Goffman Carrière Morale

rapidement frivole, dépensière, et influençable n’est pas gratuite. 2 conséquences : * D’une part, elle confine les classes populaires dans leur position dominée, dont elles sont censées ne pas pouvoir s’extraire sans risquer la dégradation morale (car la pire des fautes selon les mieux loties et de ne passe résigner à sa position dominée). * D’autre part, en entretenant cette image, les autres classes sociales se mettent elles-mêmes en valeur par contraste, car elles s’affirment ainsi

d'idéal-type. Sa sociologie historique, dont il est à l'origine, tenterait de trouver, contrairement au courant positiviste, le pourquoi des faits sociaux. Pour Weber, la laïcisation de la société et les sciences modernes font perdre ses valeurs morales à l'humanité. C'est avant tout une critique du capitalisme et une mise en garde contre les effets pervers de l'industrialisation que nous pourrons retrouver dans les critiques récentes de la société moderne. Pour Weber, c'est ce qu'il appelle le

veut donner le statut de "science naturelle" à l'anthropologie car il la conçoit comme étant une science compréhensive (science humaine)et non explicative. En effet, pour E. E. Evans-Pritchard l'anthropologie étudie les sociétés comme des systèmes moraux et ainsi cherche des arguments et non des lois spécifiques. Il fait une étude de terrain en Afrique où il met en évidence des liens logiques qui caractérisent les institutions des sociétés traditionnelles chez les Azandés. Il montre que les registres

sert la prison aujourd’hui ? Remplie-t-elle ses fonctions officielles d’enrayement de la délinquance ou n’est ce qu’une institution d’application d’une punition et de « gardiennage » ? Chantraine, suivant les traces de Goffman, considère la prison comme une institution totale, que Goffman défini ainsi « un lieu de résidence ou de travail où un grand nombre d'individus, placés dans une même situation, coupés du monde extérieur pour une période relativement longue, mènent ensemble une vie recluse dont

stériliser les biberons, ne pas cracher par terre etc …). Il s'agit de moraliser les classes sauvages (prolétaires). D.FASSIN dira que la lutte contre la tuberculose apparaît comme un exemple de la nouvelle santé publique cest à dire du projet de réforme moral de l'homme par lui meme fondé sur l'éducation. Il ne s'agit pas simplement de controler mais on rentre dans la réforme des comportements individuels qui va cibler des populations particulières. Apparition des dispensaire, cest un lieu ou s'effectue

que les espèces ont voulu se diversifier. La cause efficiente est l’augmentation de la quantité démographique : nous sommes de plus en plus nombreux. La densité morale est que les groupes humains sont de moins en moins isolés, de moins en moins refermées sur eux-mêmes ce qui correspond chez Durkheim à l’augmentation de la densité morale. La conséquence, comme en biologie est qu’il a fallu s’adapter et se diversifier. Comment pourrait-on aujourd’hui être tous agriculteurs ? Ce serait impossible. La

interactionniste .................... p 34 1.2. MEAD et le jeu socialisé .................... p 36 1.3. La carrière de parents d'enfant handicapé mental .................... p 37 2. La socialisation parentale selon la théorie interactionniste des professions .................... p 39 2.1. La gestion de la crise et du dilemme .................... p 39 2.2. Le déroulement de la carrière des parents vu comme trajectoire de vie .................... p 40 V. Le handicap mental : une construction

méso-sociologique », qui lui permet de décrire minutieusement les pratiques individuelles en insérant ces relations bureaucratiques au sein de l’institution et de la société. Cette perspective de recherche l’amène à s’appuyer à la fois sur les travaux d’Erving Goffman, de Pierre Bourdieu, de Max Weber et de la sociologie des organisations sur la bureaucratie, de Jean-Marc Weller et surtout de Mickeal Lipsky. Les enjeux de cet ouvrage sont donc à la fois d’étudier l’action publique dans sa quotidienneté à travers

sein d'un sous groupe[4]. La notion de stigmatisation, quant à elle, est attachée au nom d' Erving Goffman qui la développe dans son ouvrage "Stigmates - Les usages sociaux des handicaps" (Editions de Minuit - 1975 - première édition en 1963). Cet ouvrage nous semble intéressant à plus d'un titre dans la mesure où il constitue une bonne introduction à l'analyse interactionniste utilisée par Goffman, notamment parcequ 'il n'engendre pas cette perplexité qu 'on peut ressentir à la lecture de ses ouvrages

au sein d’un sous-groupe4. La notion de stigmatisation, quant à elle, est attachée au nom d’Erving Goffman qui la développe dans son ouvrage Stigmates – Les usages sociaux des handicaps (Les Éditions de Minuit, 1975, première édition en 1963). Cet ouvrage nous semble intéressant à plus d’un titre dans la mesure où il constitue une bonne introduction à l’analyse interactionniste utilisée par Goffman, notamment parce qu’il n’engendre pas cette perplexité qu’on peut ressentir à la lecture de ses ouvrages