Hard rock

une seule opération à l’une des caisses de sortie. Les plus répandu sont : Intermarché, Casino, Carrefour market, Super U c) Le hard-discount Le hard-discount peut être intégré à la famille des supermarchés, c’est un point de vente en LS intégrale qui offre un assortiment limité de produit de base, ceci étant présenté de manière sommaire. Le succès des hard-discounter repose sur des prix bas et des promotions, le consommateur est attiré par la fonctionnalité de ce type de commerce (course

des procédures plus élaborées augmentant leurs coûts opérationnels, et deviennent ainsi plus vulnérables à de nouvelles entrées sur le marché, qui évolueront de la même façon. C’est ce que l’on observe avec l’importation d’Allemagne du concept de « hard discount » dans les années 80, caractérisé par une prédominance alimentaire avec un assortiment restreint et à très faibles prix. D’autre part, les hypermarchés doivent faire face à une concurrence accrue des « category killer », ces groupes de distribution

vente supérieures à 2500 m2, situées en périphérie des grandes agglomérations, dans des zones d’activités commerciales ou dans de grands centres commerciaux et proposant un très large éventail de produits alimentaires et non alimentaires. ← Les hard-discount, magasins alimentaires discount, de surface de vente comprise entre 300 et 1000 m2, proposant en libre service intégral des produits basiques. Structure économique et sociale Le poids des GMS dans l’économie nationale est très important

MARINI Thomas FOUACHE Paul COLLIN Florian Le Hard- Discount Alimentaire Le hard-discount et les grandes et moyennes surfaces ne vont-il pas devenir un seul et même secteur ? Histoire : - Sa naissance - Son évolution - Son déclin Concept : - Définition - Produit - Prix - Distribution - Communication Aujourd’hui

documentaire (Faire une fiche par document) |Titre du document | | | |« Le hard-discount s'essouffle en France » | |Source | |

commerce, lequel choisissez-vous ? | Ensemble des Français | | % | - Un hard discount (comme Leader Price, Ed ) | 30 | - Un supermarché ou hypermarché traditionnel | 65 | - Ne se prononcent pas | 5 | TOTAL | 100 | | Ce sondage ayant été réalisé en mars 2008 (avant la crise économique de l'auto- mne 2008), à l'heure actuelle, la préférence des hard discount est à revoir à la hausse et la préférence des grandes surfaces est à revoir à

votresavon, où allez-vous le chercher? *Pour le répondant, les Modalités de réponses sont présentées dans un ordre aléatoire. en grande surface en magasin spécialisé en magasin de vente parcorrespondance en parfumerie en pharmacie en hard-discount (ex : Lidl, Norma...) autres Q8.Vous en achetez? toutes les semaines tous les 15 jours

libre-service dans les grandes surfaces grâce à la caisse enregistreuse L’apparition de nouveaux formats de distribution et le contexte économique : les nouvelles formules de distribution sont souvent nées en réponse d’un contexte économique nouveau. Ex : hard discount lié au choc pétrolier. Les GSS apparaissent grâce aux 3 glorieuses. L’apparition de nouveaux formats de distribution et évolution sociaux culturelle : Ex : cela peut s’expliquer par la féminisation du travail qui a favoriser le développement

situés dans le centre-ville ou prêt du centre-ville. d. le hard-discount Les magasins sont associés à des supermarchés car la surface de vente est entre 1200 et 1500 m². C’est un point de vente en libre-service, offrant un assortiment limité de produits de bases. La présentation est sommaire. Les prix sont attractifs. Les enseignes dominantes sont : Lidl, Aldi etc. e. le soft discount Il s’est développé à côté du hard-discount en offrant des produits plus connus et plus cher. Les enseignes

de la notion de puissance a fait l’objet de redéfinition et/ou d’approfondissement conceptuels utiles pour l’observateur ou l’acteur des relations internationales. Joseph Nye a par exemple proposé au début des années 1990 la distinction entre le Hard power et le Soft power2, (re)mettant en évidence le caractère multiforme de la notion de puissance et de ses modes d’exercice en soulignant que les critères classiques les plus visibles (les capacités politico-militaires), n’étaient pas les seuls