Guy Le Boterf

globale des processus entre eux ou dans la configuration générale de la chaîne de valeur. Le risque est alors lié à une éventuelle carence de compétences organisationnelles globales qui ont trait à halshs-00587451, version 1 - 20 Apr 2011 Guy Le Boterf, “ De la compétence. Essai sur un attracteur étrange” , Editions d’Organisation, Paris 1994, pp. 16-18. Sanchez et ses coauteurs en proposent une définition voisine : “ an ability (power to do something) to sustain the coordinated deployment of

communication» [Mulder et all. 2008]. Grâce à l’approche par compétences, estime Perrenoud, l’élève sera «capable de mobiliser ! ses acquis scolaires en dehors de l’école, dans des situations diverses, complexes, imprévisibles » [Perrenoud 1995]. Pour Guy Le Boterf, expert en management et en développement des compétences et auteur de nombreux ouvrages et articles sur l’approche par compétences, il faut un enseignement qui «ne se limite pas à des savoir-faire ponctuels mais qui prenne en compte la capacité

pourra l’attribuer à la façon dont il a posé son problème ou même à la façon dont il a construit son rôle. Dès lors il sera en mesure de trouver une façon d’intégrer les valeurs mises en jeu dans cette situation ou de choisir parmi elles.» Guy LE BOTERF rejoint D. Schön quand il nous dit que le professionnel devient non seulement capable d’apprendre mais aussi «d’apprendre à apprendre» à partir du moment où il a appris à reconnaître les problèmes, et à les classer par rapport à des contextes.

désigner le travail du sol, puis appliqué au développement et au raffinement des manières. Il a été défini comme un ensemble des comportements, savoirs et savoir-faire d’un groupe humain ou d’une société donnée. Cela a un peu rejoint les dires de Guy le Boterf ; cependant, dans son cas, il exprimait que le savoir-combiné était très important. On en retient que, peu importe le sujet de la recherche, lorsque cela concerne les ressources humaines, tous les sujets se chevauchent, se renvoient l’un à l’autre

 qui est  l’emploi tel qu’il devra être exercé à moyen terme, prenant en considération les évolutions  découlant des orientations stratégiques de l’entreprise ou « imposés » par l’environnement.     La notion de compétence  DEFINITION (d’après Guy le Boterf)  Une personne compétente est une personne qui :   sait agir avec pertinence,    peut agir avec pertinence,   et veut agir avec pertinence,   dans  un  contexte  particulier  (celui  du  poste  de  travail  et  des  objectifs  assignés),  en 

compétences requises. […] Il entraîne la nécessité que certains critères soient respectés dans les pratiques professionnelles construites mais il laisse place à la construction personnalisée et singulière des compétences par les apprenants ». (Le Boterf, 1999, pp. 420-421) Les modalités d’évaluation définissent par quels types d’épreuve les capacités vont être évaluées, pour chaque CQPM : - Contrôle final des connaissances, écrit et/ou oral - Mémoire avec soutenance / rapport

pour forger ses propres compétences comme l’illustre Paul Bachelard2 au travers d’une de ses citations « Rien ne va de soi, rien n’est donné, tout est construit », dans la mesure d’un environnement propice à celui-ci. Issus du même courant de pensée, Guy Le Boterf3 propose une nouvelle approche de la compétence. Il en met deux types en évidence : la compétence requise, c'est-à-dire celle figurant dans les référentiels de compétence, et la compétence réelle dont il est question ici, construite par chaque

       AUBRET J. et GILBERT P. (003) L’évaluation des compétences – Pratiques psychologiques – Evaluation et diagnosticEditions Mardaga   19   - par les déterminants environnementaux de la compétence : c’est l’approche privilégiée par Le Boterf et Zarifian notamment, selon laquelle la compétence est replacée dans son contexte d’émergence (les transformations du travail) et où l’individu est appelé à maîtriser des incertitudes dans un contexte de résolution de problème et de gestion des aléas

compétence Une compétence se construit sur la longueur, « c’est un parcours d’étapes »15. On part « d’une situation simple pour aller dans la complexité des connaissances et des savoir-faire et savoir-être, nécessités par une situation. » 16 Selon Guy Le Boterf, docteur en lettres, en sciences humaines et en sociologie, l’infirmier doit développer ses compétences à l’aide de situation professionnelle. Il fait appel à des ressources personnelles (connaissances techniques, scientifiques, organisationnelles

planification, la gestion et le pilotage des projets. c. Niveau opérationnel : l’analyse est effectuée suivant les paramètres d’analyse du processus de formation. On retiendra à ce sujet les critères suivants : 10 On se réfère à ce sujet à : Le Boterf, Guy (1990), L’ingénierie et l’évaluation de la formation. Paris : Les éditions d’organisation.. Projet ITQANE Improving Training for Quality Advancement in National Education 23 Etude de la situation de base « baseline» relative aux programmes