Hegel Descartes Cogito

existe-t-il entre moi et autrui ? • Nous avons retenu du solipsisme cartésien l'idée que le moi est plus certain que le monde : il y a d'abord le moi, puis ensuite seulement le monde et autrui ; avec Descartes, la conscience devient une substance qui saisit sa pure mêmeté dans l'acte du cogito. Selon Descartes en effet, je n'ai pas besoin d'autrui pour avoir conscience de moi ; mais tout seul, puis-je avoir conscience d'exister ? • Husserl va montrer que la conscience n'est pas une substance, mais une

Selon René Descartes le sujet grâce à la conscience qu’il a de lui même acquis l’intuition, Cogito, ergo sum « je pense donc je suis » dans le discours de la méthode, Descartes développe l’idée que le fait de douter de réfléchir et de se remettre en question est une quête de certitude et de connaissance.Sur laquelle pourra être reconstruit un monde sûr et certain grâce à sa connaissance de lui-même et sa capacité de remise en question lui permettant d’atteindre la certitude. Descartes introduira

- Alter égo ? (autre moi que je peux penser, connaitre) - Égo alter ? (se dérobe à moi ; que je peux essayer de comprendre) - L’ANALOGIE ET SES LIMITES Avant Descartes : le problème d’autrui ne se posait que sous la forme des devoirs (Ex : Doit-on la même chose aux esclaves et aux hommes libres ?) Descartes → cogito comme insulaire, solitaire. Intuition de moi même comme conscience de penser et d’être mais je ne peux penser les autres comme je me pense moi même (sens trompeurs) Intériorité/Extériorité

Le doute méthodique de Descartes consiste à mettre en question toutes les certitudes établies – évidence des sens ou vérités dogmatiques – afin d’asseoir la pensée sur les bases inébranlables. Or comme dit Descartes : «  Douterais-je de tout, il est certain que je doute, partant que je pense ; je pense, donc je suis. » Pour douter, il faut obligatoirement que je pense. C’est en procédant à une remise en question radicale que l’on découvre une première évidence – le cogito – sur laquelle on peut fonder

Le sujet I Définitions Le sujet désigne l’homme en tant que personne, être conscient de lui-même, Homme libre, maitre de ses pensées et de ses actes. Le cogito cartésien est le raisonnement de Descartes selon lequel la certitude première est celle de la conscience de soi (« je pense donc je suis »). Elle est à la base de l'opposition entre l'homme et l'animal et implique donc le fait d’être sujet. Le pouvoir de pouvoir ainsi se penser peut faire croire que l’être humain a la capacité de

rechercher conscience +Nietzsche) I) aspect métaphysique : le cogito. A) la primauté du cogito. Descartes souligne la primauté du sujet pensant. Pour douter il faut que je pense que j’existe mais a titre de sujet pensant, « je pense, je suis ». Quatre conséquences : - logique méthodique : le cogito nous donne la première expérience de vérité absolue, donc il sert de point de départ à la reconstruction de nos connaissances, Hegel dit « avec la conscience de soi nous sommes entrés dans la terre

s’éloigner comme dans les pèlerinages, ou l’exil. Ils cherchent une mise entre parenthèse du monde qui les entoure pour favoriser le fait de se centrer sur eux-mêmes, il y a là un besoin de se ressourcer loin des autres qui ce crée, par exemple Descartes à favorisé et pratiqué l’isolation dans le but de se concentrer sur un sujet et trouver une réponse à ses questions. La construction d’un individu serait alors défavorable voir empêchée par autrui, Rimbaud écrit que « Je est un autre » autrui

 Fiche de philosophie Conscience : Capacité à faire un retour sur soi-même pour se juger « La conscience est la manière dont un homme perçoit ce qui se passe dans son propre esprit »  John Locke Descartes : Le cogito, la conscience se découvre elle-même à partir d’un doute radical. « Je pense donc je suis » Sartre : Autrui est le médiateur indispensable entre moi et moi-même. Inconscient : Ensemble des désirs et des souvenirs douloureux de la petite enfance qui

de sa conscience, nous pouvons définir sous cet angle l’approche du cogito de Descartes « je pense donc je suis ». Dans son ouvrage Méditation métaphysique , Descartes proposera une autre formulation possible du cogito, qui est une extension de la pensée « Je suis, donc j’existe ». Hegel parle alors ici de double existence, et renvoie à ces deux modes d’existence : « le cogito théorique » et « le cogito pratique ». Les philosophes opèrent une dissociation entre le corps et

encore appelé subconscient, c’est à dire ce qui n’est pas présent dans le champ actuel de la conscience mais qui, en droit, est accessible au cogito transparent et limpide. On notera aussi l’existence d’un inconscient primitif qui contient l’ensemble des comportements vitaux élémentaires (reflex, instincts). Alors que d’après les théories classiques de Descartes, pensée = conscience, Freud lui va plus loin, dans sa première topique, la séparation entre le conscient et l’inconscient est une nécessité