Gouvernance En Tunisie

droits de l’homme comme l’égalité hommes-femmes, la négociation collective, le respect de l’âge minimal d’accès à l’emploi, l’interdiction du travail forcé. Le Maroc est signataire de conventions même au-delà avec par exemple la Convention sur la gouvernance d’entreprise et la lutte contre la corruption. Le Maroc a amélioré sa position en la matière, de la position 45 en 1999 à 37 en 2000, puis 70 en 2003 et 77 en 2004. En 2005, il occupe la position 78. La démarche marocaine s’inscrit dans une conception

et négociation LE MAROC (transparent) Le sultan Mohamed Ben Youssef réclame une réforme du protectorat. So parti : l’Istiqlal ( Déposé en 1953 ( Guérillas / attentats ( 1955, le sultan est relâché → 2 mars 1956, il devient Mohammed V La TUNISIE (transparent) Bourguiba fondateur du Néo-Destour (1934 en faveur d’un régime laïque et moderne). Profondément attaché à la France (rôle pendant la 2GM- lutte aux côtés des Français) MAIS ce sont « les contradictions internes au protectorat »

lutte contre la pauvreté. Cependant, cette manne touristique est très inégalement répartie. Aujourd'hui l'Afrique ne reçoit que 4% des arrivées de voyageurs et seuls quelques pays comme l'Afrique du Sud, le Maroc, le Kenya, le Sénégal, l'Egypte ou la Tunisie, en reçoivent une part significative. Les pays du Nord sont de plus les principaux près de 80% des recettes colossales du tourisme • En outre, le tourisme présente des impacts négatifs tant sur les plans sociaux qu'environnementaux. Des tourismes

Sociales de Tunis intitulé : « Le cadre juridique des migrations dans l’espace euromaghrébin », 20-21 juin 2006. BELHAJ HAMMOUDA Ajmi, « L’asile politique à l’épreuve de l’extradition », R.T.D 1993, pp 53-77. BOUBAKRI Amor, « L’adhésion de la Tunisie aux instruments internationaux relatifs aux réfugiés », journée d’étude : La protection des réfugiés dans le monde : défis et perspectives, organisée par l’Association des Etudes Internationales en collaboration avec le H.C.R, à Tunis, le 26 octobre

précédemment). » Dans un travail plus récent, intitulé Governance Matters (la gouvernance compte) Daniel Kaufman, Aart Kraay et Pablo Zoidon-Lobaton de la Banque mondiale18, montrent qu’il existe une claire relation de causalité entre la bonne gouvernance et le développement mesuré par des revenus par tête plus élevés, une mortalité inférieure plus faible et une alphabétisation plus élevée. Les indicateurs de la gouvernance qu’ils utilisent sont au nombre de six : celui qui correspond à la démocratie

Présentation et mission Eu égard aux soucis de liquidité introduits et ressentis par les récents événements associés à la révolution des jasmins en Tunisie majorés par une sur-utilisation des dépôts se traduisant par un volume important de crédits octroyés et une diminution des niveaux de la rentabilité, la Direction Générale a jugé qu’il se devrait actuellement de procéder à une étude afin de promouvoir la commercialisation du produit Compte Etranger en Devises (CED) au niveau de certains pays

participation financière dans celle-ci, La détention, directe ou indirecte, par l’entité d’une part des capitaux propres d’autres entités ou d’une autre forme de participation financière dans celle-ci, L’appartenance au groupe des responsables de la gouvernance ou des principaux dirigeants (c'est-à-dire les membres de la direction qui détiennent l’autorité et assument les responsabilités en matière de planification, de direction et de contrôle des activités de l’entité), Le fait d’être un proche parent

notre pays : UN, il n'y a pas de développement durable sans conscience de Soi, sans connaissance de l'anthropologie et de la sociologie d'un pays, mais aussi de son histoire et de sa culture, et sans respect de la nature. DEUX, il n'y a pas de gouvernance, selon les standards d'efficacité, sans l'existence d'une élite nationale. TROIS, il n'y a pas d'économie performante sans démocratie, c'est-à-dire sans légitimation par la population. QUATRE, enfin, il n'y a pas de liberté, fut-t-elle économique

notre pays : UN, il n'y a pas de développement durable sans conscience de Soi, sans connaissance de l'anthropologie et de la sociologie d'un pays, mais aussi de son histoire et de sa culture, et sans respect de la nature. DEUX, il n'y a pas de gouvernance, selon les standards d'efficacité, sans l'existence d'une élite nationale. TROIS, il n'y a pas d'économie performante sans démocratie, c'est-à-dire sans légitimation par la population. QUATRE, enfin, il n'y a pas de liberté, fut-t-elle économique

maîtrise des risques pour les populations (risques naturels, technologiques, sanitaires et globaux) thématique 4 : opportunités ouvertes pour le développement durable (choix d’investissements, RSE, innovations technologiques) thématique 5 : gouvernance, expertise et recherche (niveau national, européen et international) A l’issue du tronc commun de la promotion Willy Brandt, l’option d’approfondissement a été lancée dans une logique de spécialisation en petits groupes pour les cinq options