Hegel Esthétique Génie

rendre sur le "papier" une copie parfaite de la réalité, c’est en cela qu’il est considéré comme étant alors un grand artiste. C’est-à-dire que si nous posons, spontanément, que le rôle de l’artiste est de représenter, alors il sera considéré comme un génie s’il le fait à la perfection. En effet lorsque l’œuvre est bien faite, on peut alors sentir une certaine satisfaction ; sensation semblable si je suis l’auteur même de cette œuvre ou simplement son spectateur. Il y aurait un plaisir du beau face

définition : l’art n’est pas dans les techniques qu’il utilise : tous les arts obéissent à des règles / l’artiste de génie, c’est celui qui va s’écarter des règles, les transgresser, inventer une nouvelle façon de faire, de nouvelles formes (ex : impressionnisme ; fauvisme).C’est même cette liberté qu’il prend par rapport aux conventions de son art qui est tenu pour la preuve de son génie (cf : le sonnet dont le nombre de quatrains est insuffisant ; le poème où la rime est rompue) La frontière est

patrimoine entre identification et désidentification 2) Culture-enseignement et culture-existence : la nécessité de l’instruction et de la médiation VI - Les principes théoriques de la médiation culturelle 1) Une esthétique de la valeur 2) Une esthétique de la présence double -33) Une esthétique du goût Conclusion : Dix septembres (2005) de Christian Boltanski ou l’art contemporain devant le patrimoine, la mémoire et histoire Bibliographie -4- Introduction Mon cours se donne simplement pour

les conceptions objectives et originelles, les pensées universelles de l’esprit humain, qui sont offertes à nos regards. Hegel, Cours d’esthétique (1821) 1. Rédigez l’introduction d’un commentaire de ce texte. Quel est le but de l’art ? Quel est l’objectif fondamental des artistes ? Tel est le problème que Hegel s’efforce de résoudre dans ce texte. Sa thèse, c’est que l’art est l’un des moyens privilégiés qu’a l’esprit de s’extérioriser. Les œuvres

l'objet d'une demande d'autorisation auprès des éditeurs et des auteurs. Vous pouvez citer librement cet article en en mentionnant l’auteur et la provenance. Il y a une actualité philosophique de l’esthétique. Mais les débats sur les questions esthétiques paraissent partagés entre un renouveau de l’esthétique par la philosophie analytique – dont la sobriété argumentative, la clarté des thèses plaident, selon ses auteurs et ses défenseurs, en faveur de son « sérieux scientifique », à la fois contre

la Raison Pure, analytique transcendantale.) Le semblable pose la légitimité de la sympathie, de la compassion - ce que nous pouvons appeler la contagion des consciences- de la reconnaissance - sentiment majeur dans la rencontre avec autrui selon Hegel et Sartre- ou du respect - qui est la distance accordée à toute personne reconnue comme une fin en soi selon Kant. Le semblable n’est pas l’identique, ou l’égal. Il n’y a en aucun cas confusion entre moi et l’autre, ni même identité. Cela nécessitait

faire une œuvre qui soit dans un rapport de ressemblance avec ce qu’elle représente. C'est l'habileté à reproduire la nature qui chez l'artiste produit le plaisir. L'artiste prend du plaisir en admirant la fidélité du modèle à la réalité. Mais pour Hegel l'art ne consiste pas à imiter la nature, c'est prêter à l'art une fonction superflue et donc inutile. L'artiste à travers l'imitation cherche en réalité à recréer la réalité elle-même et de faire passer des messages spirituels. Plan I L’art qui

stérile. ». L'oeuvre d'art échappe également à son créateur lui-même. L'artiste ne crée donc pas de plan pour son oeuvre, mais se laisse guider par son « génie » selon Kant. Celui-ci est un don que l'artiste a reçu à la naissance (le mot génie vient de « génos » qui signifie en grec talent ou don), il existe ainsi selon le philosophe le génie de la peinture, de la sculpture, de la musique ou de la littérature qui concernent respectivement les sens de la vue, du toucher et de l'ouie. Pour le philosophe

groupe social important a sa mythologie, qui lui donne des forces pour s’opposer à un autre. “ Moderne épopée bourgeoise, faite pour exprimer le conflit de la poésie du cœur et de la prose des rapports sociaux ” : ainsi Hegel, dans son Esthétique , définit-il le roman. Or, pour Hegel, la mission du romanesque était précisément de faire apparaître comme nécessaire la réconciliation de cette poésie individuelle et de cette prose sociale : individu et société doivent aller dans le même sens, celui d’une

continuité historique) ; par le même auteur, Jean Lacoste, il existe un excellent petit essai qui constitue une remarquable introduction aux divers problèmes de la philosophie esthétique, présentés dans leur continuité historique : L’Idée du beau, publié chez Bordas en 1986 ; une claire et dense introduction à la philosophie esthétique : Pierre Sauvanet, Eléments d’esthétique, aux éditions "Ellipses" ; une savante présentation historique des théories d’art : Lionello Venturi, Histoire de la critique d’art