Hegel Esthétique

est un discours qui veut savoir l'incohérence du traité de Longin[2]. Cela dispose la difficulté à traiter de manière cohérente du sublime. Cela autorise les variations sur le sublime, quelle que soit la constance des rappels de Burke, de Kant, de Hegel. Cette difficulté de la cohérence se lit dans les variations de la définition ou de l'identification des pratiques du sublime chez un même auteur. Ainsi Jean-François Lyotard[3] identifie le sublime, en termes d'histoire de l'art contemporain, tantôt

que qui existe dans la nature indépendamment de l’homme. Cependant, durant l’époque actuelle, l’art prend une toute autre signification, un peu plus restreinte en s’appliquant uniquement pour les productions des beaux-arts, qui d’ailleurs sont pour Hegel au nombre de six : l’architecture, la peinture, la poésie, la sculpture, la musique et la danse, le cinéma devenant au cours du XXème siècle le 7ème art. Par ailleurs, le langage est un système de signes exprimant des idées (F. de Saussure), c’est

POLITIQUE sont à cet égard symptomatiques. “La difficulté n’est pas de comprendre que l’art grec et l’épopée sont liées à certaines formes du développement social. La difficulté réside dans le fait qu’ils nous procurent encore une jouissance esthétique et qu’ils ont encore pour nous à certains égards la valeur de normes et de modèles inaccessibles.” (Marx, CONTRIBUTION A LA CRITIQUE DE L’ECONOMIE POLITIQUE, trad. fr. Husson et Badia, Paris, éd. Sociales, 1957, p. 175) Comment, en d’autres

dogmatisme Dans L'éthique , ses propositions sont peu sujette à l'interprétation ( elles écartent l’ambiguïté, elles sont univoques ). Le projet de Spinoza est philosophique mais sa méthode pose problème car de type dogmatique et mathématique. Hegel se montre dogmatique également. La raison humaine est toute puissante si elle se met à l'école des mathématiques, si elle se purifie de tous ces préjugés ( elle peut donc tout résoudre ). Le scepticisme C'est une attitude mais aussi une école

degrés de conscience: Partons de la conscience spontanée: Absence de séparation entre nous et les éléments du monde extérieur. > Fondée sur nos perception sensibles: animaux +enfants : sorte d'intuitions sensibles. Hegel:Extrait de esthétique: Hegel définit la différence qu'il y a entre exister simplement ou exister « en soi », et exister pour soi, c'est à dire être conscient possède une existence redoublée par la dimension réflexive de la conscience: l’homme est un être doué de conscience

et posant la question : qu'advient-il du sujet ? Est-il encore pertinent de raisonner comme des sujets cartésiens, ayant la maîtrise d'un monde réduit à une nature-objet ? Si les frontières ont sauté, on peut avoir le sentiment que surgit une « esthétique de la confusion [qui] emporte dans son tourbillon vague et catastrophique, [...] un art, une industrie, une magie, un fait de culture et de civilisation [...] : le cinéma. » (9) Car le grand sujet de Raymond Bellour reste le cinéma, qui, selon lui

L’angoisse. « D’une façon générale, le but de l’art consiste à rendre accessible à l’intuition ce qui existe dans l’esprit humain, la vérité que l’homme abrite dans son esprit, ce qui remue la poitrine humaine et agite l’esprit humain. » Hegel, Esthétique, 1832 (posthume) Ici, nous sommes sur le mode intuitif, et non discursif. La discursivité est propre aux projets démonstratifs : l’art ne démontre pas, il montre. B / L’art et le monde : 1) Comprendre le monde par l’art :  « L'art

intelligible 2. Un double éloignement II. LA RÉHABILITATION DE L’ART A. L’art mobilise la raison 1. L’art plaît à l’esprit : un plaisir désintéressé 2. L’art a des techniques et des règles spécifiques 3. L’objectivité des jugements esthétiques B. L’art nous informe sur le réel 1. Contre la distinction : monde sensible /monde intelligible 2. La Mimesis comme moyen de connaissance III. LE RÉEL EST CONSTRUIT PAR L’ART A. L’art : une perception étendue B. En quel sens peut-on

........................................................................................ 8 4. L’art postmoderne...................................................................................................................... 11 4.1. Les esthétiques de la postmodernité ................................................................................... 11 4.2. L’architecture postmoderne ................................................................................................ 13 4.3

désir de se porter sur une multitude d'objets considérés séparément comme autant de biens, mais dont l'obtention est à chaque fois exclusive, et voilà ce qu'au moment du désir nous ne comprenons pas. Don Juan, qui incarne chez Kierkegaard le stade esthétique, qui donc est le désir fait homme, est écrasé par cette contradiction, laquelle fait tout son désespoir : il est à jamais insatisfait parce qu'il ne comprend pas que son insatisfaction vient de lui, et non du monde. Il croit qu'aucune femme n'est