Grotesques

personnages, mais des faiblesses : n’a pas deviné la profondeur de l’amour de Ruy Blas, la noblesse d’âme de César 4/ Le grotesque et le sublime dans  « Ruy Blas » Le romantisme a rompu avec la règle classique d'unité de genres en mélangeant, comme l'avait fait Shakespeare, les genres et les registres, car, de même que la vie est diverse, le drame aussi doit être divers • Le grotesque est tout ce qui renvoie à la réalité en ce qu'elle n'est pas idéale. Il est fortement lié à la reconnaissance du corps

encore l’héroïcomique. C'est donc un mélange de styles opposés. Au contraire de la tragédie classique, le drame romantique veut donc que les genres se mélangent sur la scène comme dans la vie réelle : ils veulent que le sublime soit mélangé au grotesque. C’est une première différence avec la tragédie classique. 2. Objectifs représenter le passé historique dans sa complexité pour permettre au spectateur de comprendre le présent ; souligner le rôle de l’individu dans l’évolution de la société

de la Porte-Saint-Martin.

Victor Hugo a exposé les grandes lignes théoriques du drame romantique dans la préface de Cromwell (1827). Il y définit le drame romantique comme « une peinture totale de la nature ». S'y mêlent donc, selon son mot, « grotesque et sublime ». Selon Victor Hugo, aux trois âges du monde correspondent trois moments de la poésie : l'ode, l'épopée, le drame. Les temps primitifs sont lyriques, les temps antiques sont épiques, les temps modernes sont dramatiques. Le drame devient

tortures. C'est ainsi que sont nées les têtes de caractère et l'Homme de mauvaise humeur. V/Mise en relation Je peux mettre cette œuvre en relation avec «Vieille femme grotesque» ou «La Duchesse Laide» de Quentin Metsys (1466-1530). Cette œuvre a un côté grotesque tout comme l'Homme de mauvaise humeur, un côté grotesque sublimement représenté. VI/Caractéristiques et Description L'homme de mauvaise humeur est une sculpture faite d'alliage de plomb et d'étain pour 38,7 cm

La Bruyère réduit la mise en scène à une pantomime – les dialogues sont éludés et les personnages sont représentés par leurs gestes et leurs mimiques, ici ridicules. III) Un portrait ridicule : du grotesque au burlesque : La Bruyère décrit les malpropretés de Gnathon. 1.Un personnage grotesque : Le personnage devient risible par son apparence bizarre et caricaturale. Il prête à rire par ses excès et ses exagérations : - « il mange haut et avec grand bruit » - « les convives s’ils veulent

ouvert la porte. Comment Flaubert, à travers la mort d’Emma, exprime-t-il un jugement sur son personnage principal ? Dans un premier temps, nous dégagerons le puissant réalisme e la scène, avant d’en montrer la tonalité à la fois tragique et grotesque. L'utilisation d’un point de vue externe qui met le lecteur en position de spectateur, ajoute de la réalité et de la proximité par rapport à la scène. De plus les adverbes temporels marquent la progression de la l’agonie, ses étapes : « aussitôt

humaines, intimement liées. Dans cette phrase, le rire semble être une métaphore du grotesque, qui est l’intrication du rire dans la mort. Comme nous le définie VH dans la Préface de Cromwell, le grotesque « est partout.[…] D’une part, il crée le difforme et l’horrible ; de l’autre, le comique et le bouffon ». Le drame romantique est donc le mélange des genres, comme dans la vie, où on mêle le sublime au grotesque (exemple dans Hernani, lorsque le roi Don Carlos se cache dans l’armoire pour espionner

Introduction Victor Hugo est un auteur du 19eme siècle qui est le symbole de toute la littérature Française et marque l’enssemble des genres. Dans cette pièce, Victor Hugo a révélé le meilleur du D.R. Il a opéré dans Ruy Blas une fusion parfaite du grotesque et du sublime, il a mené très loin le jeu des doubles et des masques, il a créé enfin une dynamique politique qui préfigure les engagements ultérieurs de l'auteur dans la défense du peuple et la lutte contre la misère. Il a également su donner à

Voltaire décrit la société du château de TTT dans laquelle vit Candide. Elle se présente comme un paradis terrestre digne des contes de fée. Cependant, il apparaît progressivement que ce monde n'est pas parfait, et que cette société a des aspects grotesques et artificiels, notamment en ce qui concerne les raisons qui président à son organisation ( voir philosophie optimiste héritée de Leibniz ). Pour illustrer cette dimension ironique du regard sur ce monde parfait, on étudiera deux axes : dans

dans leur bouffonnerie même.Les situations et les personnages sont présentés sous l’aspect de la démesure caricaturale et du risible par excés, comme le permet cette histoire de géants. Ainsi dès la naissance de Gargantua, la tonalité fantaisiste, grotesque et scatologique domine : Gargantua naît par l’oreille de sa mère au bout de onze mois de grossesse et elle accouche après s’être « goinfrée » de « tripailles » suite à la prise d’un médicament pour ne pas vomir, car elle a « mâché la merde ».La démesure