Hegel Art

détermination. Ainsi donc le destin ne nous donne pas en même temps que ces oeuvres le monde de cet art, le printemps et l’été de la vie soucieuse des bonnes moeurs et de la coutume dans laquelle elles ont fleuri et mûri, mais uniquement le souvenir voilé de cette effectivité.” (Hegel, PHENOMENOLOGIE DE L’ESPRIT, trad. fr. J. P. Lefebvre, Paris, Aubier, 1991, p. 489) En effet, l’art étant, selon Hegel, la phase initiale et préparatoire du développement de l’Esprit, en attente de son passage à de

spécifique s'intègre au pour les représentations théâtrales. C'est sous l'appuie du célèbre dramaturge Sophocle, que tous les éléments fondateurs du théâtre comme le décor, la mise en scène mais surtout le texte, vont apparaître. Le théâtre est un art où le comédien joue le texte écrit par son auteur et guidé par son metteur en scène. Il est à la fois l'art de l'écriture mais aussi de la représentation, puisque des acteurs joue un personnage inventé pouvant se retrouver dans n'importe quelles situations

et l’on parle des « métiers d’art », l’art lui-même devenant synonyme de technique, comme lorsque l’on parle de « l’École des Arts et Métiers ». En grec, « art » se dit « tekhnê », d’où vient notre mot « technique ». Cependant, à la Renaissance, le peintre, conscient de ce qu’on appelle déjà son « génie » (ingenio), demande à ce que son art soit compté parmi les « arts libéraux » et non plus parmi les « arts mécaniques », cherchant ainsi à se distinguer du simple homme de métier, ou artisan.            

Lukács, la perspective sociologique héritée de Simmel et de Weber d'abord, puis de plus en plus exclusivement de Marx, se trouve directement reliée à l'esthétique classique allemande. Ainsi les structures esthétiques, qui constituent pour Kant et Hegel l'essence même de l'œuvre d'art, ces structures cohérentes et unitaires allaient pour la première fois être mises en rapport avec les structures sociales : « Das wirklich Soziale [aber] in der Literatur ist : die Form » (« Ce qui est vraiment social

ont mis en valeur la vision humaniste, le désir d’unité, l’ouverture d’esprit et la globalité, l’érudition et la capacité de synthèse. Mais la critique la plus importante semble être celle de ses concepts centraux, l’espace-temps3 et le parallélisme art-science. D’abord, on peut lui reprocher la simplification excessive du concept « espace », en ignorant le renversement moderne de sa nature, de substantialiste en relationnelle, et tous les aspects psychologiques liés à sa perception (lacune comblée

l’emploi du mot s’est progressivement élargi aux êtres humains. Le terme culte, d'étymologie voisine (latin cultus), est employé pour désigner l’hommage rendu à une divinité mais réfère également à l'action de cultiver, de soigner, de pratiquer un art. Voir les mots avec le suffixe -culture sur Wiktionnaire. Pluralité de définitions Différentes définitions du mot culture reflètent les théories diverses pour comprendre ou évaluer l’activité humaine. En 1952, Alfred Kroeber et Clyde Kluckhohn

– et non pas de libération – de l’homme par l’homme ? – Si le développement technique a un sens, quel est ce sens ? Est-ce aussi et sous le même rapport un développement (qualitatif et non pas seulement quantitatif) pour l’humanité comme telle ? – Art et technique : Quelle est la part de la technique dans l’art ? (Cf. Cours sur l’Art.) – Le travail est-il nécessairement le contraire du loisir ? L’artiste n’est-il pas celui qui parvient à faire la synthèse du travail et du loisir ? – Si l’homme doit

visuel= art plastique • peinture • musique • danse • littérature (poésie, roman, théâtre) • cinéma (le 7ème art) • (photographie, gastronomie…) - Plan du cours : I/ CREATION ARTISTIQUE II/ LES RELATIONS ART/NATURE ­> LE PROBLEME DE L’IMITATION III/ LA CONTEMPLATION ESTHETIQUE ­> LE BEAU I/ LA CREATION ARTISTIQUE Créer : c’est faire exister quelque chose, c’est inventer et produire. A. Le rapport art/matière ­> Phrase

nous du sublime, un nouveau sublime, celui de notre époque. Pour nous faire comprendre « le sublime » Barnett Newman commence par examiner la manière dont les philosophes avant lui ont défini ce « sublime », il prend comme exemple Longin, Kant, Hegel et Burke. Chacun de ces philosophes, d’après Newman, on abordé le sublime de manières différentes mais toujours sans faire de réel séparation entre le beau et le sublime (excepté Burke). Il montre que dans chaque explication de ces philosophes il apparaît

le point de vue moral, où se situe le conflit ? Il deviendrait une fin inévitable, car la politique pourrait devenir néfaste pour les hommes, le chef de l'État ne prendrait peut être pas des décisions légitimes. En effet la politique deviendrait un art pratique pour la prise et la conservation du pouvoir; mais deviendrait il pas nuisible à la marche effective de l'État ? Est ce que cette conception de Machiavel n'aboutirait pas sur des conflits engendrés par l'idée d'un pouvoir qui apparaitrait néfastes