Gombrich

avec son intérieur ouvert sur le jardin a pu évoquer la peinture flamande. Le port peint sur fond de montagnes est un des premiers exemples de la poétique des lointains dans la peinture de Léonard de Vinci. Il s'y attache, selon l'expression d'Ernst Gombrich « à rendre les modifications de la couleur dans la nature à travers l’air et la lumière ». ➡Citation, La mécanique de la chair... "Comment l'homme tient-il debout? Cette question est capitale. Si être debout est essentiellement humain, les

comme dans l’audimat de la télévision, les chiffres des ventes en librairie et dans la presse, et le nombre de visiteurs pour les nouveaux films – est inconciliable avec l’idée de culture. Si les conditions écologiques de l’art dont parlait Ernst Gombrich sont détruites, l’art et la culture les suivront de près. pointg.gif (57 octets) Je rappelle ce qu’il est advenu du cinéma italien, naguère l’un des meilleurs au monde et qui survit aujourd’hui grâce à une poignée de réalisateurs, du cinéma allemand

ou « bizarre cubiques », en 1908, après avoir vu une photo de Braque. Il l’a décrite comme « pleine de petits cubes », après quoi le terme à été rapidement utilisé, bien que les deux créateurs ne l'aient pas d'abord adopté. L'historien d'art Ernst Gombrich a décrit le cubisme comme « la tentative la plus radicale de mettre fin à l'ambiguïté et de faire appliquer une seule lecture de l'image ; celle d'une toile de couleur faite par l'homme ». 7. Le cubisme a été repris par de nombreux artistes à Montparnasse

précédente, absorbe quasi littéralement le spectateur dans le tableau en l'y faisant pénétrer. Ex :GREUZE, COURBET. >Crise manifeste avec des artistes comme E. MANET: 3/ Edouard MANET: «Le Balcon»1868, huile sur toile, 170 X 124,5 cm. E.H. GOMBRICH: « .., devant ses tableaux, avons-nous plus que devant toute oeuvre antérieure l'impression de la réalité immédiate. Nous sommes véritablement face à face avec des personnages du balcon et l'impression générale, bien loin de nous ramener à deux dimensions

réception des œuvres par le spectateur. Cette réception n’est plus alors considérée comme simple perception et découverte (du savoir de l’artiste), mais comme la reconnaissance d’un savoir propre au spectateur, à sa propre culture et son milieu social (Gombrich, Arnheim). Ces analyses psychologiques se prolongent à travers les diverses approches cognitives (psychologie cognitive, philosophie de l'esprit, etc), et notamment les découvertes récentes en neurosciences (fonctionnement du système nerveux : cerveau

progressiste de l’art florentin. On ne peut comparer cette statue avec aucune autre statue contemporaine et constitue « les avant-courriers encore gothicisants de l’histoire de la ronde-bosse moderne ». Bibliographie : - Histoire de l’art, E.H GOMBRICH (Gallimard) - La sculpture florentine de la Renaissance, Charles Avery (LGF) - La sculpture : de la Renaissance au XXème siècle, auteur non spécifié (Taschen)

citer quelques unes : -la plus ancienne : personnage plus jeune, pourrait être identifié comme Oddantonio de Montefeltro, duc d'Urbino, mort à 17 ans. Il mène une vie dissipée. 1444 : assassiné. A ses côtés ses deux mauvais conseillers. -Ernst Gombrich : tableau pourrait représenter le repentir de Judas. Barbu : Judas, qui rapporte les trente deniers de la trahison aux juifs à qui il a livré Jésus. "J'ai péché en livrant un sang innocent", Matthieu. Le geste de "Judas" marquerait bien cela, mais

pensée antagoniste du texte ou du discours , du moins dans une tradition philosophique occidentale remontant au moins à Léonard de Vinci et dont les grands moments, explorés ici à rebours et sur le mode généalogique, vont de Nelson Goodman et Ernst Gombrich à Lessing et Burke, sans oublier Marx et son analyse de l’idéologie, décrite par Mitchell comme une sorte de méta-concept de l’image. Pour Mitchell, il ne saurait y avoir ni sémiologie ni ontologie transcendantale de l’image, puisque celle-ci est

des exemples le plus abouti de ce raisonnement est son Violon et raisins de 1912 : " La volute et l'une des chevilles sont vues latéralement, comme nous les imaginons tout naturellement quand nous pensons à un violon, écrit l'historien d'art Ernst Gombrich. Les ouïes, en revanche, sont vues de face ; de côté, on pourrait tout juste les deviner. La courbe de l'éclisse est exagérément prononcée, comme nous pouvons imaginer une telle courbe à la lumière d'un souvenir tactile ". Bref, le cubisme est un

mais parallèlement, tout semble être décortiqué et désarticulé. Troisième Partie : Le Cinéma est Réalité et Fiction. Nous en venons alors à voir que la frontière entre Réalité et Fiction est floue et mal déterminée au cinéma, comme l'a dit Ernst Gombrich dans L'art et l'illusion: «  Il n'y a pas de barrière rigide entre vrai et faux, réalité et fiction, dans la mesure où, en vue d'une action ou d'un objectif, l'homme entend les confondre ». C'est sur ça aussi que travaille le photographe et cinéaste