Graphe simple

groupe comprend des écrivains comme Raymond Queneau, Italo Calvino ou Georges Perec qui sont les plus célèbres ou d’autre comme Jacques Roubaud et Olivier Salon (compositeurs de mathématique et poésie) ou Claude Berge ( qui a développé la théorie des graphes). L’Oulipo s’est fixé plusieurs buts : Tout d’abord, un travail synthétique consistant à l'invention et à l'expérimentation de contraintes littéraires nouvelles, avec quelque fois un exemple de texte pour chaque proposition. Ensuite un travail

relier ces deux nœuds. Par définition, un arc ne peut intervenir qu'une seule fois dans un chemin donné. Définitions Dans la théorie des graphes, deux notions différentes sont considérées : la notion d'arbre dont les arcs ne sont pas orientés (ou bidirectionnels), et celle d'arborescence dont les arcs sont orientés. Un arbre Un arbre est un graphe non orienté acyclique, c'est-à-dire qu'il n'existe qu'un chemin unique entre deux nœuds. Un arbre Il se compose : d'arcs de nœuds

La modélisation du programme peut se faire par un graphe, ou une matrice carré, ce qui permet de traiter sur ordinateur la recherche des opérations critiques. Il existe deux méthodes, basées sur la théorie des graphes : - la méthode PERT, originaire des USA, qui est la plu usitée - la méthode des potentiels (ou MPM), originaire de France, moins utilisée 1.2.2 La méthode PERT Eléments du graphe - les arcs du graphe représentent les opérations, le nombre associé est

CCP MP I - ann´e 2000 e I CU dans C 0 ([0, 1], R) |fn (x) − fn+p (x)| ≤ N∞ (fn − fn+p ) → 0 quand n → +∞ et p quelconque par hypoth`se. Donc la suite e (fn (x)) est de Cauchy pour tout x, dans R complet, donc converge. la convergence simple ? 2) Une suite de Cauchy est born´e, donc on peut ´crire |fn(x) − fn+p (x)| ≤ N∞ (fn − fn+p ) ≤ M avec un e e majorant M ind´pendant de x, p, n. Faisons tendre p vers ∞ ci-dessus, cela donne par passage a la limite e ` d’in´galit´s larges |fn(x) − f(x)| ≤ M ;

américaine. b/ La filière française et la méthode MPM Dans les années 1957-1958 un chercheur français B. ROY donne naissance à la méthode des potentiel METRA, cette méthode est comme le PERT une technique d’ordonnancement basé sur la théorie des graphes visant à optimiser la planification des tâches d’un projet. De par la notoriété des USA ce fut d’abord la méthode américaine qui s’impose en gestion de projet mais la souplesse de la méthode française notamment lors de l’informatisation de l’outil

Georges Perec, mais aussi des personnalités ayant une double compétence comme les compositeurs de mathématique et de poésie Jacques Roubaud, et Olivier Salon, ou encore de (presque) purs mathématiciens comme Claude Berge (développeur de la Théorie des graphes). Considérant que les contraintes formelles sont un puissant stimulant pour l'imagination, l'Oulipo s'est fixé plusieurs directions de travail : un travail synthétique (synthoulipisme), qui consiste en l'invention et l'expérimentation de contraintes

Filières d'ingénieur: IMIAE & G.E. Page 1 2009-2010 Livret d’exercices Théorie des Graphes et Recherche Opérationnelle Profs: M. BENZIRAR & M. MESTARI Filières d'ingénieur: IMIAE & G.E. Page 2 2009-2010 La série d’exercices présentés ici provient de diverses sources et notamment le Roseaux (Exercices et problèmes résolus de recherche opérationnelle, Dunod) dont les exemplaires sont disponibles à la bibliothèque. Cette série s’étoffera au cours du temps. Profs: M. BENZIRAR

macro-sociologie; dc entre un individu et la société: mésosociologie. D'après Simmel : « les individus font la société et les sociétés font l'individu » → voir à la fois les arbres et la forêt. Sociogramme: représentation graphique d'un réseau: un graphe inventé par M. Moreno (1930's). Les réseaux rassemblent diverses formes de sociabilité... On distingue: la sociabilité interne, tournée vers le foyer la sociabilité externe tournée vers l'extérieur du foyer On peut distinguer

En 1930, Kazimierz Kuratowski démontrait1 qu'un graphe était planaire s'il ne contenait pas de sous-graphe qui soit une expansionnote 3du graphe complet K5, ou du graphe biparti complet K3,3note 4. En 19372, Klaus Wagner donnait une forme analogue et d'ailleurs équivalente3 de ce théorème, en caractérisant ces graphes comme ne contenant ni K5 ni K3,3 comme « mineurs ». Cette forme permet une généralisation facile à de nombreuses familles de graphes ayant une propriété analoguenote 5, par exemple

Définitions. Soit une fonction définie sur un intervalle , à valeurs dans . 1) Graphe de la fonction . a) Définition. Le graphe de la fonction est l’ensemble des couples de réels qui s’écrivent , , où est un élément de l’intervalle . Exemple. Si est définie par , alors les couples ; , ;  et ; sont des éléments du graphe de . En revanche, ; n’est pas un élément du graphe de . b) Tableau de valeurs. Un exercice simple et utile pour s’aider à tracer la courbe d’une fonction est d’établir un tableau