Gorgias La Liberté

signifit faire ce que l’on veut . c’est ce qui désigne la liberté d’action .Néanmoins, comme nous l’a prouvé Platon dans Gorgias , faire ce que l’on veut ne signifit pas être libre .Au contraire , en faisant ce que l’on veut , on peut même être le pire des esclaves . En effet , le tyran est esclave de lui-même car son emprise est intérieur.Etre libre passe plutôt par la liberté de volonté c'est-à-dire la capacité de se déterminer soi-même .La liberté de volonté est plus difficile a conquérir car elle suppose

La liberté désigne la faculté d'agir selon sa volonté en fonction des moyens dont on dispose sans être entravé par le pouvoir d'autrui. Elle est définie différemment selon la psychologie de chaque être humain. Pour la plus part des individus, elle est perçue comme une absence de soumission, de servitude et de contrainte. Elle s'oppose donc à l'obéissance à des régles extérieurs à soit même, c'est à dire l'hétéronomie. Cette notion de la liberté donne à l'homme la possibilité de poser par soit

question. Exemple : « La liberté est-elle le refus de toute contrainte ? » ( cette question est philosophique car elle contient un problème. Analyse conceptuelle en vue de l’instauration d’une problématique Liberté : 1. indépendance, non empêchement. 2. Autodétermination (=libre arbitre) On ne peut pas faire vouloir des choses qu’on ne veut pas. Contrainte =/= Obligation. Une obligation est intérieure à soi. C’est quelque chose qui entrave la liberté mais coïncide avec elle (ex :

les pratiques de la Grèce antique dans laquelle tous les citoyens se rendaient à l’assemblée pour participer aux débats et prendre les décisions directement avec le gouvernement de la Cité. Selon Rousseau, l’homme deviendrait ainsi le garant de ses libertés, droits et devoirs puisqu’après un débat avec les autres membres il aurait confectionné de ses mains l’Etat qui lui conviendrait au mieux. Cependant, il est possible de poser une objection de taille à l’hypothèse de Rousseau : la démocratie directe

BibliographiesBibliographie introductive Platon, Gorgias, ... La République (livres VI et VII) Descartes , Discours de la méthode, Rousseau , Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, Kant Qu’est-ce que les Lumières ?Les très grands classiques de la littérature.Un dictionnaire étymologique du françaisInstruments de travail-Dictionnaire de français

ETUDE DE L’EXTRAIT DU GORGIAS Introduction Si nous entendons fréquemment parler de respect des droits de l’homme, c’est, semble-t-il parce qu’il faut sans cesse réaffirmer certaines valeurs face à des politiques qui déterminent le droit par le fait, défient la morale, et ne connaissent pour borner leurs excès que les limites de leur propre puissance. Cette opposition entre ce qui ne se réfère qu’à la Nature, et ce qui est selon la Loi, Platon la manifeste déjà dans le Gorgias, où l’on entend par

disait ce dernier de la jeunesse ? Comme toujours dans l’inter- prétation des dialogues platoniciens, il faut être attentif à qui parle, nombre des interlocuteurs de Socrate étant souvent eux-mêmes fer- més à toute intelligence. Par exemple dans le Gorgias le dénommé Calliclès, qui s’exprime longuement, prononce encore davantage de sornettes. Voici l’une de ses perles : « Je veux bien, Socrate, que la philosophie soit quelque chose d’agréable, à condition de s’y adonner avec mesure, dans sa jeunesse

III, Les Belles lettres (texte traduit par M. Dufour), Paris, 1967. 7 Et à la suite de Platon, la philosophie occidentale valorisera la Vérité tout en se défiant de l’opinion. 3 Le Gorgias : un texte fondateur La critique platonicienne de la rhétorique sophistique constitue la problématique centrale du Gorgias. Dans ce dialogue8 — et à travers la figure emblématique de Socrate9 — Platon vise très violemment la rhétorique sophistique, perçue comme une doctrine immorale endossant le « masque »

Faut-il tolérer toutes les opinions ? Rien n'est plus funeste à l'homme qu'une opinion fausse. Platon (Gorgias) "Rien ne paraît plus surprenant à ceux qui contemplent les choses humaines d'un oeil philosophique, que de voir la facilité avec laquelle le grand nombre est gouverné par le petit, et l'humble soumission avec laquelle les hommes sacrifient leurs sentiments et leurs penchants à ceux de leurs chefs. Quelle est la cause de cette merveille ? Ce n'est pas la force ; les sujets sont toujours

cours et de la royautéOn peut voir que dans cette fable, La Fontaine met en scene un littige au sujet de la loi qui est résolu de manière violente et que derrière ce littige se cache une critique de la société. Sous forme de poème -> liberté dans le rythme et dans les sonorités ce qui est etonnant à cette epoque la. 1- Un littige au sujet de la loie qui cache une critique de la sociétéOn peut voir dans cette fable un conflit entre une belette et un lapin au sujet de deux lois