Hannah Arendt

Etude des conditions qui mènent des gens ordinaires à commettre des atrocités Adolf Eichmann lors de son procès en 1961 ( photo diapo) « pas un monstre sadique mais plutôt un homme ordinaire, un bureaucrate n’ayant fait ’que son devoir’ » (Hannah Arendt) Qu’elles sont donc les conditions qui mènent des gens ordinaires à commettre se genre d’atrocité ? Etude classiques (Cf.CM) Depuis les années 50’s, les études en travaille sociales tendent à confirmer l’idée de la banalité du mal: Etude

et les théologiens comme une caractéristique individuelle purement psychologique et morale. Avant d'être une valeur, une qualité ou une exigence, la liberté est d'abord une double condition : individuelle et universelle, pour tous les hommes. Hannah Arendt, l'a montré dans la Crise de la culture : sans une vie politiquement garantie, la liberté sous quelque forme qu'on l'envisage, ne peut avoir aucune "réalité mondaine", comprenez qu'elle ne peut pas être de ce monde, elle ne peut pas avoir une forme

sommes nous alors responsables? Mais dans quelles mesures notre responsabilité est elle engagée? I/l’homme agit et cet acte à des répercussions qu’il le veuille ou non: il est condamné à être responsable. 1- l’homme est conscient Hannah Arendt dit on ne peut pas ne pas agir car ns sommes des êtres humains au milieu d’autre être humain quoiqu’on fasse même en respirant on agit le fait mm d’exister a une conséquence sur les autres a moins d’abdiquer a renoncer à être soi mm a ne plus être

faire tout ce qui concerne les relations sociales, c’est-à-dire, en pratique, contrôler la vie des individus en ne leur laissant aucune liberté individuelle et surtout aucune liberté d’expression, ni par conséquent de pensée. Pour la philosophe Hannah Arendt, ce type d’idéologie prône unerénovation totale des institutions de la société – refaçonner la société –. Le totalitarisme cherche par conséquent à reconstruire la société et l’individu, en créant les conditions idéales d’une utopie (vision d’un

parce que ce qui peut être bien pour quelqu’un n’est peut être pas bien pour une autre personne étant donné que nous ne détenons pas tous les mêmes valeurs et nous n’avons pas nécessairement tous la même vision du bien et du mal. En effet, selon Hannah Arendt1, ces deux concepts sont extrêmement difficiles à juger étant donné que, pour savoir ce qui est bien et mal, il faut se baser sur les traditions et sur la culture d’une personne comparativement à une autre. Autrement dit, pour certains, il

" l'autre face action " dira Hannah Arendt, qui implique non seulement des capacités d'analyse mais aussi un " coeur intelligent. " L'interprétation suppose-t-elle de l'intuition ? Un "coeur intelligent" que signifie cette expression ? Une forme intelligente d'empathie ? Si interpréter, c'est comprendre et appliquer ; il est clair que l'on aura du mal à interpréter et à appliquer ce que l'on ne comprend pas. Dans son interprétation du totalitarisme, Hannah Arendt va montrer qu'une certaine forme

autorité —, je proposerai de relier la question de l'autorité à celle de l'éducation à la liberté : dans une société pluraliste et démocratique, l'autorité est mise au service de la liberté. Reprenant des analyses de la philosophe américaine Hannah Arendt, je distinguerai l'autorité hiérarchique, dont le but est l'obéissance et la docilité, d'une autorité de raison, dont le but est la persuasion et la liberté, et non la conformité. Cete réflexion s’inscrit par ailleurs dans le cadre d’un renouveau

de la cause pour laquelle ils se firent la guerre. » Hérodote, Histoires, 1. À la différence des faits naturels qui se répètent et qui sont donc toujours accessibles à l’enquête, les actions humaines sont éphémères. (Sur cette opposition, cf. Hannah Arendt (1906-1975), La crise de la culture, II Le concept d’histoire). Elles ne durent pas comme les choses de la nature ou même comme les objets techniques ou les œuvres d’art. Agir, ce n’est pas faire, parce que l’œuvre de l’agir, c’est celui qui agit

Le terme « totalitarisme » n'a pas de sens figé, que ce soit en français ou dans une autre langue. De Luigi Sturzo à Bernard-Henri Lévy en passant par Hannah Arendt, il a fait l'objet de nombreuses études et de débats animés. Son évolution sémantique fut dépendante, bien entendu, de l'auteur, de ses compétences et de ses idées, mais aussi du cadre politique et culturel dans lequel ce dernier s'inscrit ainsi que du contexte historique. De plus, le développement de la réflexion historique sur la Seconde

appareil policier recourant à la terreur, une direction centrale de l'économie, un monopole des moyens de communication de masse et un monopole de la force armée[2]. Bien souvent, la genèse du concept de totalitarisme est attribuée à la philosophe Hannah Arendt, alors qu'elle a lieu bien avant, dans l'entre-deux-guerres. L'adjectif « totalitaire » (« totalitario ») apparut en Italie dès le mois de mai 1923 (on prête parfois son invention à Giovanni Amendola[3],[4], opposant et victime du fascisme). Ce