Guy Le Boterf

référence au diplôme. Cependant, un glissement s’opère progressivement et désormais les capacités de la personne à mobiliser ses acquis et ses compétences dans la réalisation d’un travail concret5 sont devenues des critères importants. Comme le précise Guy CAUQUIL6, “ les compétences aujourd’hui requises en matière d’action sociale relèvent moins d’une logique de qualification technique que d’une capacité à comprendre et mettre en perspective les différents paramètres de l’intervention sociale ”.

est appris intellectuellement des autres, intégré, intériorisé dans les domaines variés, le savoir est un ensemble organisé et articulé, construit mentalement indispensable pour agir, réagir, communiquer, s’adopter, analyser, comprendre, décider…Jean Guy Millet 2005 Le savoir-faire : ensemble des (pratiques) manœuvres, méthodes, techniques, procédures, protocoles et instructions associés aux tâches selon les situations de travail. Se dit d’un savoir qui intègre les connaissances à la technique

fonction de ce qu’ils savent et de ce qu’ils comprennent ; - Le feed-back : l’information reçue de l’autre sur notre travail et nos résultats. 5 Jean-Pascal LAPRA, L’évaluation du personnel dans l’entreprise, page 50 6 MILLET Jean-Guy, CASPAR Pierre et NORMAND Claude, L'évaluation, trappe ou tremplin ? Page 100 9 Le principe est que pour une parfaite communication lors de l’entretien d’évaluation, il faut une fenêtre de connaissance de soi et de l’autre entretenue par le

respectera des standards éthiques universels comme le respect de la parole donnée ou de la confidentialité ; • Une confiance professionnelle résidant dans la croyance en la compétence de l’autre organisation. ➢ La compétence. Selon Le Boterf (1994), « La compétence n’est pas un état ou une connaissance possédée. Elle ne se réduit ni à un savoir ni à un savoir-faire. Elle n’est pas assimilable à un acquis de formation. Posséder des connaissances ou des capacités ne signifie pas être compétent »

un contexte précis. Elle se constate lors de la mise en œuvre en situation professionnelle, à partir de laquelle elle est validable. C’est donc à l’entreprise qu’il appartient de la repérer, de l’évaluer, de la valider et de la faire évoluer. » Pour Guy Le Boterf23, en 2001, la compétence consiste à « savoir mobiliser et combiner des ressources. ». A la même époque, Philippe Zarifian24 fonde la compétence sur l’initiative, la prise de responsabilité et le bon sens ou l’intelligence pratique des situations

la question de la formation et des compétences (Plan émergence, Plan Azure, Plan Envol, la réforme de l’enseignement, la perspective d’un système de validation des acquis professionnels …). Le travail doit de plus en plus s’inscrire dans ce que Guy. Leboterf1 appelle « des situations de travail à prescription ouverte » avec une part importante d’initiative, de problèmes inédits à résoudre ou d’événements inattendus. Nous vivons probablement une mutation considérable qui affectera à terme les

un contexte précis. Elle se constate lors de la mise en œuvre en situation professionnelle, à partir de laquelle elle est validable. C’est donc à l’entreprise qu’il appartient de la repérer, de l’évaluer, de la valider et de la faire évoluer. » Pour Guy Le Boterf23, en 2001, la compétence consiste à « savoir mobiliser et combiner des ressources. ». A la même époque, Philippe Zarifian24 fonde la compétence sur l’initiative, la prise de responsabilité et le bon sens ou l’intelligence pratique des situations

Marne la Vallée (Rapporteur) Monsieur Pierre LOUART Professeur à l’Université de Lille I (Rapporteur) Monsieur Claude PARAPONARIS Maître de Conférences HDR à l’Université de la Méditerranée – Aix Marseille II (Suffragant) Monsieur Guy SOLLE Professeur à l’Université de Nice-Sophia Antipolis (Suffragant) L’Université n’entend donner aucune approbation ni improbation aux opinions émises dans les thèses : ces opinions doivent être considérées comme propres à leurs auteurs.

un contexte précis. Elle se constate lors de la mise en œuvre en situation professionnelle, à partir de laquelle elle est validable. C’est donc à l’entreprise qu’il appartient de la repérer, de l’évaluer, de la valider et de la faire évoluer. » Pour Guy Le Boterf23, en 2001, la compétence consiste à « savoir mobiliser et combiner des ressources. ». A la même époque, Philippe Zarifian24 fonde la compétence sur l’initiative, la prise de responsabilité et le bon sens ou l’intelligence pratique des situations

Personnel, les personnes sont une Ressources plutôt qu’un Coût ou encore la nature stratégique de la Gestion des Ressources Humaines par rapport à la nature administrative de la Gestion du Personnel.[1] D’après le livre «de la compétence» de Guy le BOTERF : c’est à partir des années 90 que nous entrions dans une économie qui exige une conception nouvelle de la productivité ; on parle alors de la performance globale. Ainsi l’entreprise n’est plus considérée comme un portefeuille d’affaire mais comme