Hannah Arendt La Condition De L Homme Moderne

avare et hostile donc l'Homme va devoir faire effort pour survivre. Les travail est un châtiment, une punition. Si l'Homme n'avait pas fauté, il serait éternellement resté dans le jardin d'Eden sans avoir besoin de travailler. Hannah Arendt ; La condition de l'homme moderne : Le raisonnement commun : Le travail est méprisé car ce sont les esclaves qui travaillent. Pour elle, c'est parce que le travail est par nature servile, que c'est les esclaves qui doivent travailler. Le travail est avilissant

Théories de la démocratie Plan PARTIE I : La démocratie comme argument : justifications intrinsèques A - La démocratie antique et moderne a) la notion du politique et de la démocratie b) Liberté et égalité dans la pensée grecque c) La démocratie comme État social B - Théories contemporaines a) Démocratie, droit et démocratie délibérative b) Démocratie : pouvoir et justice PARTIE II : La démocratie comme moyen : justifications instrumentales A - La problématique de la

Sur l’antisémitisme[modifier] Hannah Arendt analyse dans ce livre l’émergence de l’antisémitisme politique, à la fin du xixe siècle, inédit par rapport aux sentiments antijuifs qui le précédaient. Elle détaille le rôle joué par l’émergence des États-nations modernes et l’émancipation des Juifs. Selon elle, l’assimilation des Juifs a exigé d’eux qu’ils soient « exceptionnels » : la fin de siècle a transformé le judaïsme, religion et nationalité, à caractères collectifs, en judéité, à caractère de

ordinaire, mais cette égalisation des conditions s’accompagne d’un développement croissant du règne de la loi qui, remplaçant le règne des hommes, place un pouvoir impersonnel et anonyme au-dessus de toutes les volontés particulières. La démocratie, c’est le règne anonyme de la loi en lieu et place de l’arbitraire des volontés. Cependant, force est de constater, d’une part, que les conditions mêmes qui sont censées garantir l’enracinement de cette égalisation des conditions se sont rapidement révélées comme

 Chapitre 1 : Les penseurs grecs Socrate    On dit que Socrate a hérité du métier de sa mère  Il se disait « Sage-Homme ». Si sa mère accouchait les corps  Socrate s’occupait d’ACCOUCHER LES ESPRITS. Comment ? Il laissait sortir les vérités et vérifiait ces vérités par le questionnement.  Il évacue d’abord les pensées toutes faites et les opinions, en montrant, par des contre-exemples, leur fausseté ou leur fragilité jusqu’à aboutir sur une idée juste. Cet art d’accoucher les

→ Problème pour les personnes qui n'arrivent pas à avoir des groupes : elles sont exclues donc sont handicapées pour travailler. En bref : but propre + interdépendance + hiérarchie. Pour qu'un groupe soit une organisation, il faut 3 conditions réunis à la fois : l'organisation a son but propre à elle : ce but n'est pas la somme des buts de tous les salariés, c'est le but de l'organisation globale. Ex :- Hôpital→ petit hôpital : soigner les gens le mieux possible avec le plus

pris des significations extrêmement différentes selon les époques, à tel point qu’il est sans doute périlleux de continuer à l’utiliser de manière général. Selon les travaux philosophiques et ethno-anthropologiques (textes de Platon, Aristote, Hannah Arendt, André Gorz, J.-P. Vernant Travail et esclavage en Grèce ancienne et A. Cotta L’Homme au travail), le monde grec avait une vision négative du travail, activité nécessaire à la survie physique de l’homme mais dénuée de toute dignité sociale, réservée

choses ? Le terme de « choses » peut se définir de différentes manières.Il existe différentes sortes de choses : les choses qui ne sont pas animées, des choses vivantes (exemple : un arbre) ou des animaux qui peuvent bouger. Au contraire, un homme n'est pas un objet dans le sens où il détermine ses propres fins notamment grâce à sa pensée. Il s'agira de savoir comment l'homme se distingue d'un animal ou d'une chose par l'exercice de sa pensée. Comment l'homme s'élève au dessus d'une chose et

sur le pouvoir. Tout comme Machiavel, La Béotie dans son discours dévoile les sources du pouvoir, mais plutôt que de se situer du coté du prince à l’instar de son aîné, il se place du point de vue du peuple. La coutume et les habitudes vues comme condition « naturelle » du cours des choses, l’admiration pour le chef, pour ses insignes de pouvoir, la résignation et la passivité, le maître sait diviser pour régner, la soumission à la loi du prince qui procure des avantages. L’auteur traite ensuite

ils ne vous tiendraient point leur parole, pourquoi devriez-vous leur tenir la vôtre? Et d'ailleurs, un prince peut-il manquer de raisons légitimes pour colorer l'inexécution de ce qu'il a promis? A ce propos on peut citer une infinité d'exemples modernes, et alléguer un très grand nombre de traités de paix, d'accords de toute espèce, devenus vains et inutiles par l'infidélité des princes qui les avaient conclus. On peut faire voir que ceux qui ont su le mieux agir en renard sont ceux qui ont le plus