Guy Le Boterf

▪ Garantir l’employabilité. ▪ Dessiner des itinéraires de mobilité. ▪ Mieux prendre en compte le travail réel. ▪ Favoriser la mobilité sociale et actionner «l’ascenseur social ». Pour G. LE BOTERF, « être compétent, c’est la capacité à tenir un poste ou à une connaissance, c’est de plus être capable de gérer des situations complexes et instables ». Cette définition décrit bien le contexte d’exercice de l’infirmière en réanimation. Pour F

seulement pour la Banque elle-même mais pour tout le système financier et bancaire marocain. Une exigence d’innovation et d’exemplarité vers l’extérieur s’avère ainsi nécessaire. 13 « Ingénierie et évaluation des compétences (Troisième édition) » (Guy Le Boterf) Editions d’Organisation 1998, 1999, 2001. 28 LA GESTION DES COMPETENCES : UN IMPERATIF POUR LE MANAGEMENT MODERNE DES RESSOURCES HUMAINES - Cas des Compétences « Systèmes d’Information » au sein de Bank Al–Maghrib Pour favoriser cette

ont contribué à une certaine remise en question et, par conséquent, une conceptualisation de ma propre pratique. Des questionnements ont alors pris vie en ce qui concerne l’interprétation et la notion de transfert dans la relation éducative. Guy LE BOTERF, docteur d’Etat en lettres, parle, dans son livre Ingénierie et évaluation des compétences, du « Triangle de compétences ». L’auteur nous dit que la compétence réside en trois points : le « vouloir agir » (savoir-être), le « savoir agir » (savoir

l'atout compétence, Paris, Editions d’Organisation, 1997, 128 p. La compétence au travail, Education permanente, Paris, n° 135, 1998 LE BOTERF Guy : De la compétence : essai sur un attracteur étrange, Paris, Editions d’Organisation, 1994, 176 p. LE BOTERF Guy : De la compétence à la navigation professionnelle, Paris, Editions d’Organisation, 1997, 295 p. LE BOTERF Guy : L'ingénierie des compétences, Paris, Editions d’Organisation, 1998 58 Identifier et décrire les compétences professionnelles

On ne sait plus où donner la tête. Le réseau s’engorge. Une telle situation dénoncera le mécontentement, la « pagaille ». 30 Boterf, Guy Le Travailler en réseau : partager et capitaliser les pratiques professionnelles, Paris, Editions d’organisations, 2004, p.58 et 61 31 Idem. 29 I.6 Les conditions pour établir un réseau d'information réussi : Guy Le Boterf 32 identifie les principales conditions à réunir pour maximiser les chances d’un travail efficace entre les différents acteurs

un contexte donné. La compétence (Gilbert et Parlier, 1992): Les compétences sont des ensembles de connaissances, de capacités d'actions et de comportements structurés en fonction d'un but et dans un type de situation donné. La compétence (Guy Le Boterf, 1994): La compétence est un système et une organisation structurée qui associe de façon combinatoire divers éléments. La compétence (Meschi, 1996): Elle peut être définie à un niveau individuel comme étant un ensemble de connaissances, de capacités

action sociale et médico sociale – Pierre BECHLER Le management des équipes inter-culturelles Sylvie CHEVRIER Fonction de direction et de gouvernance dans les associations d'action sociale Francis BATIFOULIER et Françoise NOBLE Travailler en réseau Guy LE BOTERF 

compétence correspond à la mobilisation et à la combinaison dans l'action d'un certain nombre de ressources individuelles ou collectives : des connaissances, le savoir faire technique, le savoir faire relationnel, les aptitudes et qualités. Selon Guy LE BOTERF25, la compétence constitue un « savoir mobilisé », c'est à dire qu'il faut être capable de mettre en oeuvre ses compétences dans les circonstances adéquates, un « savoir combiné », c'est à dire que le professionnel de santé doit être capable

d’initiative et de responsabilité de l’individu sur des situations professionnelles auxquelles il est confronté (ou il sera confronté)» 9. I.2.2 La compétence selon les Experts du développement de la compétence et de la formation : G. LE BOTERF propose, quant à lui, une définition structurée en plusieurs composantes: « La compétence est la mobilisation ou l'activation de plusieurs savoirs, dans une situation et un contexte donnés» 10. Il distingue plusieurs types de savoirs et de savoir-faire

bien tout un univers de travail propre à l’entreprise d’insertion qui permet la professionnalisation des salariés. La formation continue prend place parmi un ensemble d’outils que l’entreprise doit mobiliser pour ses salariés. Comme le précise Guy LE BOTERF « Il existe plusieurs moyens de développer, des compétences, d’acquérir des ressources nécessaires à cette construction du professionnalisme. La formation est un moyen certes important mais c’est un moyen parmi d’autres d’y contribuer et ce n’est