captif), oubliant même Hiroshima et Nagasaki, et les cinquante millions de morts de cette deuxième guerre mondiale, dont 17 millions de