Gouverne

de Richelieu, son premier ministre, qui gouverne. Sa politique vise a établir une monarchie absolue en France : il brise les révoltes des nobles (les Grands) et rase leurs châteaux, réduit la puissance des Protestants (siège de la Rochelle, édit d’Alès leur interdisant d’avoir des places fortes) et utilise des intendants qui représentent l’autorité royale dans les provinces. A la mort de Louis XIII en 1643, son fils Louis XIV n’a que cinq ans et sa mère Anne d’Autriche gouverne en tant que régente avec le

ses membres une puissance suprême d’action, de commandement et de coercition ». Tandis que d’après Ardant « l’état désigne les gouvernants pour les différencier des gouvernés, c’est le pouvoir centrale par oppositions aux collectivités locales ». Mais est ce que tous pouvoirs forment un état ? Et est-ce que la présence d’un gouvernes et gouvernants montre la présence d’état ? D’après Burdeau, qui est un philosophe, directeur scientifique de l’encyclopedia Universalis pour le droit public et scientifique

devoir des gouvernants à bien gouverner, qui résulte au devoir du gouverné à obéir. De même, il doit être du devoir des citoyens de participer à l’activité politique. C’est bien évidemment surtout le cas des Etats démocratiques. L’Etat ne peut fonctionner sans prendre en compte ces multiples devoirs. Les gouvernants doivent bien gouverner. Dans le cas contraire, une rébellion peut se former, les rebelles invoquant le droit de résistance. D’un autre côté, les gouvernés doivent obéir, sans quoi l’Etat

personnes et le mot a la même étymologie que le mot élite. Un candidat sera choisi parce que dans un contexte donné il présente un caractère distinctif perçu comme favorable. La dynamique de choix contrarie donc le concept de similarité entre gouvernés et gouvernants. 3° Les contraintes cognitives : Les électeurs choisissent et portent leur préférence sur des individus connus, c'est-à-dire "saillants" dans le contexte donné, ou encore mis en relief par une caractéristique que n'ont pas les autres

pouvoir constituant. La troisième républiquereste jusqu'à ce jour le plus long régime politique que la France ait connu. Quels sont les pouvoirs du président de la république, et comment en use t-il ? I. Le président de la République : « règne et gouverne » A. Le président de la république : ses nombreux pouvoirs B. La crise du 16 mai 1877II. Le président de la république : des pouvoirs affaiblis A. La constitution Grévy B. Le passage au parlementarisme moniste L’influence monarchique des constituants

 Est-ce qu’on devrait se gouverner sois même? Ceci arrive quand la partie de notre âme nommée la raison contrôle l’autre partie nommée la passion. Cette question est problématique, car les deux réponses possibles à la question peuvent avoir du sens. D’un bort, il y a les cyrénaïques et Calliclès, ceux-ci pensent qu’il est mieux de vivre en intempérant et de vivre en réalisant le plus de plaisir possible. De l’autre, il y a Socrate qui pense que se gouverner sois même amène à l’harmonie de l’âme

effet, la démocratie directe telle que l’ont connue les athéniens n’est plus possible du fait de la contrainte du grand nombre de citoyens et parce que le corps social est considéré comme irrationnel, inconstant, ignorant et en aucun cas capable de gouverner. L’élection s’impose sur le tirage au sort auquel les Grecs avaient recours. Le régime représentatif repose sur l’idée de la représentation, c’est-à-dire sur l’idée que les élus agissent au nom de et à la place du corps électoral et, plus largement

jeune) Le pouvoir royal n’est plus vénéré Plaisirs, jeunesse, lever les interdits La Régence alors que plusieurs régences  « Autorité politique » : déstabilisation des fondements du pouvoir  qui peut commander, d’où la tient-il ? rapport gouverné/gouvernant Tenter de mettre du relationnel dans l’irrationnel « divin » Consentement des peuples Les Lumières se firent comme en opposition aux préjugés  Registre politique notamment  comment fonctionner autrement ? Lutte contre les préjugés

le ferai en essayant de convaincre plutôt que de passer en force. Mais croyez-moi, je le ferai. Je l’ai dit, je serai un président qui gouverne ». Cette citation est extraite du discours de Nicolas Sarkozy du 29 mai 2007 au Havre dans lequel il affirme qu’il souhaite être un « président qui gouverne ». Il apparait ici intéressant de s’interroger sur qui gouverne et qu’est-ce que le gouvernement ? Lorsque l’on pose cette question, aucune réponse ne s’impose automatiquement. Il est évident que le premier

ordinaire, réputé incompétent. * C'est aussi donner de la politique une image telle qu'elle peut dissuader le simple citoyen de s'y intéresser, de s'en mêler. Savoir-faire plus ou moins mystérieux, relevant de « spécialistes » qui ont « l'art de gouverner », comme un artisan possède celui de réparer des chaussures. Une réflexion critique sur une telle conception est donc du plus haut intérêt, tant sur le plan éthique (reconnaissance du citoyen ordinaire comme sujet politique agissant) que sur le plan