H M Zara Segmentation

- L’URBANISME COMMERCIAL ..................................................185 1. La législation actuelle et ses effets ...............................................185 2. La nécessité d’une réforme et son éventuel contenu ....................186 H - LA TECHNOLOGIE .......................................................................187 1. Une omniprésence ........................................................................187 2. De nouveaux développements ...............................

y a donc une complexité accrue du fait de la multiplication des flux liée au fait que chaque intervenant n’a plus un seul interlocuteur mais une multitude. Nous développerons ce point un peu plus tard. Les FMN vont entre autre devoir gérer une segmentation accrue des marchés et de nouvelles attentes de la part des consommateurs. Les défis pour les FMN sont nombreux du fait de la multiplication du nombre d’acteurs prenant par à leur chaine de valeur. Que ce soit de l’approvisionnement à la distribution

Services/personnalisation/conseil 26,4% 22,6% 12,3% 45,3% 7,3% 9,8% 2,4% 17,1% 21,1% 19,0% 9,5% 37,4% La proximité La praticité REGISTRE Proximité/praticité 25,5% 9,4% 32,1% 26,8% 0,0% 26,8% 25,9% 6,8% 30,6% Segmentation/différenciation Spécialisation de l'offre REGISTRE Segmentation/spécialisation 21,7% 6,6% 26,4% 22,0% 9,8% 22,0% 21,8% 7,5% 25,2% Le développement durable Consommer mieux Engagement, responsabilité REGISTRE RSE 11,3% 6,6% 7,5% 17,9% 24,4% 12,2% 9,8% 24

aux études et décida de passer mon bac, permettant ainsi à mon corps de se réparer. Depuis deux ans je skate beaucoup moins qu’avant, je dois skater environ 4 heures par semaine alors que lorsque j’étais sponsorisé par exemple pouvais faire jusqu’à 10 h de skate par jour, principalement le mercredi, le samedi et le dimanche, soit une quarantaine d’heures d’entrainement d’heures par semaine en moyenne. Depuis je skate beaucoup plus pour mon plaisir et pour les sensations que me procure ce sport, je n’essaye

d’autant plus solide et généralement plus durable que la fidélité passive car elle est susceptible de résister beaucoup mieux à d’éventuels changements défavorables de l’environnement. Ainsi, une personne s’habituant à s’approvisionner du magasin ZARA sera disposée à décaler ses achats si le modèle est indisponible ou en rupture de stock. Une acheteuse activement fidèle à la marque ELSEVE de L’Oréal sera prête de changer de supermarché si celui n’offre pas son produit habituel. C’est donc ce type

........................................................................................... 34 g- La matrice BCG .................................................................................................................................. 36 h- Les sept S de McKinsey :................................................................................................................... 40 i- DMAIC : ............................................................................................

____________________________________________________________ ______________________________ Bibliographie indicative : Audroing Jean-François, 2002, Economie d’entreprise. Concurrence, rentabilité, management, Presses Universitaires de Rennes. Auriac J-M., Bougault H., 1994, Economie d’entreprise, Editions Casteilla. Boulet Monique, Patrick Enreille, Yolande Morlans, Thierry Pijourlet, 2005, (Collectif), Economie d'entreprise, Delagrave Editeur. Bressy Gilles, Konkuyt Christian, 2000, Economie d’entreprise, Sirey

consommation et une fragmentation du tissu social que n’imaginaient pas les stratèges et les marketeurs il y a encore quelques années. La désagrégation du marché s’accélère partout. Même sur des marchés qui n’étaient pas de masse, on voit apparaître des segmentations fines. Ainsi en est-il du secteur communément appelé le luxe. Encore au milieu des années 1990, il était admis qu’existait un espace ou un secteur homogène appelé le marché du luxe, et que son expansion paraissait évidente, appelant une concurrence

consommation et une fragmentation du tissu social que n’imaginaient pas les stratèges et les marketeurs il y a encore quelques années. La désagrégation du marché s’accélère partout. Même sur des marchés qui n’étaient pas de masse, on voit apparaître des segmentations fines. Ainsi en est-il du secteur communément appelé le luxe. Encore au milieu des années 1990, il était admis qu’existait un espace ou un secteur homogène appelé le marché du luxe, et que son expansion paraissait évidente, appelant une concurrence

l’émergence de nouveaux comportements éco-responsables ou solidaires est très graduelle. Leur diffusion est elle-même tributaire d’une évolution positive du pouvoir d’achat ; •  ces nouveaux comportements s’inscrivent dans la tendance longue d’une segmentation des marchés, d’une différenciation/personnalisation des biens et des prestations toujours plus poussée, et au final d’une montée en  gamme à travers la proposition de « solutions » individualisées et de biens durables à meilleur rendement énergétique