Gottfried Wilhelm Leibniz

lumières (1694 – 1778) qui a consacré sa vie et son œuvre à dénoncer les maux de la société et notamment la superstition, la religion, le fanatisme. 2) L’œuvre : Candide Candide est un comte philosophique orienté contre la philosophie optimiste de Leibniz. C’est une démonstration par l’exemple que le monde n’est pas le meilleur des mondes. 3) Le texte – Situation – Problématique L’incipit du comte a traditionnellement pour fonction de présenter le contexte, les personnages et de mettre en route

double mouvement d'expression et d'impression, il nous faudra alors retrouver la finalité artistique, en montrant que le "pourquoi" de la question ne peut être compris uniquement causalement. I. Dans les Principes de la nature et de la grâce, Leibniz pose peut-être la plus métaphysique de toutes les questions : "Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?" L'identique formulation qui caractérise aussi bien la phrase leibnizienne que l'énoncé de notre sujet ne peut manquer de nous interpeller

représentée notamment par le philosophe et mathématicien Leibniz. Ce dernier estime que Dieu a créé le meilleur des mondes possibles où le mal est le moindre mal (et non pas le monde parfait où le mal n’existe pas.) Voltaire caricature cette philosophie pour faire dire à Pangloss « qu’il n’y a point d’effet sans cause […] dans ce meilleur des mondes possibles » (l. 20 et 21) et ainsi ridiculiser Leibniz. -la question de l’effet et de la cause : Leibniz considère que l’univers est organisé comme une

texte de Philosophie niveau Lycée sur les notions "sens" et "connaissances" de Leibniz dans la Préface des Nouveaux essais sur l'entendement humain. Extrait: Depuis ce qu'apportent en réalité nos sens, on nous amène vers un problème de différenciation des connaissances entre les vérités particulières et les vérités nécessaires, pour expliquer le rôle de nos sens dans l'acquisition de nos connaissances. Ici, Leibniz tente de nous expliquer ce pourquoi nos sens ne nous apportent que des vérités

l’empêchent d’aller vers le mieux, vers le progrès. La vieille a été violée, amputée parce que telle est la tradition, le nègre de Surinam a été maltraité, amputé parce que « c’est l’usage. » Les intellectuels inutiles Les optimistes ( philosophie de Leibniz, selon laquelle il existe sur Terre, une harmonie préétablie  : tout, dès l’origine, fut pensé au mieux) . Un problème paraît rapidement : si tout est au mieux, ainsi que le pense Pangloss, il est vain de réfléchir à quelque amélioration. Attention :

dans l'assemblage. » Leibniz Le plus bas niveau de la conscience, accessible à l’homme comme aux insectes, est le traitement de l’information. Lorsque l’homme en est momentanément incapable, on peut dire qu’il est dans un état d’inconscience. Or, Leibniz propose ici une thèse originale, selon laquelle, même si nous sommes conscients, de nombreux phénomènes nous échappent : il existerait des perceptions sans conscience. Le terme « marques » signifie ici « preuves ». Selon Leibniz, l’existence de petites

apostrophes (« Ô »), exclamative sur les sentiments, hyperboles sur des personnages extraordinaires pour Candide mais subissent un sort horrible (=contraste). Voltaire s'en prend à la philosophie optimiste de la vie, déforme la réalité de la pensée de Leibniz (le meilleur des mondes possibles). Dénonciation informée et documentée des procès de l'inquisition mais très ironique La dénonciation des procès de l 'inquisition chef d'accusation : épousé sa commère (faute religieuse, forme d'adultère

Pangloss était pendu pour ses opinions. Ici c’est évident que son optimisme ne pouvait pas le sauver, et encore une autre fois on voit la philosophie prendre une autre vie. Dans ce roman, le personnage de Pangloss représente le philosophe Leibniz et ses idées; Leibniz a écrit le Discours de Métaphysique en 1686, dans lequel il a parlé des sept principes fondamentaux philosophiques. Les deux principes qui sont ridiculisés par Voltaire sont les principes de ‘‘l’optimisme’’ et de ‘‘la plénitude.’’ L’optimisme

donnent leur attention aux paroles plutôt qu'aux choses et leur consentement à des termes qu'ils n'entendent point » (Principes de la philosophie, §74) c) distinction présumée entre activité conceptuelle et transmission langagière : Cf. le projet de Leibniz de langage universel où les signes ne renverraient qu'à des formes conçues par l'entendement : mal parler, ce n'est pas utiliser des mots de travers mais ne « point y attacher d'idées claires » ( Nouveaux essais sur l'entendement humain) le langage

paradis terrestre digne des contes de fée. Cependant, des failles apparaissent dans ce monde, et cette société se révèle bientôt grotesque et caricaturée, notamment ce qui relève de son pouvoir et de ses justifications (philosophie optimiste héritée de Leibniz). I. Les Éléments du conte traditionnel (= le conte de fée) a) Le Schématisme des personnages Recours au nom-portrait « Thunder-ten-tronckh », sons durs, germaniques, Thunder = tonnerre, allitération en « t » = idée de cacophonie (bruit, vacarme)